MAKACLA avait en son temps dénoncé ce qu’il avait considéré comme une décision troublante, organisée par un administrateur partisan, et défendu par un excellent avocat. Avec un tel attelage et de tels avantages, ce que Gilles WAN A JOUHU avait surnommé l’équipe des petits Nègres ne pouvait que perdre.
Et ils ont perdu.
Bien qu’ils aient pour eux, la majorité des professionnels de la pêche, le Comité des Pêches, un accord de plusieurs villes et de plusieurs maires, une solide expérience de l’importation, la volonté de restructurer le premier maillon de la profession la coopérative, qu’ils réorganisaient les hommes du métier dans une nouvelle coopérative actionnaire de la société de ravitaillement, l’équipe des petits nègres n’avait pas été entendu par le tribunal de commerce.
Disons que l’autre équipe avait été préférée. En effet, l’équipe des petits nègres n’avait pas dans son attelage, un homme politique de premier plan comme Yan MONPLAISIR.
En effet, ce dernier patron, et détenteur de part sociale dans SERVICHEF, elle-même majoritaire de MARIN PECHE elle aussi actionnaire de MAXIPECHE, ne pouvait que devenir un valet en bas table dans un jeu de belote truqué.
Car ici la position dominante est évidente. Un homme politique dans une affaire dont le futur est politique ne pouvait que rassurer le tribunal.
À ce titre l’équipe des petits nègres se demande si c’est pour cette même position dominante qu’à ce jour une société privée occupe sans délivrance d’AOT, plusieurs espaces du domaine public, et qu’elle occupe ces lieux sans s’acquitter d’un loyer auprès de la collectivité territoriale qui représente tous les autres petits nègres Martiniquais !
Dans ce cas, on peut même se demander aussi, s’il n’y a pas là une prise illégale d’intérêt ? Un dicton populaire répond à cette interrogation et clos le débat : Bef béké an can béké.
Par contre, la conscience des élus de la majorité de la CTM devrait leur faire se demander jusqu’à quand va durer cette ignominie.
L’équipe des petits nègres contrairement à l’équipe des gens libres de ne pas respecter les institutions judiciaires avait remis tous ses bilans, avait démontré qu’elle n’était ni en cessation de paiements ni au bord d’une énième faillite et qu’elle avait suffisamment de fonds propres pour entreprendre avec sérieux et respectabilité la remise à niveau du principal maillon du métier de Marin pêcheur la coopérative d’avitaillement.
Hé hé ,
Le tribunal avait dit non aux dits petits nègres et l’équipe des affranchis de toutes règles palanquaient la mariée dans leur gibecière, par une alchimie comptable incompréhensible, douteuse et invérifiable, à l’image d’un ou wey ou pa wey.
Alors qu’au départ ils avaient insulté la profession en proposant de reprendre pour 10 000 €, je dis bien dix mille euros ils reprenaient presque qu’un demi-million d’euros de stock appartenant à la profession.
Les affranchis étaient devenus maîtres des lieux, Maître de la filière pêche. Ils s’étaient dans un dernier mensonge au tribunal engagés à restructurer toute la filière pêche. Ils pouvaient commencé à détrousser à encanailler ce qu’ils avaient légalement obtenu avec des complicités satellites les plus inattendues, dont l’une est caractérisée ; celle de Jaques Stéphane DE TORRE, stagiaire interminable du métier d’administrateur judiciaire.
L’enfumage avait marché ! Mais un enfumage reste un enfumage.
Depuis le début de cette reprise rien de tangible n’a été commandé par les repreneurs, pas même du fil pour faire des nasses, peut être quelques hameçons. Étranglés par des loups qui s’étaient fait passer pour des sauveurs, les marins pécheurs sont revenus voir les petits nègres, en les suppliant de les sauver !
Les petits nègres soi-disant moins disant, sans une ni l’autre, sans que les autres nègres ne se mettent à genoux, ont commandé ce qui devait sauver les autres petits nègres marins pécheurs. Le temps incompressible du transport de matériel est passé. Entre-temps une tempête a décalé les dernières nasses. Le patron du comité des pêches et le préfet ont été obligé de "rouvrir" la pêche aux oursins pour redonner un peu de souffle aux autres petits nègres pauvres pêcheurs pour passer Noël.
Aujourd’hui, le fil de nasse est là, en MARTINIQUE, un autre conteneur est déjà en mer pour répondre aux besoins des professionnels en matière de cordage et une bande de petits nègres a sauvé d’autres petits nègres.
Moralité, nègre ne peut donc ni se dire, ni s’écrire précédé de l’adjectif petit. Nègre est l’équivalent d’homme. Nègre peut être remplacé par le mot HOMME et être suivi de tous les autres qualificatifs de la terre. Car dans la vie, il y a des tricheurs, il y a des menteurs, des arnaqueurs, des fossoyeurs, des imposteurs, des charlatans, des hâbleurs, des escrocs et puis il y a les gens sérieux.
Alex ROSETTE qui est à l’origine de cette solidarité et de ce sauvetage en mer de plus de 800 marins pécheurs peut donc être considéré comme un homme d’affaires nègre sérieux, par ceux qui considéraient qu’il n’était qu’un "chefaillon" d'une bande de petits nègres.
Soyons donc nègre en MARTINIQUE et cessons de considérer d’autres comme nous comme des nègres petits.
Bien qu’ils aient pour eux, la majorité des professionnels de la pêche, le Comité des Pêches, un accord de plusieurs villes et de plusieurs maires, une solide expérience de l’importation, la volonté de restructurer le premier maillon de la profession la coopérative, qu’ils réorganisaient les hommes du métier dans une nouvelle coopérative actionnaire de la société de ravitaillement, l’équipe des petits nègres n’avait pas été entendu par le tribunal de commerce.
Disons que l’autre équipe avait été préférée. En effet, l’équipe des petits nègres n’avait pas dans son attelage, un homme politique de premier plan comme Yan MONPLAISIR.
En effet, ce dernier patron, et détenteur de part sociale dans SERVICHEF, elle-même majoritaire de MARIN PECHE elle aussi actionnaire de MAXIPECHE, ne pouvait que devenir un valet en bas table dans un jeu de belote truqué.
Car ici la position dominante est évidente. Un homme politique dans une affaire dont le futur est politique ne pouvait que rassurer le tribunal.
À ce titre l’équipe des petits nègres se demande si c’est pour cette même position dominante qu’à ce jour une société privée occupe sans délivrance d’AOT, plusieurs espaces du domaine public, et qu’elle occupe ces lieux sans s’acquitter d’un loyer auprès de la collectivité territoriale qui représente tous les autres petits nègres Martiniquais !
Dans ce cas, on peut même se demander aussi, s’il n’y a pas là une prise illégale d’intérêt ? Un dicton populaire répond à cette interrogation et clos le débat : Bef béké an can béké.
Par contre, la conscience des élus de la majorité de la CTM devrait leur faire se demander jusqu’à quand va durer cette ignominie.
L’équipe des petits nègres contrairement à l’équipe des gens libres de ne pas respecter les institutions judiciaires avait remis tous ses bilans, avait démontré qu’elle n’était ni en cessation de paiements ni au bord d’une énième faillite et qu’elle avait suffisamment de fonds propres pour entreprendre avec sérieux et respectabilité la remise à niveau du principal maillon du métier de Marin pêcheur la coopérative d’avitaillement.
Hé hé ,
Le tribunal avait dit non aux dits petits nègres et l’équipe des affranchis de toutes règles palanquaient la mariée dans leur gibecière, par une alchimie comptable incompréhensible, douteuse et invérifiable, à l’image d’un ou wey ou pa wey.
Alors qu’au départ ils avaient insulté la profession en proposant de reprendre pour 10 000 €, je dis bien dix mille euros ils reprenaient presque qu’un demi-million d’euros de stock appartenant à la profession.
Les affranchis étaient devenus maîtres des lieux, Maître de la filière pêche. Ils s’étaient dans un dernier mensonge au tribunal engagés à restructurer toute la filière pêche. Ils pouvaient commencé à détrousser à encanailler ce qu’ils avaient légalement obtenu avec des complicités satellites les plus inattendues, dont l’une est caractérisée ; celle de Jaques Stéphane DE TORRE, stagiaire interminable du métier d’administrateur judiciaire.
L’enfumage avait marché ! Mais un enfumage reste un enfumage.
Depuis le début de cette reprise rien de tangible n’a été commandé par les repreneurs, pas même du fil pour faire des nasses, peut être quelques hameçons. Étranglés par des loups qui s’étaient fait passer pour des sauveurs, les marins pécheurs sont revenus voir les petits nègres, en les suppliant de les sauver !
Les petits nègres soi-disant moins disant, sans une ni l’autre, sans que les autres nègres ne se mettent à genoux, ont commandé ce qui devait sauver les autres petits nègres marins pécheurs. Le temps incompressible du transport de matériel est passé. Entre-temps une tempête a décalé les dernières nasses. Le patron du comité des pêches et le préfet ont été obligé de "rouvrir" la pêche aux oursins pour redonner un peu de souffle aux autres petits nègres pauvres pêcheurs pour passer Noël.
Aujourd’hui, le fil de nasse est là, en MARTINIQUE, un autre conteneur est déjà en mer pour répondre aux besoins des professionnels en matière de cordage et une bande de petits nègres a sauvé d’autres petits nègres.
Moralité, nègre ne peut donc ni se dire, ni s’écrire précédé de l’adjectif petit. Nègre est l’équivalent d’homme. Nègre peut être remplacé par le mot HOMME et être suivi de tous les autres qualificatifs de la terre. Car dans la vie, il y a des tricheurs, il y a des menteurs, des arnaqueurs, des fossoyeurs, des imposteurs, des charlatans, des hâbleurs, des escrocs et puis il y a les gens sérieux.
Alex ROSETTE qui est à l’origine de cette solidarité et de ce sauvetage en mer de plus de 800 marins pécheurs peut donc être considéré comme un homme d’affaires nègre sérieux, par ceux qui considéraient qu’il n’était qu’un "chefaillon" d'une bande de petits nègres.
Soyons donc nègre en MARTINIQUE et cessons de considérer d’autres comme nous comme des nègres petits.