En clair, au bout des huit mois de mandature, Serge Letchimy aurait du résorber le chômage en Martinique !!! En fait, le porte parole du Mouvement Indépendantiste Martiniquais, le dénommé Louis Boutrin a sans doute perdu son GPS •,c'est-à-dire sa boussole.
Une question se pose, le porte parole du MIM ,avait-il discuté avec les mimistes historiques avant de prendre la parole ? Car déclarer publiquement qu’ « Aujourd’hui, chacun peut constater l’état actuel du pays ! La situation économique et sociale s’est fortement dégradée et la Martinique est en panne économique. Ce n’est pas là une vision de l’esprit mais une lecture objective des indicateurs socio-économiques du pays : * Le pays s’appauvrit d’avantage : la baisse de 6,5 % du PIB constatée en 2009 s’accentue* les Communes traversent d’énormes difficultés budgétaires, 8 d’entre elles sont en passe d’être mises sous tutelle,* le nombre d’entreprises qui déposent leur bilan ne cesse d’augmenter, * le chômage est reparti à la hausse (+ 5,4 % depuis votre arrivée aux affaires). Les jeunes (près de 60 % des chômeurs actifs) y paient un lourd tribut. * les conséquences sociétales n’ont pas tardé à se faire sentir : explosion de la violence, augmentation de l’insécurité et crise sociétale profonde. Donc, point d’épanouissement mais plutôt un pays qui s’installe dans la crise durable ! »
C’est penser que l’élection de Serge Letchimy au mois de mars 2010 allait tout changer en huit mois. Rien que ça Letchimy rivé … tout bagail chanjé.
NON! Tout bagaille ké changé baille temps
Comment expliquer que Louis Boutrin néo-mimiste embarqué croit en Serge Letchimy à ce point ? Un constat s’impose de plus en plus,Louis Boutrin fait une fixation maladive sur Serge Letchimy, mais notre embarqué devrait savoir qu’au sein de la majorité actuelle de la Région, aucun élu, ne fait du Président de Région un Sauveur.
Ces élus ont bien compris la nécessité de réparer les dégâts de la Yole de Cluny . Le chemin annoncé passe par le passage à l’acte, autrement l’exécution du programme: Ensemble pour une Nouvelle Martinique..
Quand même, force est de reconnaître qu’ à l’arrivée de la nouvelle majorité , l’Institution Régionale dirigée pendant 12 années par Père Alfred est comparable au célèbre tableau de Théodore Géricault le radeau de la Méduse .
C’est vrai qu’au temps du ptit père Alfred , il n’y avait pas de Directeur Financier, de Directeur des Services Techniques, de personnes ressources qualifiées pour l’énergie, les Transports, et dans de nombreux autres secteurs c’était une carence de compétence tout se gérait verticalement.La machine fonctionnait sans tableau de bord et s’était transformée en bureau d’aide sociale et non comme un outil du développement du Pays Martinique et cela aboutit au constat fait par l’Embarqué Boutrin : "Aujourd’hui, chacun peut constater l’état actuel du pays ! La situation économique et sociale s’est fortement dégradée et la Martinique est en panne économique. Ce n’est pas là une vision de l’esprit mais une lecture objective des indicateurs socio-économiques du pays : * Le pays s’appauvrit d’avantage : la baisse de 6,5 % du PIB constatée en 2009 s’accentue* les Communes traversent d’énormes difficultés budgétaires, 8 d’entre elles sont en passe d’être mises sous tutelle,* le nombre d’entreprises qui déposent leur bilan ne cesse d’augmenter, * le chômage est reparti à la hausse (+ 5,4 % depuis votre arrivée aux affaires). Les jeunes (près de 60 % des chômeurs actifs) y paient un lourd tribut. * les conséquences sociétales n’ont pas tardé à se faire sentir : explosion de la violence, augmentation de l’insécurité et crise sociétale profonde. Donc, point d’épanouissement mais plutôt un pays qui s’installe dans la crise durable »
Beau constat, certes mais c’est le résultat d’une politique menée pendant douze ans au moins.
A ce jeu, nous disons que l’héritage que nous laisse le père Alfred est le résultat de ses mauvais choix politiques .Il faut rappeler à l’embarqué Boutrin le constat fait par le professeur agrégé Jean Crusol .
Ce dernier Jean dénonce l’autocrate du MIM qui par ses choix a « cassé la croissance économique de la Martinique », notamment en ayant réduit l’investib[ssement régional de 10 % au début de sa première mandature en 1998 et 1999 et en ayant choisi de rembourser la dette régionale en deux ans, soit 137 millions d’euros. Et de comparer l’évolution du Produit Intérieur Brut (PIB= Richesse globale) de la Martinique à celui de la Guadeloupe qui, de supérieur qu’il était en 1998 (5 milliards d’euros contre 4,8 milliards d’euros), a été dépassé en 2008 par celui de la Guadeloupe (7,6 milliards d’euros contre 7,8 milliards d’euros) » ]b
Et, c’est sans doute cette vérité qui fait mal.
Tellement mal que, Gilles Dégras patron du site bondamanjak, un mimiste honteux dans les bureaux de la région à la recherche de document auprès de l'informatique, reprend sur son site une réponse de Michel Branchi à Jean Crusol faite le 17 mars 2010 … le 28 novembre 2010 !!!! et notre journaliste entre en scène par le titre qu’il fait lui-même.
Pourtant les pleureuses de l’assemblée Régionale n’arrêtent pas de dire que la campagne politique est terminée. Difficile pour eux d’admettre la défaite politique. Car huit mois après,-répétons-le- notre.ptit Père Alfred se croit encore le Président de Région.
Il faut voir notre homme dans les couloirs du Stade Pierre Aliker quémandant aux journalistes qu’ils insultaient hier de lui donner la parole pour ne pas définitivement disparaître.
Nous reviendrons sur son comportement dans les couloirs de cette Digicel Cup . C’est vrai grand nhom pas ka honte … mais quand même.
Sur la question du plan de relance nous reviendrons.
Une question se pose, le porte parole du MIM ,avait-il discuté avec les mimistes historiques avant de prendre la parole ? Car déclarer publiquement qu’ « Aujourd’hui, chacun peut constater l’état actuel du pays ! La situation économique et sociale s’est fortement dégradée et la Martinique est en panne économique. Ce n’est pas là une vision de l’esprit mais une lecture objective des indicateurs socio-économiques du pays : * Le pays s’appauvrit d’avantage : la baisse de 6,5 % du PIB constatée en 2009 s’accentue* les Communes traversent d’énormes difficultés budgétaires, 8 d’entre elles sont en passe d’être mises sous tutelle,* le nombre d’entreprises qui déposent leur bilan ne cesse d’augmenter, * le chômage est reparti à la hausse (+ 5,4 % depuis votre arrivée aux affaires). Les jeunes (près de 60 % des chômeurs actifs) y paient un lourd tribut. * les conséquences sociétales n’ont pas tardé à se faire sentir : explosion de la violence, augmentation de l’insécurité et crise sociétale profonde. Donc, point d’épanouissement mais plutôt un pays qui s’installe dans la crise durable ! »
C’est penser que l’élection de Serge Letchimy au mois de mars 2010 allait tout changer en huit mois. Rien que ça Letchimy rivé … tout bagail chanjé.
NON! Tout bagaille ké changé baille temps
Comment expliquer que Louis Boutrin néo-mimiste embarqué croit en Serge Letchimy à ce point ? Un constat s’impose de plus en plus,Louis Boutrin fait une fixation maladive sur Serge Letchimy, mais notre embarqué devrait savoir qu’au sein de la majorité actuelle de la Région, aucun élu, ne fait du Président de Région un Sauveur.
Ces élus ont bien compris la nécessité de réparer les dégâts de la Yole de Cluny . Le chemin annoncé passe par le passage à l’acte, autrement l’exécution du programme: Ensemble pour une Nouvelle Martinique..
Quand même, force est de reconnaître qu’ à l’arrivée de la nouvelle majorité , l’Institution Régionale dirigée pendant 12 années par Père Alfred est comparable au célèbre tableau de Théodore Géricault le radeau de la Méduse .
C’est vrai qu’au temps du ptit père Alfred , il n’y avait pas de Directeur Financier, de Directeur des Services Techniques, de personnes ressources qualifiées pour l’énergie, les Transports, et dans de nombreux autres secteurs c’était une carence de compétence tout se gérait verticalement.La machine fonctionnait sans tableau de bord et s’était transformée en bureau d’aide sociale et non comme un outil du développement du Pays Martinique et cela aboutit au constat fait par l’Embarqué Boutrin : "Aujourd’hui, chacun peut constater l’état actuel du pays ! La situation économique et sociale s’est fortement dégradée et la Martinique est en panne économique. Ce n’est pas là une vision de l’esprit mais une lecture objective des indicateurs socio-économiques du pays : * Le pays s’appauvrit d’avantage : la baisse de 6,5 % du PIB constatée en 2009 s’accentue* les Communes traversent d’énormes difficultés budgétaires, 8 d’entre elles sont en passe d’être mises sous tutelle,* le nombre d’entreprises qui déposent leur bilan ne cesse d’augmenter, * le chômage est reparti à la hausse (+ 5,4 % depuis votre arrivée aux affaires). Les jeunes (près de 60 % des chômeurs actifs) y paient un lourd tribut. * les conséquences sociétales n’ont pas tardé à se faire sentir : explosion de la violence, augmentation de l’insécurité et crise sociétale profonde. Donc, point d’épanouissement mais plutôt un pays qui s’installe dans la crise durable »
Beau constat, certes mais c’est le résultat d’une politique menée pendant douze ans au moins.
A ce jeu, nous disons que l’héritage que nous laisse le père Alfred est le résultat de ses mauvais choix politiques .Il faut rappeler à l’embarqué Boutrin le constat fait par le professeur agrégé Jean Crusol .
Ce dernier Jean dénonce l’autocrate du MIM qui par ses choix a « cassé la croissance économique de la Martinique », notamment en ayant réduit l’investib[ssement régional de 10 % au début de sa première mandature en 1998 et 1999 et en ayant choisi de rembourser la dette régionale en deux ans, soit 137 millions d’euros. Et de comparer l’évolution du Produit Intérieur Brut (PIB= Richesse globale) de la Martinique à celui de la Guadeloupe qui, de supérieur qu’il était en 1998 (5 milliards d’euros contre 4,8 milliards d’euros), a été dépassé en 2008 par celui de la Guadeloupe (7,6 milliards d’euros contre 7,8 milliards d’euros) » ]b
Et, c’est sans doute cette vérité qui fait mal.
Tellement mal que, Gilles Dégras patron du site bondamanjak, un mimiste honteux dans les bureaux de la région à la recherche de document auprès de l'informatique, reprend sur son site une réponse de Michel Branchi à Jean Crusol faite le 17 mars 2010 … le 28 novembre 2010 !!!! et notre journaliste entre en scène par le titre qu’il fait lui-même.
Pourtant les pleureuses de l’assemblée Régionale n’arrêtent pas de dire que la campagne politique est terminée. Difficile pour eux d’admettre la défaite politique. Car huit mois après,-répétons-le- notre.ptit Père Alfred se croit encore le Président de Région.
Il faut voir notre homme dans les couloirs du Stade Pierre Aliker quémandant aux journalistes qu’ils insultaient hier de lui donner la parole pour ne pas définitivement disparaître.
Nous reviendrons sur son comportement dans les couloirs de cette Digicel Cup . C’est vrai grand nhom pas ka honte … mais quand même.
Sur la question du plan de relance nous reviendrons.