Combien coûte la fête, qui est là, qui sera à l’honneur, qui sera assis à côté de qui ? Tout ce cérémonial est conduit avec méthode et l'on connaît la valeur d’un bon secrétaire de mairie, à sa capacité à organiser une fête sans couac, pour des élus dont les postures, divergents. Si cette rencontre annuelle est une interprétation festive sur une journée de la vie de la commune, plus que jamais la question du protocole est très importante.
Pour preuve, les invités sont généralement sur leur 31, et il n’est pas rare que l’intention s’accompagne de la veste. Lui Francis, Carole, Même en France à l’occasion des congrès généralement ne porte pas la veste et l'on peut, aisément le comprendre, quand on découvre amusé des élus en veste, mouillés de transpiration au caleçon à cause d’une tenue chic, mais inadaptée.
Contrairement à Alfred Marie Jeanne qui porte la veste en Europe et ailleurs, et comme celui qui quand il est à la MARTINIQUE et qu’il représentait à cette occasion, il sera venu en bras de chemise et nous ne sommes pas étonnés ni choqués.
Par contre, ce que nous trouvons surprenant, c’est « la chique » (Insecte des pays chauds fort petit qui se loge sous la peau du talon, sous les ongles des pieds et y cause une vive douleur) que ce dernier veut enlever au pied du PPM. En effet, Rodolphe Désiré de part son expérience, son recul, et sa pratique politique, de son grand âge auront selon Francis Carole appelé à : je cite « "un moratoire entre Martiniquais".
Que veut donc dire là, cette phrase d’inspiration Césairienne, au moment où le PPM lui-même aura appelé dans la déclaration de Rivière Blanche, il n’y a pas si longtemps à la fin du moratoire pour cet homme à qui ont ne vient plus faire la leçon, mais dont certains disent qu'il serait le parrain du député Jean Philippe Nilors.
L’occasion de montrer la contradiction au PPM était trop belle pour Francis Carole, pour laisser passer d’autant, qu’Édouard De Lépine, un brillant intellectuel, plein de sagesse de part son âge, lui aussi PPM, aura crié à la « connerie » que de parler de fin du moratoire. En effet selon EDL, le moratoire n’est autre, que la décision d’aller au pas du peuple, l’équivalent que ce que le MIM appelle, « les élus proposent, le peuple dispose ».
Donc quand ce que dit Rodolphe Désiré du PPM trouve grâce aux oreilles de Francis Crole, c’est pour mieux montrer son doute, sur les capacités de ses ennemis de toujours du PPM, à transcender une défaite et à agir pour la réconciliation des forces vives du pays.Non seulement Francis Carole doute, mais il considère en plus, que les actions du PPM sont je cités FC : « une intensification de la guerre sale contre d'autres Martiniquais et contre les intérêts de la Martinique ». Les mots sont choisis et « sale » n’est certainement pas tombés au hasard.
Comment voulez-vous qu’avec ces mots, que ce " moratoire, entre Martiniquais", souhaité par un sage du PPM soit entendu ? Nous voulons bien admettre qu’au PPM, il y a quelques bras cassés en rééducation et des modèles à jeter en mer loin de la côte, pour constater leur incapacité à nager sans un parti.
Mais comment se satisfaire que celui là même, qui peut être demain, pourrait porter le flambeau Marijaniste, dans la course à la CTM, soit celui là même qui n’appelle pas à l’espérance. Pourquoi ne pas faire une confiance à ses autres compatriotes pour cesser ce que les Martiniquais dans leur plus grand nombre, ne supportent plus et qu’il faut définitivement combattre : la guerre des clans puis la guerre des chefs pour ce que l'un des d'eux a appelé le pouvoir suprême.
Voici donc notre réflexion sur cette communication ratée, de Francis Carole à croire que lui aussi, à notre grand étonnement soit virussés de cet ADN des coqs de combat qui fait que, quel que soit le lieu où des cops de combat se retrouvent, et même en absence de poules, ils se battent en duel. Nous préférons croire que se sont ses habits politiques qui l'invitent à de telles postures.
Contrairement à Alfred Marie Jeanne qui porte la veste en Europe et ailleurs, et comme celui qui quand il est à la MARTINIQUE et qu’il représentait à cette occasion, il sera venu en bras de chemise et nous ne sommes pas étonnés ni choqués.
Par contre, ce que nous trouvons surprenant, c’est « la chique » (Insecte des pays chauds fort petit qui se loge sous la peau du talon, sous les ongles des pieds et y cause une vive douleur) que ce dernier veut enlever au pied du PPM. En effet, Rodolphe Désiré de part son expérience, son recul, et sa pratique politique, de son grand âge auront selon Francis Carole appelé à : je cite « "un moratoire entre Martiniquais".
Que veut donc dire là, cette phrase d’inspiration Césairienne, au moment où le PPM lui-même aura appelé dans la déclaration de Rivière Blanche, il n’y a pas si longtemps à la fin du moratoire pour cet homme à qui ont ne vient plus faire la leçon, mais dont certains disent qu'il serait le parrain du député Jean Philippe Nilors.
L’occasion de montrer la contradiction au PPM était trop belle pour Francis Carole, pour laisser passer d’autant, qu’Édouard De Lépine, un brillant intellectuel, plein de sagesse de part son âge, lui aussi PPM, aura crié à la « connerie » que de parler de fin du moratoire. En effet selon EDL, le moratoire n’est autre, que la décision d’aller au pas du peuple, l’équivalent que ce que le MIM appelle, « les élus proposent, le peuple dispose ».
Donc quand ce que dit Rodolphe Désiré du PPM trouve grâce aux oreilles de Francis Crole, c’est pour mieux montrer son doute, sur les capacités de ses ennemis de toujours du PPM, à transcender une défaite et à agir pour la réconciliation des forces vives du pays.Non seulement Francis Carole doute, mais il considère en plus, que les actions du PPM sont je cités FC : « une intensification de la guerre sale contre d'autres Martiniquais et contre les intérêts de la Martinique ». Les mots sont choisis et « sale » n’est certainement pas tombés au hasard.
Comment voulez-vous qu’avec ces mots, que ce " moratoire, entre Martiniquais", souhaité par un sage du PPM soit entendu ? Nous voulons bien admettre qu’au PPM, il y a quelques bras cassés en rééducation et des modèles à jeter en mer loin de la côte, pour constater leur incapacité à nager sans un parti.
Mais comment se satisfaire que celui là même, qui peut être demain, pourrait porter le flambeau Marijaniste, dans la course à la CTM, soit celui là même qui n’appelle pas à l’espérance. Pourquoi ne pas faire une confiance à ses autres compatriotes pour cesser ce que les Martiniquais dans leur plus grand nombre, ne supportent plus et qu’il faut définitivement combattre : la guerre des clans puis la guerre des chefs pour ce que l'un des d'eux a appelé le pouvoir suprême.
Voici donc notre réflexion sur cette communication ratée, de Francis Carole à croire que lui aussi, à notre grand étonnement soit virussés de cet ADN des coqs de combat qui fait que, quel que soit le lieu où des cops de combat se retrouvent, et même en absence de poules, ils se battent en duel. Nous préférons croire que se sont ses habits politiques qui l'invitent à de telles postures.
Le texte de Francis Carole
FÊTE PATRONALE DU MARIN : ÉCOUTERONT-ILS RODOLPHE DÉSIRÉ ?
Ce dimanche 7 décembre, j'ai, au nom du président du Conseil Exécutif, représenté la Collectivité Territoriale de Martinique à la fête patronale du Marin.
Je tiens à remercier M.Rodolphe DÉSIRÉ et son conseil municipal de la qualité de l'accueil réservée à la Collectivité et à féliciter les très nombreuses associations de la commune qui ont défilé à cette occasion.
M.Rodolphe DÉSIRÉ, dans son discours, a appelé, non sans une certaine sagesse, à "un Moratoire entre Martiniquais", évoquant ainsi le moratoire sur le statut décidé par Aimé CÉSAIRE le 29 Mai 1981, dans le contexte de l'arrivée de la gauche au pouvoir en France.
Souhaitons ( les vœux pieux ne sont pas interdits) qu'il soit entendu par le PPM qui, depuis le 13 décembre 2015, a décrété une intensification de la guerre sale contre d'autres Martiniquais et contre les intérêts de la Martinique.
Francis CAROLE
Lundi 8 janvier 2018
Ce dimanche 7 décembre, j'ai, au nom du président du Conseil Exécutif, représenté la Collectivité Territoriale de Martinique à la fête patronale du Marin.
Je tiens à remercier M.Rodolphe DÉSIRÉ et son conseil municipal de la qualité de l'accueil réservée à la Collectivité et à féliciter les très nombreuses associations de la commune qui ont défilé à cette occasion.
M.Rodolphe DÉSIRÉ, dans son discours, a appelé, non sans une certaine sagesse, à "un Moratoire entre Martiniquais", évoquant ainsi le moratoire sur le statut décidé par Aimé CÉSAIRE le 29 Mai 1981, dans le contexte de l'arrivée de la gauche au pouvoir en France.
Souhaitons ( les vœux pieux ne sont pas interdits) qu'il soit entendu par le PPM qui, depuis le 13 décembre 2015, a décrété une intensification de la guerre sale contre d'autres Martiniquais et contre les intérêts de la Martinique.
Francis CAROLE
Lundi 8 janvier 2018