Lisa David , journaliste du media FreePawol est-elle vraiment interdite de CTM ?


Rédigé le Mardi 3 Avril 2018 à 17:45 |
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Que se sera-t-il passé ? En lisant ce courrier la journaliste professionnelle s'explique. Nous ne savons pas si ce qu'elle dit est vrai, mais nous pouvons témoigner de l’agressivité de Louis Boutrin envers notre média. Nous avons enregistré son agression vocale à l'occasion des voeux de PNRM , nous vous la ferons écouter en temps venu ! le temps arrivera . Bientôt.


Question d'un militant du MIM : Pourquoi ne viens-tu pas aux séances plénières de la CTM ?

Non mais, c'est une blague ?

Pour avoir écrit des articles qui lui ont déplu, sur le conflit du Parc Naturel Régional qu'il préside, j'ai été interdite d'entrée à la plénière de la CTM par les vigiles lâchés
par le "Ministre" Louis Boutrin, avec l'aval du Président Marie-Jeanne, on peut imaginer !

Avez-vous entendu un seul élu de la CTM, s'indigner de l'interdiction faite à une journaliste détenteur d'une carte de presse professionnelle ?

Aucun élu, aucun parti n'a condamné cette interdiction d'accès à ce bâtiment public où il est question des affaires du pays, du contribuable !

Aucun élu du MIM, du RDM, du PCF, du PALIMA, de la DROITE ou du PPM n'a ouvert sa petite bouche pour condamner l'interdiction imposée à une journaliste, manifestement trop libre pour ces "démocrates" !

Louis Boutrin avait déjà la tenté la même manoeuvre lors de sa conférence de presse sur le PNRM dans les locaux de l'Assemblée (ex-conseil général) et c'est d'ailleurs le même vigile zélé qui avait tenté de me barrer la route en bas des escaliers, exigeant une carte de presse que je lui ai présentée...

Aucun journaliste non plus ne s'est indigné me direz-vous !

Libre, je resterai...

"Je demeure convaincu qu'un journaliste n'est pas un enfant de chœur et que son rôle ne consiste pas à précéder les processions, la main plongée dans une corbeille de pétales de roses. Notre métier n'est pas de faire plaisir, non plus de faire du tort, il est de porter la plume dans la plaie" .

Albert Londres

Ce texte est de Lisa David


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