Dans ce combat où les élus doivent être ensemble le MIM et ses affidés veulent utiliser ce drame à de basses manœuvres politiciennes et dans cette assemblée régionale de Martinique un élu plaisancier est un pilleur de la ressource pour sa poche !!! La politique rend fou et avec 2015 le thermomètre monte oubliant que le combat est une mobilisation pour défendre notre environnement empoisonné et nos familles réduites à la misère.
L’un des plus récents documents est le Rapport d'évaluation des plans d'action Chlordécone aux Antilles (Martinique, Guadeloupe) fait par MM BLANCHARD Philippe, FEMENIAS Alain, GILLET Hervé, RENUCCI Armand remis en Mars 2012…235 pages. Commande du Ministère de l'écologie, du développement durable, des transports et du logement. L’Etat français dit : « Ce document fait le bilan du plan d'actions 2008-2010, mis en place pour lutter contre les conséquences sanitaires d'un pesticide organochloré, la molécule de Chlordécone, utilisé jusqu'en 1993 aux Antilles contre le charançon du bananier, reste globalement mitigé. En effet, si les actions menées dans ce cadre ont bien permis de réelles avancées, leur portée en a été toutefois limitée par une stratégie restrictive et un pilotage inefficient. Aussi, concernant le nouveau plan 2011-2013 dont la conception et le contenu sont très proches du précédent, le rapport propose des améliorations pour en clarifier la stratégie, arbitrer entre les priorités et hiérarchiser les actions, resserrer le pilotage de l'Etat et construire une gouvernance locale avec toutes les parties prenantes. A moyen et long termes, afin de permettre une action pérenne, efficace et mesurable, il recommande de replacer l'action publique dans les politiques nationales en intégrant la problématique des pesticides aux Antilles dans les plans « Ecophyto 2018 » et « Santé-environnement » et de mettre en place une organisation spécifique de la recherche ».Dans le plan 2011.2013 comment expliquer que l'on n'ai pas vu venir la pollution des milieux marins ou alors la chose a été tenue au secret.
Au fond rien n’est fait et toutes les démarches par les associations écologiques se heurtent à la complicité des réseaux békés qui sont les responsables majeurs de l’empoisonnement des terres, de l’eau, des milieux marins du territoire martiniquais. Aujourd’hui c’est le monde de la mer, de la pêche qui se connaît une catastrophe sanitaire d’ampleur jamais connu.
L’heure est au rassemblement et certains hommes politiques organisent la division du Pays, et l’on n’entend pas la voix de Garcin Malsa qui se positionne comme le pape de l’environnement un homme de rassemblement quand il s’agit de la Martinique.
L’un des plus récents documents est le Rapport d'évaluation des plans d'action Chlordécone aux Antilles (Martinique, Guadeloupe) fait par MM BLANCHARD Philippe, FEMENIAS Alain, GILLET Hervé, RENUCCI Armand remis en Mars 2012…235 pages. Commande du Ministère de l'écologie, du développement durable, des transports et du logement. L’Etat français dit : « Ce document fait le bilan du plan d'actions 2008-2010, mis en place pour lutter contre les conséquences sanitaires d'un pesticide organochloré, la molécule de Chlordécone, utilisé jusqu'en 1993 aux Antilles contre le charançon du bananier, reste globalement mitigé. En effet, si les actions menées dans ce cadre ont bien permis de réelles avancées, leur portée en a été toutefois limitée par une stratégie restrictive et un pilotage inefficient. Aussi, concernant le nouveau plan 2011-2013 dont la conception et le contenu sont très proches du précédent, le rapport propose des améliorations pour en clarifier la stratégie, arbitrer entre les priorités et hiérarchiser les actions, resserrer le pilotage de l'Etat et construire une gouvernance locale avec toutes les parties prenantes. A moyen et long termes, afin de permettre une action pérenne, efficace et mesurable, il recommande de replacer l'action publique dans les politiques nationales en intégrant la problématique des pesticides aux Antilles dans les plans « Ecophyto 2018 » et « Santé-environnement » et de mettre en place une organisation spécifique de la recherche ».Dans le plan 2011.2013 comment expliquer que l'on n'ai pas vu venir la pollution des milieux marins ou alors la chose a été tenue au secret.
Au fond rien n’est fait et toutes les démarches par les associations écologiques se heurtent à la complicité des réseaux békés qui sont les responsables majeurs de l’empoisonnement des terres, de l’eau, des milieux marins du territoire martiniquais. Aujourd’hui c’est le monde de la mer, de la pêche qui se connaît une catastrophe sanitaire d’ampleur jamais connu.
L’heure est au rassemblement et certains hommes politiques organisent la division du Pays, et l’on n’entend pas la voix de Garcin Malsa qui se positionne comme le pape de l’environnement un homme de rassemblement quand il s’agit de la Martinique.