C’est la première sortie du Front indépendantiste mis en place depuis le regroupement en février dernier, de quatre formations indépendantistes sous la bannière unique de Corsica Libera .Un Front qui annonce une véritable restructuration des forces nationalistes Corse. Petru-Anto Tomasi, membre de l'exécutif de l'organisation l’a clairement annoncé au différents médias présents à cette manifestation.
Un Front qui rassemble Corsica Nazione Indipendente (CNI), le Rinnovu ainsi que deux mouvements de moindre importance, l'Accolta naziunale corsa-Parti socialiste pour l'indépendance (ANC-PSI) et Strada Dritta.
Les représentant des autres territoires occupés par la France étaient présents, principalement des syndicalistes guadeloupéens et kanaks, qui ont profité pour faire le point sur la situation économique et sociale dans leur territoire respectif.
C’est un véritable état des lieux de la Guadeloupe et des conséquences de l’occupation française aux Antilles qui étaient mis en avant. La question Kanak semblait être mieux connue. Un documentaire présenté en privé a suscité de nombreuses questions sur le rôle des békés dans ces pays.
En tout cas, ces journées ont été prises très au sérieux par le nouveau ministère de l’intérieur également ministres de l’Outre-Mer.
Il faut dire que la présence des représentants syndicaux et politiques de Corse, de Bretagne, du
Pays basque, de Catalogne, du Québec et de Sardaigne participant aussi aux débats et ateliers n’était pas pour rassurer l’Etat colonial. Pour la première fois, une délégation kabyle était présente à Corte. Par contre, les mouvements indépendantistes de Martinique étaient absents.
Un rassemblement qui aura des suites et un élargissement dans les mois qui viennent.
NDLR. Pour notre part, nous publirons les textes reçu de notre correspondant. Nous reviendrons sur le contenu de ces débats qui nous intéressent directement ne serait-ce que sur la question de la citoyenneté.En effet, un texte prévoit l'obtention d'une "citoyenneté corse" qui imposerait "dix ans de résidence permanente aux nouveaux venus avant qu'ils puissent participer à des élections ou acheter un bien immobilier". En Martinique, dans le débat actuel sur l’évolution institutionnelle ou sur le changement de statut nos élus autonomistes et néo-autonomistes devraient se positionner sur une telle question.
Un Front qui rassemble Corsica Nazione Indipendente (CNI), le Rinnovu ainsi que deux mouvements de moindre importance, l'Accolta naziunale corsa-Parti socialiste pour l'indépendance (ANC-PSI) et Strada Dritta.
Les représentant des autres territoires occupés par la France étaient présents, principalement des syndicalistes guadeloupéens et kanaks, qui ont profité pour faire le point sur la situation économique et sociale dans leur territoire respectif.
C’est un véritable état des lieux de la Guadeloupe et des conséquences de l’occupation française aux Antilles qui étaient mis en avant. La question Kanak semblait être mieux connue. Un documentaire présenté en privé a suscité de nombreuses questions sur le rôle des békés dans ces pays.
En tout cas, ces journées ont été prises très au sérieux par le nouveau ministère de l’intérieur également ministres de l’Outre-Mer.
Il faut dire que la présence des représentants syndicaux et politiques de Corse, de Bretagne, du
Pays basque, de Catalogne, du Québec et de Sardaigne participant aussi aux débats et ateliers n’était pas pour rassurer l’Etat colonial. Pour la première fois, une délégation kabyle était présente à Corte. Par contre, les mouvements indépendantistes de Martinique étaient absents.
Un rassemblement qui aura des suites et un élargissement dans les mois qui viennent.
NDLR. Pour notre part, nous publirons les textes reçu de notre correspondant. Nous reviendrons sur le contenu de ces débats qui nous intéressent directement ne serait-ce que sur la question de la citoyenneté.En effet, un texte prévoit l'obtention d'une "citoyenneté corse" qui imposerait "dix ans de résidence permanente aux nouveaux venus avant qu'ils puissent participer à des élections ou acheter un bien immobilier". En Martinique, dans le débat actuel sur l’évolution institutionnelle ou sur le changement de statut nos élus autonomistes et néo-autonomistes devraient se positionner sur une telle question.