Cette dérogation, valable pour une durée de 6 mois, est aux communes suivantes : SAINT PIERRE , LE CARBET LE MORNE ROUGE AJOUPA-BOUILLON GRAND RIVIERE MACOUBA BASSE-POINTE LE LORRAIN LE MARIGOT SAINTE MARIE TRINITE LE ROBERT LE GROS MORNE SAINT JOSEPH FORT DE FRANCE LE LAMENTIN DUCOS LE FRANCOIS SAINT ESPRIT LE VAUCLIN. Il précisait même "actuellement, aucune alternative technique crédible au traitement aérien ne permet aux producteurs de bananes de remplir leur obligation réglementaire de lutte contre la cercosporiose."
L’opinion publique attendait une solution efficace et réaliste de traitement par voie terrestre. Aucune autorité sanitaire du territoire ne peut dire les conséquences de l’épandage aérien sur la qualité de l'air martiniquais 8 mois plus tard sauf le « professeur Grabin » qui nous dit qu’il n’y a aucun danger.
Le préfet vient de renouveler l’autorisation d’empoisonner le territoire Martiniquais pour encore 6 mois et … encore… six mois malgré le principe de précaution rappelé par le Conseil de L’Ordre des Médecin de Martinique .Et nos mémoires résonnent l’empoisonnement organisé de nos sols et de nos eux par le chlordéconne.
Nos activistes d’aujourd’hui sur la question de l’épandage aérien étaient bien muets en février 2009.
Ils ont complètement oublié la directive du Parlement Européen qui visait à obliger les pays membres dès 2011 à adopter des plans nationaux afin de réduire les risques et conséquences de l’utilisation des pesticides et de l’épandage aérien. Tous nos écologistes le savaient et surtout avaient pleinement connaissance de l’utilisation du pesticide faisant problème aujourd’hui
En 2009,l’Etat français demandait aux élus en gestion du pays Martinique , en attendant l’application des plans nationaux visant à réduire les risques et conséquences de l’utilisation des pesticides et de l’épandage aérien que soit respecté l’arrêté du 04 mars 2004 paru au JO du 24 mars 2004 visant à interdire les produits classés toxiques et très toxiques respecter une distance minimale de 50 mètres des habitations et jardins, littoral maritime, points d’eau consommables, parcs d’élevage,…porter à la connaissance du public notamment par voie d’affichage, la réalisation de traitements lorsqu’il s’agit d’un traitement aérien sur un couvert végétal ne permettant pas au pilote de l’aéronef de s’assurer de l’absence de personne dans la zone à traiter. Rien n’a été mis en place et dans ce contexte du « rien fait » un homme venu du froid comme tous ces « trente six mois » il autorise l’empoisonnement. Monsieur le Préfet vous risquez là le TPI pour non-respect de la protection des vies humaines dont vous avez la charge au de la République.
L’opinion publique attendait une solution efficace et réaliste de traitement par voie terrestre. Aucune autorité sanitaire du territoire ne peut dire les conséquences de l’épandage aérien sur la qualité de l'air martiniquais 8 mois plus tard sauf le « professeur Grabin » qui nous dit qu’il n’y a aucun danger.
Le préfet vient de renouveler l’autorisation d’empoisonner le territoire Martiniquais pour encore 6 mois et … encore… six mois malgré le principe de précaution rappelé par le Conseil de L’Ordre des Médecin de Martinique .Et nos mémoires résonnent l’empoisonnement organisé de nos sols et de nos eux par le chlordéconne.
Nos activistes d’aujourd’hui sur la question de l’épandage aérien étaient bien muets en février 2009.
Ils ont complètement oublié la directive du Parlement Européen qui visait à obliger les pays membres dès 2011 à adopter des plans nationaux afin de réduire les risques et conséquences de l’utilisation des pesticides et de l’épandage aérien. Tous nos écologistes le savaient et surtout avaient pleinement connaissance de l’utilisation du pesticide faisant problème aujourd’hui
En 2009,l’Etat français demandait aux élus en gestion du pays Martinique , en attendant l’application des plans nationaux visant à réduire les risques et conséquences de l’utilisation des pesticides et de l’épandage aérien que soit respecté l’arrêté du 04 mars 2004 paru au JO du 24 mars 2004 visant à interdire les produits classés toxiques et très toxiques respecter une distance minimale de 50 mètres des habitations et jardins, littoral maritime, points d’eau consommables, parcs d’élevage,…porter à la connaissance du public notamment par voie d’affichage, la réalisation de traitements lorsqu’il s’agit d’un traitement aérien sur un couvert végétal ne permettant pas au pilote de l’aéronef de s’assurer de l’absence de personne dans la zone à traiter. Rien n’a été mis en place et dans ce contexte du « rien fait » un homme venu du froid comme tous ces « trente six mois » il autorise l’empoisonnement. Monsieur le Préfet vous risquez là le TPI pour non-respect de la protection des vies humaines dont vous avez la charge au de la République.