Certains préfèrent en rire et s'en amusent, mais la dernière expérience du chanteur du producteur et taxi man, montre que l'on ne peut pas tout faire, ni tout dire. Il convient de comprendre que si l'illustrateur tourne en dérision la situation, la panne Facebook n'a rien a voir avec le mouvement syndical !
Il se passe une passe d'armes entre la population et le syndicaliste de la CSTM Bertrand Cambusy. Entre la menace de porter porter plainte en justice suite aux injures que ce dernier aurait subi durant le carnaval et l'envie de la population d'exprimer son ras le bol de savoir que des lignes désertes sont sans bus, il existe un climat ou c'est ce même Bertrand Cambusy qui cristallise sur son nom toute la haine du peuple.
Autrement dit la Martinique est partagée entre ceux qui considèrent que le syndicaliste a raison et ceux qui considèrent qu'il est inadmissible de tout bloquer, en particulier un TCSP qui a déjà tant de mal à rouler en assurant un service de qualité et un activité pérenne.
Nous, notre opinion c'est que toute ou partie d'une population ne peut être bloquée tout le temps, d'autant qu'à ce micro, celui de MAKACLA.COM, au départ le responsable de la CSTM avait indiqué qu'il n'avait rien à voir avec la grève des employés de la CFTU. Il s'en était presque lavé les mains. Il se trouve aujourd'hui que c'est lui qui est en grève sans que les employés de la CTFU ne lui viennent en aide cette fois. Rappelons qu'entre temps, le Président de la CTM a sifflé la mi temps, renvoyant au vestiaire et dos à dos l'ensemble des joueurs de la partie, quelque soit leur camp. En indiquant qu'il était prêt à brûler une maison pour un rat, tout le monde a pris peur, et en faisant voter la fin du contrat de la CFTU, ce dernier a mis chacun de devant ses responsabilités et son destin.
Nous avions été parmi les seuls médias dans un éditorial à considérer que le président avait raison à 200 %.
C'est ainsi que " la Cambuze" est resté le seul à garder la chaloupe, le pauvre ! Autrement dit le seul à être en grève. Cette grève est contestée par l'opinion publique depuis que ce dernier a bloqué le TCSP, que la justice lui aura demandé de débloquer. Ce qu'il a fait ! Et pour contraindre les politiques qui savent qu'ils ont pour eux l'opinion publique, la CSTM annonce une grève générale sans délai. La vraie question est de savoir combien de temps va durer cette grève et si elle dure plus qu'un jour ou deux, comment les uns et les autres vont s'en sortir honorablement, avant qu'un incident ne fasse dégénérer une affaire qui n'a que trop duré.
En effet dans le fond du dossier, Bertrand Cambusy n'a pas tort même si sa méthode sur la forme est inacceptable. En définitive, ce conflit nous montre l’archaïsme des relations sociales dans ce pays, et indique bien que tant que les interlocuteurs habituels seront les mêmes, nous resterons dans le même marasme. Le fond de cette affaire est une lutte de classe où certains en réalité cherchent à déstabiliser un système dont la perversité est connue de tous!
Ce qu'il faut comprendre c'est que certains continuent de s'enrichir malgré ce marasme, et rassurez vous il n'y a pas que les banques qui deviennent plus riches ! La Martinique est donc partagée entre ceux qui n'ont pas le choix, et qui acceptent leur condition, ceux qui n'en n'ont rien à foutre et qui savent qu'il est mieux de s'organiser en réseau de débrouillardises et ceux qui finalement parce qu'il y ont un intérêt font tout pour tirer le meilleur profit de la situation.
En effet il n'est pas admissible que des usagers subissent de tels parjures de ceux qui doivent être à leur service, plus grave il n'est pas pensable que chacun ne puisse venir à une table pour négocier. En fait dans ce dossier c'est une logique du pourrissement qui prévaut, et dès lors c'est le rapport de forces qui prévaut.
Notre crainte, et nous le répétons, c'est qu'un incident ne mette le feu en cette période d'herbe sèche ! Nous aurions préféré nous tromper cette fois ...
Autrement dit la Martinique est partagée entre ceux qui considèrent que le syndicaliste a raison et ceux qui considèrent qu'il est inadmissible de tout bloquer, en particulier un TCSP qui a déjà tant de mal à rouler en assurant un service de qualité et un activité pérenne.
Nous, notre opinion c'est que toute ou partie d'une population ne peut être bloquée tout le temps, d'autant qu'à ce micro, celui de MAKACLA.COM, au départ le responsable de la CSTM avait indiqué qu'il n'avait rien à voir avec la grève des employés de la CFTU. Il s'en était presque lavé les mains. Il se trouve aujourd'hui que c'est lui qui est en grève sans que les employés de la CTFU ne lui viennent en aide cette fois. Rappelons qu'entre temps, le Président de la CTM a sifflé la mi temps, renvoyant au vestiaire et dos à dos l'ensemble des joueurs de la partie, quelque soit leur camp. En indiquant qu'il était prêt à brûler une maison pour un rat, tout le monde a pris peur, et en faisant voter la fin du contrat de la CFTU, ce dernier a mis chacun de devant ses responsabilités et son destin.
Nous avions été parmi les seuls médias dans un éditorial à considérer que le président avait raison à 200 %.
C'est ainsi que " la Cambuze" est resté le seul à garder la chaloupe, le pauvre ! Autrement dit le seul à être en grève. Cette grève est contestée par l'opinion publique depuis que ce dernier a bloqué le TCSP, que la justice lui aura demandé de débloquer. Ce qu'il a fait ! Et pour contraindre les politiques qui savent qu'ils ont pour eux l'opinion publique, la CSTM annonce une grève générale sans délai. La vraie question est de savoir combien de temps va durer cette grève et si elle dure plus qu'un jour ou deux, comment les uns et les autres vont s'en sortir honorablement, avant qu'un incident ne fasse dégénérer une affaire qui n'a que trop duré.
En effet dans le fond du dossier, Bertrand Cambusy n'a pas tort même si sa méthode sur la forme est inacceptable. En définitive, ce conflit nous montre l’archaïsme des relations sociales dans ce pays, et indique bien que tant que les interlocuteurs habituels seront les mêmes, nous resterons dans le même marasme. Le fond de cette affaire est une lutte de classe où certains en réalité cherchent à déstabiliser un système dont la perversité est connue de tous!
Ce qu'il faut comprendre c'est que certains continuent de s'enrichir malgré ce marasme, et rassurez vous il n'y a pas que les banques qui deviennent plus riches ! La Martinique est donc partagée entre ceux qui n'ont pas le choix, et qui acceptent leur condition, ceux qui n'en n'ont rien à foutre et qui savent qu'il est mieux de s'organiser en réseau de débrouillardises et ceux qui finalement parce qu'il y ont un intérêt font tout pour tirer le meilleur profit de la situation.
En effet il n'est pas admissible que des usagers subissent de tels parjures de ceux qui doivent être à leur service, plus grave il n'est pas pensable que chacun ne puisse venir à une table pour négocier. En fait dans ce dossier c'est une logique du pourrissement qui prévaut, et dès lors c'est le rapport de forces qui prévaut.
Notre crainte, et nous le répétons, c'est qu'un incident ne mette le feu en cette période d'herbe sèche ! Nous aurions préféré nous tromper cette fois ...
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