Je suis résolument solidaire de tous ceux qui par leur courage et leur abnégation se lèvent et osent dire non aux abus et à l’impasse dans laquelle bon nombre de nos étudiants sont conduits en matière d’insertion professionnelle et d’emploi à leur arrivée sur le marché du travail. Par diverses initiatives, la parole des uns et des autres s’exprime. Elle doit continuer à le faire librement. Je suis solidaire à l’instar des membres de mon équipe de direction, de ce mouvement social historique et
j’agis d’ailleurs dans le cadre de mes fonctions pour obtenir du secrétaire d’état à l’Outre-mer desréponses précises et significatives aux doléances émanant du comité de grève de l’UAG. Je n’ai pas à dire aux étudiants ou a mes collègues ce qu’ils doivent faire. Chacun est libre de son action et de ses propos dans un mouvement social qui nous concerne tous en tant que citoyen.
Nos sociétés antillo-guyanaises sont en crise. Et c’est à nous qu’il appartient d’apporter des solutions. Mais c’est dans le respect, le dialogue, la tolérance mais aussi dans le travail et la réflexion que nous parviendrons également à trouver des remèdes à nos souffrances et nos propres moyens de développement. Nos jeunes nous regardent et sont à l’écoute de nos prises de positions. Il est de notre devoir d’assumer nos responsabilités, nos échecs, nos victoires, nos qualités et nos défauts. L’heure n’est plus aux faux semblants mais au courage et à l’action.
Ni la Martinique, ni la Guadeloupe, ni la Guyane n’ont de « maîtres ». De toutes parts, des sources anciennes de divisions et de polémiques apparaissent. Alors concentrons-nous sur nos forces et notre unité d’Antillo-guyanais. Nous sommes l’héritage des douleurs de nos pères et nous ne pouvons que triompher des obstacles économiques, politiques et sociaux d’un système que nous n’avons pas créer mais dans lequel nous devons progresser. Je suis fier des étudiants et des collègues qui se battent tous les jours pour mettre un peu de lumière dans leurs vies et dans nos vies. Que chacun prenne ses responsabilités et que la dignité, l’unité et le courage soient nos
repères quotidiens dans ces temps difficiles.
Bon courage a tous!
j’agis d’ailleurs dans le cadre de mes fonctions pour obtenir du secrétaire d’état à l’Outre-mer desréponses précises et significatives aux doléances émanant du comité de grève de l’UAG. Je n’ai pas à dire aux étudiants ou a mes collègues ce qu’ils doivent faire. Chacun est libre de son action et de ses propos dans un mouvement social qui nous concerne tous en tant que citoyen.
Nos sociétés antillo-guyanaises sont en crise. Et c’est à nous qu’il appartient d’apporter des solutions. Mais c’est dans le respect, le dialogue, la tolérance mais aussi dans le travail et la réflexion que nous parviendrons également à trouver des remèdes à nos souffrances et nos propres moyens de développement. Nos jeunes nous regardent et sont à l’écoute de nos prises de positions. Il est de notre devoir d’assumer nos responsabilités, nos échecs, nos victoires, nos qualités et nos défauts. L’heure n’est plus aux faux semblants mais au courage et à l’action.
Ni la Martinique, ni la Guadeloupe, ni la Guyane n’ont de « maîtres ». De toutes parts, des sources anciennes de divisions et de polémiques apparaissent. Alors concentrons-nous sur nos forces et notre unité d’Antillo-guyanais. Nous sommes l’héritage des douleurs de nos pères et nous ne pouvons que triompher des obstacles économiques, politiques et sociaux d’un système que nous n’avons pas créer mais dans lequel nous devons progresser. Je suis fier des étudiants et des collègues qui se battent tous les jours pour mettre un peu de lumière dans leurs vies et dans nos vies. Que chacun prenne ses responsabilités et que la dignité, l’unité et le courage soient nos
repères quotidiens dans ces temps difficiles.
Bon courage a tous!