Il ne faut pas attendre la soif pour tirer l'eau du puits." Proverbe chinois La Politique Culturelle manque de décibels
Mais je parle d'une véritable politique culturelle et non du saupoudrage pratiqué par nos Collectivités de tous niveaux.
A chaque élection, nous citoyens attentifs à ce qui se dit, à ce qui est promis, nous espérons voir émerger une ligne directrice capable d'allier les domaines artistique, culturel et patrimonial à la politique touristique.
Notre gastronomie est confinée à quelques sites rebelles pour laisser dominer toutes les cuisines venant d'ailleurs. Nous sommes plus que réjouis lorsque nous pouvons déguster un bon "fewos", un bon "macadam", un bon "trip-ti nin" etc... mais nous acceptons d'accueillir nos visiteurs à l'aéroport dans un fast food!
Notre rhum, réputé mondialement et dont nous ne pouvons qu'être fiers est souvent proposé après un Whisky, un Ricard ou autre quand on peut le trouver facilement.
Notre musique et nos danses résistent comme elles peuvent à l'assaut des rythmes d'ailleurs et les écoles de Salsa sont plus nombreuses que des écoles de biguine", mazurka ou bèlè.
Les medias préfèrent nous abreuver de tous ces sons qui asphyxient notre patrimoine culturel avec des animateurs qui ne connaissent pas Francisco, Ti Emile ou Marius Cultier par exemple.
La nouvelle gouvernance de la CTM saura t-elle nous proposer une vraie politique culturelle pour que notre économie locale puisse mettre en avant nos richesses et nos talents?
Les soirées littéraires ne tiennent pas toujours compte de la diversité de nos créateurs et de leurs œuvres et sont souvent offertes à des publics plus que restreints.
Nos enfants ne connaissent pas la Martinique, son histoire et ses trésors et apparemment cela ne semble déranger personne.
Nous préférons nous enliser dans des cancans et des querelles partisanes au lieu de réagir et de proposer!
A chaque élection, nous citoyens attentifs à ce qui se dit, à ce qui est promis, nous espérons voir émerger une ligne directrice capable d'allier les domaines artistique, culturel et patrimonial à la politique touristique.
Notre gastronomie est confinée à quelques sites rebelles pour laisser dominer toutes les cuisines venant d'ailleurs. Nous sommes plus que réjouis lorsque nous pouvons déguster un bon "fewos", un bon "macadam", un bon "trip-ti nin" etc... mais nous acceptons d'accueillir nos visiteurs à l'aéroport dans un fast food!
Notre rhum, réputé mondialement et dont nous ne pouvons qu'être fiers est souvent proposé après un Whisky, un Ricard ou autre quand on peut le trouver facilement.
Notre musique et nos danses résistent comme elles peuvent à l'assaut des rythmes d'ailleurs et les écoles de Salsa sont plus nombreuses que des écoles de biguine", mazurka ou bèlè.
Les medias préfèrent nous abreuver de tous ces sons qui asphyxient notre patrimoine culturel avec des animateurs qui ne connaissent pas Francisco, Ti Emile ou Marius Cultier par exemple.
La nouvelle gouvernance de la CTM saura t-elle nous proposer une vraie politique culturelle pour que notre économie locale puisse mettre en avant nos richesses et nos talents?
Les soirées littéraires ne tiennent pas toujours compte de la diversité de nos créateurs et de leurs œuvres et sont souvent offertes à des publics plus que restreints.
Nos enfants ne connaissent pas la Martinique, son histoire et ses trésors et apparemment cela ne semble déranger personne.
Nous préférons nous enliser dans des cancans et des querelles partisanes au lieu de réagir et de proposer!
Pas de salle couverte de spectacle de plus de 1000 places en Martique mais un stade souvent vide dans chaque commune
Une photo c'est mille mots RCI a porté à bout de bras l'organisateur du PGZDM
ET pourtant de grandes choses sont possibles en Martinique
