Ce ne sont pas les accusations de journalistes maisons d’être je cite « un blog à la recherche d’audience » qui nous feront nous taire. Si ces personnes ont "mouchasse au soleil", elles découvriront qu’à l’heure des médias sociaux, il n’y a pas de petits médias. Il n’y a que de vraies ou de fausses informations. Celles que l’on cache et celles qui sont sorties intentionnellement.
La première raison de notre recherche de la vérité, c’est que nous pensons que ce n’est pas RFO qui vous informera dans ce dossier. Les conditions de travail, les conditions de transport du journaliste et bien d’autres motifs feront que la radio de l’État sera prudente quant à sa communication sur ce dossier. D’autant que la radio-télévision sera recherchée dans ses responsabilités.
La seconde, c’est que la famille dans cette affaire aura besoin de médias pour informer l’opinion publique. En effet, les Martiniquais veulent savoir ce qui se passe d’autant que la volonté du journaliste d’être incinéré n’a pas été appliquée. Et ce n’est pas non plus par le média global que nous serons informés. C’est parfois comme cela en particulier quand le dossier en interne est une patate chaude.
Mais l’essentiel de cette communication est dû au fait que dans les premières informations partagées, par la presse et précisément par le pôle internet de RfO, il a été dit à tort que Camille Alexandre aurait été victime finalement d’un second AVC durant son transport à l’hôpital.
Il se trouve que cette information est en contradiction avec les résultats de l’autopsie. Elle a été reprise par toute la presse. Même par nous en précisant notre source, RFO. Elle conditionne non seulement le dispositif d’indemnisation de la famille, mais accrédite la thèse de la défaillance du journaliste.
Donc, il convient de rétablir la vérité et de le dire avec autant d’insistance, que l’annonce précédente était fausse. Pour la famille, c’est essentiel.
Bien au contraire Camille allait de mieux en mieux, et dans tous les cas, y compris si l’AVC était la cause, seul l’accident lui-même serait la vraie cause de sa perte. À moins qu’il ne s’agisse directement des contrecoups de l’accident
Ce jour 02/03/ 2018, la famille accompagnée de son avocat a été reçue par le procureur de la République. La famille aura appris l’ouverture d’une information et à ce titre la nomination d’un juge d’instruction pour mener l’enquête.
On comprend donc que le corps n’ait pas été incinéré.
Il est admis que dans de telles conditions, la famille aura du mal à effectuer son deuil d’autant que le besoin de comprendre ce qui se sera passé est nécessaire à la mise en place de cette phase d’apaisement. Elle sait déjà qu’elle pourra compter sur notre média.
On peut donc considérer qu’à partir de maintenant la famille saura ce qu’il y a dans le dossier de Camille Alexandre, et en particulier si les rumeurs de « réserves » de RFO sur sa déclaration au service de la CGSS sont avérées.
Nous n’avons pas l’intention de nous taire sur ce dossier.
La seconde, c’est que la famille dans cette affaire aura besoin de médias pour informer l’opinion publique. En effet, les Martiniquais veulent savoir ce qui se passe d’autant que la volonté du journaliste d’être incinéré n’a pas été appliquée. Et ce n’est pas non plus par le média global que nous serons informés. C’est parfois comme cela en particulier quand le dossier en interne est une patate chaude.
Mais l’essentiel de cette communication est dû au fait que dans les premières informations partagées, par la presse et précisément par le pôle internet de RfO, il a été dit à tort que Camille Alexandre aurait été victime finalement d’un second AVC durant son transport à l’hôpital.
Il se trouve que cette information est en contradiction avec les résultats de l’autopsie. Elle a été reprise par toute la presse. Même par nous en précisant notre source, RFO. Elle conditionne non seulement le dispositif d’indemnisation de la famille, mais accrédite la thèse de la défaillance du journaliste.
Donc, il convient de rétablir la vérité et de le dire avec autant d’insistance, que l’annonce précédente était fausse. Pour la famille, c’est essentiel.
Bien au contraire Camille allait de mieux en mieux, et dans tous les cas, y compris si l’AVC était la cause, seul l’accident lui-même serait la vraie cause de sa perte. À moins qu’il ne s’agisse directement des contrecoups de l’accident
Ce jour 02/03/ 2018, la famille accompagnée de son avocat a été reçue par le procureur de la République. La famille aura appris l’ouverture d’une information et à ce titre la nomination d’un juge d’instruction pour mener l’enquête.
On comprend donc que le corps n’ait pas été incinéré.
Il est admis que dans de telles conditions, la famille aura du mal à effectuer son deuil d’autant que le besoin de comprendre ce qui se sera passé est nécessaire à la mise en place de cette phase d’apaisement. Elle sait déjà qu’elle pourra compter sur notre média.
On peut donc considérer qu’à partir de maintenant la famille saura ce qu’il y a dans le dossier de Camille Alexandre, et en particulier si les rumeurs de « réserves » de RFO sur sa déclaration au service de la CGSS sont avérées.
Nous n’avons pas l’intention de nous taire sur ce dossier.