Un tel retrait du préservatif, connu sous le nom de «camouflage», peut être interprété comme transformant le sexe consensuel en sexe non consensuel selon l'une des deux théories, l'une d'entre elles risquant d'être trop criminalisée en exigeant une transparence complète sur les capacités reproductives et les infections sexuellement transmissibles.
Adoptant la théorie alternative, préférable du non-consentement, cette pratique interroge sur les recours possibles en matière pénale, délictuelle, contractuelle et de droits civiques dont disposent actuellement les victimes.
En fin de compte, un nouveau délit de «camouflage» est nécessaire à la fois pour fournir aux victimes une cause d'action plus viable et pour mieux refléter les préjudices causés par le retrait non consenti du préservatif.
Adoptant la théorie alternative, préférable du non-consentement, cette pratique interroge sur les recours possibles en matière pénale, délictuelle, contractuelle et de droits civiques dont disposent actuellement les victimes.
En fin de compte, un nouveau délit de «camouflage» est nécessaire à la fois pour fournir aux victimes une cause d'action plus viable et pour mieux refléter les préjudices causés par le retrait non consenti du préservatif.