Et de rajouter l’homme Martiniquais qu’il est. Et de compléter : ce Martiniquais qui se bat pour le respect de ses droits constitutionnels.
Voici les combats d’Hervé PINTO ; Récupération de 16 hectares aux trois îlets.
Récupération de son poste de travail,
Engagement politique puisqu’il était candidat aux législatives.
Est-ce que cela ne fait pas beaucoup de combats pour un seul homme ?
Effectivement, la question se pose, car si depuis plusieurs jours Hervé PINTO ne cesse de se présenter à la porte de son entreprise et d’être refoulé, les collègues qu’il commandait ne bougent pas le petit doigt.
Daniel MARIE SAINTE comme syndicaliste à la CSTM disait toujours, une négociation, c’est avant tout l’évaluation d’un rapport de forces.
Est pour cela que les patrons parisiens de la poste en MARTINIQUE ont commencé par mettre face à Hervé PINTO, une équipe de gros bras privée, payée pour le tenir hors de l’entreprise. C’est, je crois la première fois que cela se voit ainsi ici.
Ce conflit interroge, car il semble plus actif sur les réseaux sociaux que dans la rue. 80 000 personnes déjà auraient visionné la première vidéo d’Hervé PINTO, et les gens de Dillon viennent de plus nombreux l’ écouter. Les membres de l’ASSAUPAMAR semblent pour l’heure, les premiers sur l’affaire. Le patron local de la poste lui ne cesse de répéter qu’il met en application, les directives de sa direction de France, la preuve que Paris est bien informée de cette affaire.
Ce conflit porte en lui les germes d’une affaire détestable, des gardes du corps Martiniquais, payés pour empêcher à un autre Martiniquais de retrouver son poste de travail alors qu’aucune décision de justice n’ empêche, à cette heure à Hervé PINTO de retrouver son poste de travail,
On peut se demander où nous sommes.
Ecoutez le cri de détresse d'Hervé PINTO
Récupération de son poste de travail,
Engagement politique puisqu’il était candidat aux législatives.
Est-ce que cela ne fait pas beaucoup de combats pour un seul homme ?
Effectivement, la question se pose, car si depuis plusieurs jours Hervé PINTO ne cesse de se présenter à la porte de son entreprise et d’être refoulé, les collègues qu’il commandait ne bougent pas le petit doigt.
Daniel MARIE SAINTE comme syndicaliste à la CSTM disait toujours, une négociation, c’est avant tout l’évaluation d’un rapport de forces.
Est pour cela que les patrons parisiens de la poste en MARTINIQUE ont commencé par mettre face à Hervé PINTO, une équipe de gros bras privée, payée pour le tenir hors de l’entreprise. C’est, je crois la première fois que cela se voit ainsi ici.
Ce conflit interroge, car il semble plus actif sur les réseaux sociaux que dans la rue. 80 000 personnes déjà auraient visionné la première vidéo d’Hervé PINTO, et les gens de Dillon viennent de plus nombreux l’ écouter. Les membres de l’ASSAUPAMAR semblent pour l’heure, les premiers sur l’affaire. Le patron local de la poste lui ne cesse de répéter qu’il met en application, les directives de sa direction de France, la preuve que Paris est bien informée de cette affaire.
Ce conflit porte en lui les germes d’une affaire détestable, des gardes du corps Martiniquais, payés pour empêcher à un autre Martiniquais de retrouver son poste de travail alors qu’aucune décision de justice n’ empêche, à cette heure à Hervé PINTO de retrouver son poste de travail,
On peut se demander où nous sommes.
Ecoutez le cri de détresse d'Hervé PINTO