Les observateurs politiques noteront que l’on retrouve dans le fonctionnement de notre institution tous les travers des régimes autoritaires staliniens, dont les ravages sont pourtant bien connus désormais.
Cette attitude ignore et méprise l’apport de l’intelligence collective, du « Construire Ensemble » cité par tous mais si peu mis en œuvre dans notre île. Cette attitude ignore et méprise les connaissances et compétences des 51 élus de l’Assemblée et de milliers d’agents de notre Collectivité, sollicités à la marge car trop éloignés du centre de décision. Cette attitude ignore et méprise la nécessité d’échanger avec toutes les forces institutionnelles, politiques, économiques et sociales pour être en accord avec les réalités qu’elles vivent et les attentes de la population.
Alors il est vrai que sur une radio militante, un Conseiller Exécutif a rappelé récemment que son parti souhaitait non seulement pouvoir faire des lois-pays, mais aussi que le Conseil Exécutif soit dénommé Gouvernement.
Force est de constater aujourd’hui que le refus éclairé du législateur d’entériner ce souhait ne les a pas empêchés de mettre en place ce mode de fonctionnement. C’est ainsi qu’ils ont très rapidement indiqué qu’il y avait un « Président de la CTM », comme s’il était Président à lui tout seul et donc Président d’un Etat Martinique.
Et aujourd’hui, c’est bien à ce niveau que se situe la bataille : ce n’est pas un combat de personnes, mais un combat sur la méthode !
Une mandature au fonctionnement passéiste et pas suffisamment productif
Les observateurs politiques noteront que l’on retrouve dans le fonctionnement de notre institution tous les travers des régimes autoritaires staliniens, dont les ravages sont pourtant bien connus désormais.
o Développement du culte de la personnalité et victimisation du chef à coup de cris de complot dès lors qu’une divergence s’exprime
o Isolement par quelques conseillers de l’ombre, seuls habilités à accéder aux informations et à donner leur avis sur le traitement des dossiers laissant les autres décideurs dans l’ignorance des données de base qui leur permettraient d’exprimer une opinion argumentée
o Obsession pour le remboursement de la dette, placé au-dessus des besoins immédiats du territoire, comme ce fut le cas du régime CEAUSESCU pendant que son pays mourrait de faim
o Des constructions émotionnelles négatives nourries de tous les ressentiments hérités du passé, minant
la confiance du peuple en lui et en son avenir, dressant les uns contre les autres, plutôt que de s’attacher aux moyens d’en identifier les causes et de résoudre ensemble les conséquences.
o Une ligne de discours de propagande défendue, répétée, assénée par des militants jusqu’à la caricature
o La technique du : « on surveille, on menace, on fait peur à tout le monde », avec en toile de fond la calomnie, la calomnie, la calomnie, sous des couverts de vérités.
En faisant ces choix d’un autre temps, les conseillers de l’ombre ont fait du tort à celui qu’ils voulaient servir. Ils ont fait du tort au contrat de mandature qui a été signé. Ils ont fait du tort à la confiance que la population avait placée en nous. En faisant ce choix d’un autre temps, les conseillers de l’ombre ont ralenti le fonctionnement d’une institution créée pour être plus efficace que les deux institutions précédentes. C’est malheureusement le contraire qui s’est passé :
Concernant la gestion du personnel : S’il est vrai que la fusion avait été mal préparée, comment expliquer le temps qu’il a fallu pour mettre en place un organigramme qui a priori ne serait même pas finalisé à ce jour ? Comment expliquer que les compétences de nombre d’agents, encore aujourd’hui, soient sous utilisés ?
Concernant le fonctionnement de l’institution : La centralisation des décisions et des signatures a engorgé les circuits de décisions. Pourquoi un tel manque de confiance dans la capacité des cadres de la Collectivité à prendre des décisions éclairées ? Comment expliquer le manque de visibilité pour les élus, pour le personnel, pour la population concernant les procédures propres aux services ? Comment expliquer que nombre de décisions et d’actions se traitent quasi systématiquement dans la précipitation ? Comment justifier le rallongement des délais de paiements ?
Concernant la relation aux élus et aux acteurs du territoire : Comment justifier le refus de partager les informations propres à la Collectivité avec les élus (études sur la fusion des ex-collectivité, audit de 2016, taux d’exécution des différents contrats de plan ou des budgets, etc…) ? Comment expliquer qu’un groupuscule politique au sein de cette collectivité semble être mieux informé que le reste des élus ? Pourquoi n’avoir pas poussé la concertation en assurant la mise en œuvre de la Conférence Territoriale de l’Action Publique, du HCCP ? Pensez-vous vraiment qu’il est plus efficace de décider seul avec 2 ou 3 qui sont choisis ?
Concernant l’investissement pour le territoire : Cette mandature a été caractérisée par un manque d’ambition, de proactivité et de vision, couplés au manque d’utilisation des moyens à notre disposition ! Comment expliquer que l’aide aux entreprises soit passée de 26 M€ en 2015 à 6M€ en 2016 et 2,1 M€ en 2017, si bien qu’en février 2017 il n’y avait déjà plus de moyens pour aider les entreprises de Martinique ? Qu’en est-il de l’utilisation du Contrat de Plan Etat-Région, devenu Contrat de Convergence ? Qu’en est-il de la mise en œuvre du STDEII voté en grandes pompes dès 2017 ? Qu’en est-il de la rédaction du PADDMA 5 ans après ? Qu’en estil de l’utilisation des « Fonds Barnier » pour mettre en sécurité nos populations et donner du travail à nos entreprises.
Alors il est vrai que sur une radio militante, un Conseiller Exécutif a rappelé récemment que son parti souhaitait non seulement pouvoir faire des lois-pays, mais aussi que le Conseil Exécutif soit dénommé Gouvernement.
Force est de constater aujourd’hui que le refus éclairé du législateur d’entériner ce souhait ne les a pas empêchés de mettre en place ce mode de fonctionnement. C’est ainsi qu’ils ont très rapidement indiqué qu’il y avait un « Président de la CTM », comme s’il était Président à lui tout seul et donc Président d’un Etat Martinique.
Et aujourd’hui, c’est bien à ce niveau que se situe la bataille : ce n’est pas un combat de personnes, mais un combat sur la méthode !
Une mandature au fonctionnement passéiste et pas suffisamment productif
Les observateurs politiques noteront que l’on retrouve dans le fonctionnement de notre institution tous les travers des régimes autoritaires staliniens, dont les ravages sont pourtant bien connus désormais.
o Développement du culte de la personnalité et victimisation du chef à coup de cris de complot dès lors qu’une divergence s’exprime
o Isolement par quelques conseillers de l’ombre, seuls habilités à accéder aux informations et à donner leur avis sur le traitement des dossiers laissant les autres décideurs dans l’ignorance des données de base qui leur permettraient d’exprimer une opinion argumentée
o Obsession pour le remboursement de la dette, placé au-dessus des besoins immédiats du territoire, comme ce fut le cas du régime CEAUSESCU pendant que son pays mourrait de faim
o Des constructions émotionnelles négatives nourries de tous les ressentiments hérités du passé, minant
la confiance du peuple en lui et en son avenir, dressant les uns contre les autres, plutôt que de s’attacher aux moyens d’en identifier les causes et de résoudre ensemble les conséquences.
o Une ligne de discours de propagande défendue, répétée, assénée par des militants jusqu’à la caricature
o La technique du : « on surveille, on menace, on fait peur à tout le monde », avec en toile de fond la calomnie, la calomnie, la calomnie, sous des couverts de vérités.
En faisant ces choix d’un autre temps, les conseillers de l’ombre ont fait du tort à celui qu’ils voulaient servir. Ils ont fait du tort au contrat de mandature qui a été signé. Ils ont fait du tort à la confiance que la population avait placée en nous. En faisant ce choix d’un autre temps, les conseillers de l’ombre ont ralenti le fonctionnement d’une institution créée pour être plus efficace que les deux institutions précédentes. C’est malheureusement le contraire qui s’est passé :
Concernant la gestion du personnel : S’il est vrai que la fusion avait été mal préparée, comment expliquer le temps qu’il a fallu pour mettre en place un organigramme qui a priori ne serait même pas finalisé à ce jour ? Comment expliquer que les compétences de nombre d’agents, encore aujourd’hui, soient sous utilisés ?
Concernant le fonctionnement de l’institution : La centralisation des décisions et des signatures a engorgé les circuits de décisions. Pourquoi un tel manque de confiance dans la capacité des cadres de la Collectivité à prendre des décisions éclairées ? Comment expliquer le manque de visibilité pour les élus, pour le personnel, pour la population concernant les procédures propres aux services ? Comment expliquer que nombre de décisions et d’actions se traitent quasi systématiquement dans la précipitation ? Comment justifier le rallongement des délais de paiements ?
Concernant la relation aux élus et aux acteurs du territoire : Comment justifier le refus de partager les informations propres à la Collectivité avec les élus (études sur la fusion des ex-collectivité, audit de 2016, taux d’exécution des différents contrats de plan ou des budgets, etc…) ? Comment expliquer qu’un groupuscule politique au sein de cette collectivité semble être mieux informé que le reste des élus ? Pourquoi n’avoir pas poussé la concertation en assurant la mise en œuvre de la Conférence Territoriale de l’Action Publique, du HCCP ? Pensez-vous vraiment qu’il est plus efficace de décider seul avec 2 ou 3 qui sont choisis ?
Concernant l’investissement pour le territoire : Cette mandature a été caractérisée par un manque d’ambition, de proactivité et de vision, couplés au manque d’utilisation des moyens à notre disposition ! Comment expliquer que l’aide aux entreprises soit passée de 26 M€ en 2015 à 6M€ en 2016 et 2,1 M€ en 2017, si bien qu’en février 2017 il n’y avait déjà plus de moyens pour aider les entreprises de Martinique ? Qu’en est-il de l’utilisation du Contrat de Plan Etat-Région, devenu Contrat de Convergence ? Qu’en est-il de la mise en œuvre du STDEII voté en grandes pompes dès 2017 ? Qu’en est-il de la rédaction du PADDMA 5 ans après ? Qu’en estil de l’utilisation des « Fonds Barnier » pour mettre en sécurité nos populations et donner du travail à nos entreprises.
Non seulement le plus souvent vous ne m’avez pas répondu (pour l’anecdote, j’ai dû recevoir 3 courriers officiels en 5 ans en réponses aux dizaines de courriers que je vous ai envoyés), mais j’ai fini par apprendre que certains de vos conseillers laissaient entendre que j’avais des intérêts dans ces dossiers.
Vous venez juste d’achever les travaux de reconversion de l’immeuble de l’ex-Maternité de Redoute. Vous semblez vous enorgueillir de cette réalisation alors que son bilan aurait dû vous contraindre à la discrétion. Quand nous sommes arrivés en 2015, ce projet avait déjà été engagé depuis 4 ans et il vous aura fallu 5 ans de plus pour le mener à son terme, soit un total de 9 années pour construire ou plutôt réhabiliter 8 200 m². Vous ne mesurez ni le ridicule, ni votre inefficacité quand vous annoncez que cette réalisation n’aura pas coûté moins de 50 M€, soit un prix au m² de 6 100 € (plus élevé que le coût de construction d’un plateau technique hospitalier hyper spécialisé). Vous aurez donc dépensé plus de 2 fois le montant nécessaire et mis 5 fois le temps nécessaire à réhabiliter un bâtiment.
Certes, le Lycée Schoelcher est en phase d’achèvement, et il n’a jamais été dit que cette mandature n’aurait rien fait. Comment pourrait-il en être autrement quand on dispose de 6 Milliards d’euros de budget ? La question qui se pose est celle de l’efficacité dans l’action. Qu’en est-il d’autres dossiers porteurs pour la Martinique ? :
La mise aux normes accessibilités des ERP
La valorisation des Golf et l’Hippodrome : 5 ans après votre arrivée nous en sommes au même
stade
Le plan de mise aux normes des réseaux d’assainissement : rien de fait
Les liaisons interzones : point zéro
Le Transport par barges : aucunes avancées
La valorisation du Patrimoine et de la signalétique touristique : même le musée de Saint-Pierre,
où vous avez fait la démonstration de votre incapacité, vous aura échappé
Le suivi du dossier Sargasses : zéro
La construction du collège du Morne-Rouge : 4 ans après le vote du Budget, toujours pas sorti
de terre
Et que dire des Fonds JEREMIE ? Un dossier que nous vous avons amené depuis 2017 et pour lequel nous étions les premiers d’outre-mer à nous positionner. Or il n’est toujours pas opérationnel et ne le sera pas avant la fin de cette mandature vous prenant les pieds dans le tapis dans la procédure d’appel d’offres. La Réunion qui n’avait même pas imaginé ce fonds quand nous en parlions 2017, l’a déjà mis en place depuis. Cela nous interroge sur votre efficacité et votre capacité à faire preuve de bon sens.
Sur tous ces dossiers, et bien d’autres encore je vous ai sollicité à plusieurs reprises dès le début de la mandature pour accompagner l’Exécutif dans la réflexion et la mise en œuvre. Non seulement le plus souvent vous ne m’avez pas répondu (pour l’anecdote, j’ai dû recevoir 3 courriers officiels en 5 ans en réponses aux dizaines de courriers que je vous ai envoyés), mais j’ai fini par apprendre que certains de vos conseillers laissaient entendre que j’avais des intérêts dans ces dossiers. Ainsi au nom de bruits et de rumeurs infondés, et pour des raisons d’idéologies passéistes qui assimilent chefs d’entreprises à profiteurs, vous avez choisi de vous priver de ce que je pouvais apporter plutôt que d’échanger en face avec moi sur ce qui pourrait vous gêner. C’est l’une des choses qui nous différencie : moi je dis en face, et non sur des tréteaux ou des réseaux ou des radios, ce que je pense ! Ce que je dis pour moi vaut sans doute pour d’autres et résume bien les mécanismes mis en place par votre gouvernance durant ces 6 ans. C’est regrettable, non pour moi ou pour les autres élus empêchés d’apporter leur contribution ; c’est regrettable et dommage pour notre Martinique. Séguineau n’est pas le combat : le respect de la démocratie l’est !
Aujourd’hui vous êtes gênés que nous vous ayons fait remarquer la bêtise d’envisager de dépenser ainsi 5 millions d’euros de fonds publics sur 18 mois. C’est cela que vous proposiez alors. Nous vous avons contraints à retirer cette proposition et vous avons demandé d’engager des négociations avec le propriétaire pour mettre fin à un conflit vieux de 10 ans.
Certes, le Lycée Schoelcher est en phase d’achèvement, et il n’a jamais été dit que cette mandature n’aurait rien fait. Comment pourrait-il en être autrement quand on dispose de 6 Milliards d’euros de budget ? La question qui se pose est celle de l’efficacité dans l’action. Qu’en est-il d’autres dossiers porteurs pour la Martinique ? :
La mise aux normes accessibilités des ERP
La valorisation des Golf et l’Hippodrome : 5 ans après votre arrivée nous en sommes au même
stade
Le plan de mise aux normes des réseaux d’assainissement : rien de fait
Les liaisons interzones : point zéro
Le Transport par barges : aucunes avancées
La valorisation du Patrimoine et de la signalétique touristique : même le musée de Saint-Pierre,
où vous avez fait la démonstration de votre incapacité, vous aura échappé
Le suivi du dossier Sargasses : zéro
La construction du collège du Morne-Rouge : 4 ans après le vote du Budget, toujours pas sorti
de terre
Et que dire des Fonds JEREMIE ? Un dossier que nous vous avons amené depuis 2017 et pour lequel nous étions les premiers d’outre-mer à nous positionner. Or il n’est toujours pas opérationnel et ne le sera pas avant la fin de cette mandature vous prenant les pieds dans le tapis dans la procédure d’appel d’offres. La Réunion qui n’avait même pas imaginé ce fonds quand nous en parlions 2017, l’a déjà mis en place depuis. Cela nous interroge sur votre efficacité et votre capacité à faire preuve de bon sens.
Sur tous ces dossiers, et bien d’autres encore je vous ai sollicité à plusieurs reprises dès le début de la mandature pour accompagner l’Exécutif dans la réflexion et la mise en œuvre. Non seulement le plus souvent vous ne m’avez pas répondu (pour l’anecdote, j’ai dû recevoir 3 courriers officiels en 5 ans en réponses aux dizaines de courriers que je vous ai envoyés), mais j’ai fini par apprendre que certains de vos conseillers laissaient entendre que j’avais des intérêts dans ces dossiers. Ainsi au nom de bruits et de rumeurs infondés, et pour des raisons d’idéologies passéistes qui assimilent chefs d’entreprises à profiteurs, vous avez choisi de vous priver de ce que je pouvais apporter plutôt que d’échanger en face avec moi sur ce qui pourrait vous gêner. C’est l’une des choses qui nous différencie : moi je dis en face, et non sur des tréteaux ou des réseaux ou des radios, ce que je pense ! Ce que je dis pour moi vaut sans doute pour d’autres et résume bien les mécanismes mis en place par votre gouvernance durant ces 6 ans. C’est regrettable, non pour moi ou pour les autres élus empêchés d’apporter leur contribution ; c’est regrettable et dommage pour notre Martinique. Séguineau n’est pas le combat : le respect de la démocratie l’est !
Aujourd’hui vous êtes gênés que nous vous ayons fait remarquer la bêtise d’envisager de dépenser ainsi 5 millions d’euros de fonds publics sur 18 mois. C’est cela que vous proposiez alors. Nous vous avons contraints à retirer cette proposition et vous avons demandé d’engager des négociations avec le propriétaire pour mettre fin à un conflit vieux de 10 ans.
Vous accusez les élus qui recherchent des solutions PLUS SIMPLES et MOINS COUTEUSES, d’avoir des intérêts personnels poussant le ridicule jusqu’à inventer un lien de parenté entre M. Bally et une élue de cette Assemblée.
Photo Serge Boissard
Ce propriétaire avait reçu une proposition en date du 8 septembre 2015 émanant du Conseil Général qui proposait alors, sous l’autorité de Madame Manin, alors Présidente, et du 1er Vice-Président du Conseil Général, notre collègue David ZOBDA, à hauteur de 450 000 euros pour l’achat du terrain et le préjudice subi. Personne n’osera mettre en cause la probité de Madame Josette Manin et de notre collègue David Zobda. Voulez-vous sous-entendre que ces deux personnalités respectées de la vie Politique de la Martinique auraient une quelconque accointance liée à des questions d’intérêt avec M. Bally ?
En réalité, en proposant, après bien des discussions et des débats, de transiger pour la moitié de cette somme, le propriétaire faisait preuve de bonne volonté et pensait ainsi finir définitivement avec cette affaire. Au lieu de cela, vous tentez de le faire passer pour un profiteur et vous tentez de discréditer ceux qui ne vous suivent pas dans vos manœuvres de mauvaise foi.
Vous accusez les élus qui recherchent des solutions PLUS SIMPLES et MOINS COUTEUSES, d’avoir des intérêts personnels poussant le ridicule jusqu’à inventer un lien de parenté entre M. Bally et une élue de cette Assemblée.
Vous donnez le pas à votre égo sur le bon sens élémentaire. Une décision plus rapide que toutes les autres sans risque supplémentaire et moins coûteuse a été adoptée par l’Assemblée. Cette décision a été votée, validée par le contrôle de la légalité et donc aujourd’hui elle doit être mise en œuvre. Vous vous étiez engagé en ma présence et en présence de six autres témoins. Vous avez donné instruction à votre Directeur Général, M. Mercan, en présence de votre conseiller, M. Clodion, d’exécuter la décision votée par l’Assemblée. La parole de l’homme vaut l’homme ou plutôt valait l’homme.
Aujourd’hui, aucun d’entre nous ici dans cette Assemblée mais au-delà aucun Martiniquais n’a intérêt à ce qu’un tel précédent existe. Ce précédent consacrerait qu’un Président de l’Exécutif pourrait ignorer sur une décision de l’Assemblée.
Mes chers collègues, si nous acceptons d’examiner ce projet soumis à l’Assemblée ce jour c’est à cela que nous aboutirions. Quels qu’en soient les motifs, nous ne pouvons accepter cela, sauf à cautionner l’absence de pouvoir de l’Assemblée et à convenir que ce système permet de donner tous les pouvoirs à un seul homme en consacrant la Dictature par délégation.
Yan MONPLAISIR – le 21/12/20
En réalité, en proposant, après bien des discussions et des débats, de transiger pour la moitié de cette somme, le propriétaire faisait preuve de bonne volonté et pensait ainsi finir définitivement avec cette affaire. Au lieu de cela, vous tentez de le faire passer pour un profiteur et vous tentez de discréditer ceux qui ne vous suivent pas dans vos manœuvres de mauvaise foi.
Vous accusez les élus qui recherchent des solutions PLUS SIMPLES et MOINS COUTEUSES, d’avoir des intérêts personnels poussant le ridicule jusqu’à inventer un lien de parenté entre M. Bally et une élue de cette Assemblée.
Vous donnez le pas à votre égo sur le bon sens élémentaire. Une décision plus rapide que toutes les autres sans risque supplémentaire et moins coûteuse a été adoptée par l’Assemblée. Cette décision a été votée, validée par le contrôle de la légalité et donc aujourd’hui elle doit être mise en œuvre. Vous vous étiez engagé en ma présence et en présence de six autres témoins. Vous avez donné instruction à votre Directeur Général, M. Mercan, en présence de votre conseiller, M. Clodion, d’exécuter la décision votée par l’Assemblée. La parole de l’homme vaut l’homme ou plutôt valait l’homme.
Aujourd’hui, aucun d’entre nous ici dans cette Assemblée mais au-delà aucun Martiniquais n’a intérêt à ce qu’un tel précédent existe. Ce précédent consacrerait qu’un Président de l’Exécutif pourrait ignorer sur une décision de l’Assemblée.
Mes chers collègues, si nous acceptons d’examiner ce projet soumis à l’Assemblée ce jour c’est à cela que nous aboutirions. Quels qu’en soient les motifs, nous ne pouvons accepter cela, sauf à cautionner l’absence de pouvoir de l’Assemblée et à convenir que ce système permet de donner tous les pouvoirs à un seul homme en consacrant la Dictature par délégation.
Yan MONPLAISIR – le 21/12/20