Le principe socle du GSPBPAC était de ne pas revenir sur la question institutionnelle. Maintenant que ce rassemblement hétéroclite a explosé chacun revient sur ses valeurs
Il n'y a pas de statut type convenant à tous les territoires. Chaque territoire est exceptionnel. tous les territoires demandent un pouvoir normatif. C'est la mise en oeuvre qui semble poser problème.
Tous parlent de parcours du combattant. Contraignante la seule en Martinique est celle du transport.
Il se trouve que selon ce que dit le président de l’Exécutif, le transport et ce qui s'y fait va bien. Cependant se pose la question du pouvoir local en particulier .
Sur la question du transfert des compétences.
La première observation est de noter que les transferts ne s'accompagnent pas toujours des transferts de moyens. 71 millions manquent sur les versements de du RSA, c'est la collectivité qui compense.
Plus de garantie de l'Etat.
Nouvelle vision statutaire avec une fusion des articles 73 et 74 c'est ce que souhaite Alfred Marie Jeanne.
. L'exemple de Saint Barth , habitué à peu d'assistance nationale est avant tout une démarche historique populaire. Ce passage de commune de la Guadeloupe à l'article 74 fonctionne et selon les responsables politiques Saint Barth se porte bien. Plusieurs éléments expliquent ce succès. Le premier 95 % de la population .
Simplification administrative : Saint Barth est commune, collectivité territoriale, elle bénéficie d'une autonomie fiscale, d'une différenciation maximale, pour plus de responsabilité. Ce bien fondé du changement à Saint Barth contraste avec le cas de Saint Martin.
Pour résumer ce qui se passe à Saint Martin, l'expression d'autonomie largage est la plus adaptée. Le Président en colère parle de découragement, de complexité et de manque de respect des élus locaux. C'est la désillusion.
Tous parlent de parcours du combattant. Contraignante la seule en Martinique est celle du transport.
Il se trouve que selon ce que dit le président de l’Exécutif, le transport et ce qui s'y fait va bien. Cependant se pose la question du pouvoir local en particulier .
Sur la question du transfert des compétences.
La première observation est de noter que les transferts ne s'accompagnent pas toujours des transferts de moyens. 71 millions manquent sur les versements de du RSA, c'est la collectivité qui compense.
Plus de garantie de l'Etat.
Nouvelle vision statutaire avec une fusion des articles 73 et 74 c'est ce que souhaite Alfred Marie Jeanne.
. L'exemple de Saint Barth , habitué à peu d'assistance nationale est avant tout une démarche historique populaire. Ce passage de commune de la Guadeloupe à l'article 74 fonctionne et selon les responsables politiques Saint Barth se porte bien. Plusieurs éléments expliquent ce succès. Le premier 95 % de la population .
Simplification administrative : Saint Barth est commune, collectivité territoriale, elle bénéficie d'une autonomie fiscale, d'une différenciation maximale, pour plus de responsabilité. Ce bien fondé du changement à Saint Barth contraste avec le cas de Saint Martin.
Pour résumer ce qui se passe à Saint Martin, l'expression d'autonomie largage est la plus adaptée. Le Président en colère parle de découragement, de complexité et de manque de respect des élus locaux. C'est la désillusion.
Les raisons politique d'un tel débat
Alfred Marie Jeanne relance la question des institutions pour bien montrer que son accord avec la droite est terminé d'une part mais qu'il entend surtout faire avancer le dossier des institutions.
Alfred Marie Jeanne semble avoir considéré qu à défaut d'obtenir l’indépendance, son voeux ultime, il serait bien d'obtenir l'autonomie. C'st pourtant l'objectif avoué du PPM depuis Césaire. Par conséquent obtenir l'autonomie en lieu et place du PPM serait un grande victoire pour ce u'il reste du MIM et pour AMJ en particulier.
Ceci expliquant cela cet enjeu de l'évolution institutionnelle plus celui de inauguration du Lycée Shoelcher peuvent être des motifs suffisants pour justifier un retour aux prochaines élections de la CTM;
Alfred Marie Jeanne semble avoir considéré qu à défaut d'obtenir l’indépendance, son voeux ultime, il serait bien d'obtenir l'autonomie. C'st pourtant l'objectif avoué du PPM depuis Césaire. Par conséquent obtenir l'autonomie en lieu et place du PPM serait un grande victoire pour ce u'il reste du MIM et pour AMJ en particulier.
Ceci expliquant cela cet enjeu de l'évolution institutionnelle plus celui de inauguration du Lycée Shoelcher peuvent être des motifs suffisants pour justifier un retour aux prochaines élections de la CTM;