Le motif de droit de retrait est tombé !
C'est au micro de RCI que l'inspection du travail a informé la population qu'elle considère que le mouvement de grève des chauffeurs de la CFTU n'est pas un droit de retrait. Il s'agit bien d'une grève dont la motivation est de protéger une salarié licenciée quand bien même il existait des situations de danger . Mais de rajouter que ces seules situations ne pouvaient pas constituer une raison suffisante pour un blocage aussi long. . Si nous comprenons ce droit de grève, c'est la méthode brutale que nous n’approuvons pas comme les usagers. L'Etat a tranché, il conviendra maintenant de regarder avec attention quelle nouvelle parade sera mise en place.
Ce syndicat nous ayant habitué à confondre cabosse et chocolat au lait, la contestation du droit de retrait manifestée par le dirigeant de la CFTU a bien été entendue. L'inspection du travail a donc validé ce qui était une évidence pour tout le monde.
Directrice de la Direction des Entreprises, de la Concurrence, de la Consommation, du Travail et de l’Emploi, invitée du Journal de 13h, avec Isabelle Hamot sur RCI et c'est à ce micro que nous avons appris suite à une question de Jean Marc Pulvar que dès vendredi , la direction et les syndicats savaient que la procédure de droit de retrait ne pouvait pas tenir. On peut donc légitimement se demander ce qu'il en adviendra.
Nous allons donc vérifier si les chauffeurs reprennent le travail ou s'ils continuent de soutenir l'idée de faire réintégrer leur collègue de travail. La population observera avec intérêt la situation.
Ce syndicat nous ayant habitué à confondre cabosse et chocolat au lait, la contestation du droit de retrait manifestée par le dirigeant de la CFTU a bien été entendue. L'inspection du travail a donc validé ce qui était une évidence pour tout le monde.
Directrice de la Direction des Entreprises, de la Concurrence, de la Consommation, du Travail et de l’Emploi, invitée du Journal de 13h, avec Isabelle Hamot sur RCI et c'est à ce micro que nous avons appris suite à une question de Jean Marc Pulvar que dès vendredi , la direction et les syndicats savaient que la procédure de droit de retrait ne pouvait pas tenir. On peut donc légitimement se demander ce qu'il en adviendra.
Nous allons donc vérifier si les chauffeurs reprennent le travail ou s'ils continuent de soutenir l'idée de faire réintégrer leur collègue de travail. La population observera avec intérêt la situation.