Il est le site le plus visité. S'il est vrai que lors de l'apparition du banc de sable, l'accès aux îlets par l'ouverture du Tombolo reste une attraction culturelle d'un phénomène rare, il est aussi vrai que la nature dote l'endroit d'une particularité touristique propice à l'émotion et à la découverte d'un paysage exceptionnel.
C'est cyclique, cela dure quelques semaines, voire quelques mois, mais seulement sur une durée réduite durant l'année.
Beaucoup de Martiniquais, de visiteurs venus d’autres régions françaises, des touristes européens ou américains viennent profiter de cette curiosité. Le collectif qui semble être un donneur de leçon en matière d'aménagement touristique critique un accueil évalué à un niveau zéro. Le collectif devrait expliquer ce qu'il entend par accueil, car il existe des panneaux d'indications et une table d'explication bien visible face au tombolo.
Il estime le nettoyage à un niveau zéro. Dommage que ce collectif soit bidon ; ainsi nul ne saurait lui réclamer le respect dû aux personnes dédiées au nettoyage de la plage de ce côté-ci, dès le lever du jour. Quiconque fréquente le bord de mer, voit ce personnel en tenue de travail avec les outils adéquats : pelle, râteau, brouette. Chose surprenante, l'entreprise privée d'insertion possède une camionnette et deux bennes à même le sable. La couleur des gilets et des bottes que chaussent ces employés, qui se donnent pour que les premiers visiteurs trouvent un espace propre, les distinguent des autres marins pêcheurs et pêcheurs à la ligne, ainsi que des marcheurs qui partagent le coin avec eux. Les sargasses balayées forment de petits tas bien visibles à l'oeil nu.
La marée, le soir, inonde la plage de ses rejets d'algues marines.
Le collectif trouve que les toilettes publiques sont aussi au niveau zéro. Il est dommageable que, caché derrière l'anonymat, on ne puisse avoir un débat face à face. Le bureau de poste de la ville se trouve à moins de cent mètres du Tombolo et, face à lui, des toilettes publiques sont installées, gratuites, gérées par l'entreprise SARCCO, toilettes qui sont aux normes pour l'accès aux personnes à mobilité réduite. il y en a quatre du même type sur le périmètre de la ville de Sainte-Marie. Elles sont gérées d’une façon moderne et efficace, auto nettoyantes, et télécommandées à distance grâce à l'essor de l’informatique. Le collectif devrait préciser si son projet serait d'avoir des toilettes avec les pieds dans l'eau. Pourquoi pas avec des rejets directement dans la mer!
Il se dit déçu, mais la déception de ce collectif vient du fait qu'il est anonyme, personne ne le connaît puisqu'il n'a pas pignon sur rue. Il demande où se trouvent les élus. La municipalité est bien représentée au sein même du bord de mer, qui trouve le temps d'interpeller la CTM sur sa compétence pour les marins pêcheurs. Elle a un contrat avec une société de nettoyage, sur le désencombrement de la plage envahie par les arbres en provenance de la rivière jusqu'à l'embouchure. Les élus sont là, avec l' ONF, l'Office National des Forêts, qui a en charge la gestion et la surveillance du site. Si ce collectif samaritain jouait pleinement le jeu de la défense des intérêts de la ville, il comprendrait qu'il faut agir à visage découvert.
Ainsi, les préconisations proposées seraient entendues et les solutions de partage d'idées seraient les bienvenues. Le Tombolo qui est devenu subitement une attraction publique depuis peu, fait l'objet de la part de la municipalité d'un projet actuellement à l'étude pour un aménagement visant à ne pas dénaturer le site, ceci en collaboration avec les différents partenaires institutionnels. La politique des petits pas, est l'adage de notre illustre grand homme Aimé Césaire. Dont acte.
Pierre Marcel Diaz
secrétaire général adjoint du MIP
Beaucoup de Martiniquais, de visiteurs venus d’autres régions françaises, des touristes européens ou américains viennent profiter de cette curiosité. Le collectif qui semble être un donneur de leçon en matière d'aménagement touristique critique un accueil évalué à un niveau zéro. Le collectif devrait expliquer ce qu'il entend par accueil, car il existe des panneaux d'indications et une table d'explication bien visible face au tombolo.
Il estime le nettoyage à un niveau zéro. Dommage que ce collectif soit bidon ; ainsi nul ne saurait lui réclamer le respect dû aux personnes dédiées au nettoyage de la plage de ce côté-ci, dès le lever du jour. Quiconque fréquente le bord de mer, voit ce personnel en tenue de travail avec les outils adéquats : pelle, râteau, brouette. Chose surprenante, l'entreprise privée d'insertion possède une camionnette et deux bennes à même le sable. La couleur des gilets et des bottes que chaussent ces employés, qui se donnent pour que les premiers visiteurs trouvent un espace propre, les distinguent des autres marins pêcheurs et pêcheurs à la ligne, ainsi que des marcheurs qui partagent le coin avec eux. Les sargasses balayées forment de petits tas bien visibles à l'oeil nu.
La marée, le soir, inonde la plage de ses rejets d'algues marines.
Le collectif trouve que les toilettes publiques sont aussi au niveau zéro. Il est dommageable que, caché derrière l'anonymat, on ne puisse avoir un débat face à face. Le bureau de poste de la ville se trouve à moins de cent mètres du Tombolo et, face à lui, des toilettes publiques sont installées, gratuites, gérées par l'entreprise SARCCO, toilettes qui sont aux normes pour l'accès aux personnes à mobilité réduite. il y en a quatre du même type sur le périmètre de la ville de Sainte-Marie. Elles sont gérées d’une façon moderne et efficace, auto nettoyantes, et télécommandées à distance grâce à l'essor de l’informatique. Le collectif devrait préciser si son projet serait d'avoir des toilettes avec les pieds dans l'eau. Pourquoi pas avec des rejets directement dans la mer!
Il se dit déçu, mais la déception de ce collectif vient du fait qu'il est anonyme, personne ne le connaît puisqu'il n'a pas pignon sur rue. Il demande où se trouvent les élus. La municipalité est bien représentée au sein même du bord de mer, qui trouve le temps d'interpeller la CTM sur sa compétence pour les marins pêcheurs. Elle a un contrat avec une société de nettoyage, sur le désencombrement de la plage envahie par les arbres en provenance de la rivière jusqu'à l'embouchure. Les élus sont là, avec l' ONF, l'Office National des Forêts, qui a en charge la gestion et la surveillance du site. Si ce collectif samaritain jouait pleinement le jeu de la défense des intérêts de la ville, il comprendrait qu'il faut agir à visage découvert.
Ainsi, les préconisations proposées seraient entendues et les solutions de partage d'idées seraient les bienvenues. Le Tombolo qui est devenu subitement une attraction publique depuis peu, fait l'objet de la part de la municipalité d'un projet actuellement à l'étude pour un aménagement visant à ne pas dénaturer le site, ceci en collaboration avec les différents partenaires institutionnels. La politique des petits pas, est l'adage de notre illustre grand homme Aimé Césaire. Dont acte.
Pierre Marcel Diaz
secrétaire général adjoint du MIP