Voici les hommes et les femmes qui gouvernent le parti progressiste Martiniquais.
Voici l'engagement des militants sur ce point :
A diffuser l’autonomie autour de nous, en la traitant aussi bien à travers le prisme du quotidien que celui des grandes questions sociétales, culturelles et politiques. Il nous faut ancrer l’autonomie dans nos luttes actuelles comme le Parti Progressiste Martiniquais l’a réalisé par le passé à travers des actions comme la mise hors d’eau de Fort-de-France, la création du SERMAC, la régie des eaux entre autres.
-A réfléchir à des moyens de vulgarisation de l’autonomie afin qu’elle soit plus accessible, mieux comprise et plus attractive pour le peuple martiniquais.
- A mettre l’autonomie en œuvre concrètement afin que nos actes en tant que citoyens, membres d’associations, de syndicats, parlent pour nous ; afin d’être des exemples, des acteurs qui (dé)montrent de façon incontestable que l’autonomie est une démarche nécessaire, souhaitable et possible.
Le Parti Progressiste Martiniquais affirme que, forts de l’initiative impulsée par notre leader fondamental dès le Congrès constitutif des 22 et 23 Mars 1958, nous militants, nous citoyens, nous ne devons pas attendre que l’Etat accepte de nous donner plus de responsabilités, mais poursuivre et être force de proposition pour une reconnaissance de la personnalité collective et l’émancipation du peuple martiniquais.
Mais Serge Letchimy n'est toujours pas candidat officiellement, notre analyse en page suivante.
A diffuser l’autonomie autour de nous, en la traitant aussi bien à travers le prisme du quotidien que celui des grandes questions sociétales, culturelles et politiques. Il nous faut ancrer l’autonomie dans nos luttes actuelles comme le Parti Progressiste Martiniquais l’a réalisé par le passé à travers des actions comme la mise hors d’eau de Fort-de-France, la création du SERMAC, la régie des eaux entre autres.
-A réfléchir à des moyens de vulgarisation de l’autonomie afin qu’elle soit plus accessible, mieux comprise et plus attractive pour le peuple martiniquais.
- A mettre l’autonomie en œuvre concrètement afin que nos actes en tant que citoyens, membres d’associations, de syndicats, parlent pour nous ; afin d’être des exemples, des acteurs qui (dé)montrent de façon incontestable que l’autonomie est une démarche nécessaire, souhaitable et possible.
Le Parti Progressiste Martiniquais affirme que, forts de l’initiative impulsée par notre leader fondamental dès le Congrès constitutif des 22 et 23 Mars 1958, nous militants, nous citoyens, nous ne devons pas attendre que l’Etat accepte de nous donner plus de responsabilités, mais poursuivre et être force de proposition pour une reconnaissance de la personnalité collective et l’émancipation du peuple martiniquais.
Mais Serge Letchimy n'est toujours pas candidat officiellement, notre analyse en page suivante.
Serge Letchimy n'est toujours pas candidat déclaré officiellement.
Sans doute qu'il l'est en coulisse, Son élection en est une manifestation, alors on se demande pourquoi il ne le dit pas officiellement. La réponse est donnée dans le discours de clôture du congrès. Un discours improvisé, sans fiche, qui aura duré 40 minutes, mais dont la thématique sera simple : Où en est l'alliance et sommes-nous certains de nos fondamentaux entre groupes politiques différents?
Bien entendu, il aura brossé sa vision du pays en particulier sur les questions de développement économique dont il trouve atones les investissements de la CTM, mais c'est la droite qui se sera pris le coup de brosse. Yan Monplaisir est traité de capitaliste véreux et Miguel Laventure de pickpocket idéologique. Quand aux perspectives futures, c'est principalement à l'Etat Français qu'il se sera adressé demandant toujours des réponses plus rapides et une administration centrale moins tatillonne dont une présence hégémonique et injustifiée des préfets en Outremer.
Si le discours du Président réélu du PPM n'a pratiquement pas porté sur les problèmes du quotidien, quand bien même des questions comme l'emploi, l'écologie et la biodiversité étaient abordées c'est sa vision politique et la relation avec la France, et l'Outremer qui aura essentiellement été développée. Dans son discours on a aussi compris que outre ses exaspérations avec le national, les questions de l'alliance n'étaient pas totalement résolues et que le travail sur les fondamentaux restait à faire pour trouver, au-delà de l'accord de gestion, un projet politique.
Notre conclusion est en page 3 cliquez sur page suivante pour la lire.
Bien entendu, il aura brossé sa vision du pays en particulier sur les questions de développement économique dont il trouve atones les investissements de la CTM, mais c'est la droite qui se sera pris le coup de brosse. Yan Monplaisir est traité de capitaliste véreux et Miguel Laventure de pickpocket idéologique. Quand aux perspectives futures, c'est principalement à l'Etat Français qu'il se sera adressé demandant toujours des réponses plus rapides et une administration centrale moins tatillonne dont une présence hégémonique et injustifiée des préfets en Outremer.
Si le discours du Président réélu du PPM n'a pratiquement pas porté sur les problèmes du quotidien, quand bien même des questions comme l'emploi, l'écologie et la biodiversité étaient abordées c'est sa vision politique et la relation avec la France, et l'Outremer qui aura essentiellement été développée. Dans son discours on a aussi compris que outre ses exaspérations avec le national, les questions de l'alliance n'étaient pas totalement résolues et que le travail sur les fondamentaux restait à faire pour trouver, au-delà de l'accord de gestion, un projet politique.
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Voici notre conclusion.
En fait plus que de l’hésitation, de la méfiance ou de la défiance apparente on a surtout le sentiment que le président dans son discours, n'est pas prêt à en découdre tout de suite et dans n'importe quelles conditions. On peut penser à tort ou à raison qu'il a mis la maison PPM en veille jusqu'à la fin des municipales, laissant au comité national le soin d'organiser les troupes pour le moment où la bataille viendra .
Certainement que c'est suite aux résultats des municipales et après évaluation des forces en présence, y compris de son propre parti que ce dernier va emballer la machine ou passer la patate chaude à quelqu'un d'autre ! Le rapatriement officiel de Christian Ursulet serait de nature à renforcer les possibilités de gouvernance du parti en cas de victoire mais surtout en remplacement d'anciens cadres en contradiction stratégique avec le mouvement Césairien
Si dans son parti, le leadership de Serge Letchimy ne fait aucun doute, il faudra attendre de savoir si suite aux travaux de l'alliance, ce leadership se confirme.
Comme quoi les jeux sont loin d'être faits, même si nous ne voyons pas comment il pourrait en être autrement !
Pour vous faire votre idée et comparez ce que nous vous avons dit à ce qui pourrait être autrement écouter l'Interview que nous a accordé Serge Letchimy , et faites vous librement votre idée.
Certainement que c'est suite aux résultats des municipales et après évaluation des forces en présence, y compris de son propre parti que ce dernier va emballer la machine ou passer la patate chaude à quelqu'un d'autre ! Le rapatriement officiel de Christian Ursulet serait de nature à renforcer les possibilités de gouvernance du parti en cas de victoire mais surtout en remplacement d'anciens cadres en contradiction stratégique avec le mouvement Césairien
Si dans son parti, le leadership de Serge Letchimy ne fait aucun doute, il faudra attendre de savoir si suite aux travaux de l'alliance, ce leadership se confirme.
Comme quoi les jeux sont loin d'être faits, même si nous ne voyons pas comment il pourrait en être autrement !
Pour vous faire votre idée et comparez ce que nous vous avons dit à ce qui pourrait être autrement écouter l'Interview que nous a accordé Serge Letchimy , et faites vous librement votre idée.