Les politiques scolaires de la droite prolongent celles de la gauche. Lorsque M. Luc Ferry met en cause la « démagogie » de la loi d’orientation de 1989, qui place « l’élève au centre du système », il oublie que les moyens ont toujours manqué pour enseigner « autrement » : heures de concertation des équipes pédagogiques, suivi individuel des élèves. La loi d’orientation de 1989 a entériné le transfert (enclenché avec les lois de décentralisation des années 1980) des compétences administratives vers les établissements publics d’enseignement.
Un ministre, qui affirme que l’autonomie des établissements est « la clé de toutes les autres réformes» n’ignore pas que l’enseignement primaire a déjà expérimenté, à l’échelon municipal, ce que les établissements secondaires vont probablement connaître sur le plan départemental ou régional. C'est-à-dire le délabrement et une baisse de la qualité de l’enseignement.
Et des conseils sont donnés par une ordure du nom de Christian Morisson.Jugez-en !!!
« Si on diminue les dépenses de fonctionnement, il faut veiller à ne pas diminuer la quantité de services rendus, quitte à ce que la qualité baisse. On peut réduire, par exemple, les crédits de fonctionnement aux écoles et aux universités, mais il serait dangereux de restreindre le nombre d’élèves ou d’étudiants. Les familles réagiront violemment à un refus d’inscription de leurs enfants, mais non à une baisse graduelle de la qualité de l’enseignement, et l’école peut progressivement obtenir une contribution des familles ou supprimer telle activité. Cela se fait au coup par coup, dans une école mais non dans l’établissement voisin, de telle sorte que l’on évite un mécontentement général de la population . »
Voilà le guide que l’on remet aux Préfets et aux Recteurs qui viennent aux isles de l’Amérique. Martinique,Guadeloupe pour 36 mois.
Fort de ces directives Morisson ,tout est mis en place et nous nous agitons sans se mobiliser fermement contre cette déstruction programmée de nos enfants.Tout cela est bien plus plus triste que la tritesse.
Un ministre, qui affirme que l’autonomie des établissements est « la clé de toutes les autres réformes» n’ignore pas que l’enseignement primaire a déjà expérimenté, à l’échelon municipal, ce que les établissements secondaires vont probablement connaître sur le plan départemental ou régional. C'est-à-dire le délabrement et une baisse de la qualité de l’enseignement.
Et des conseils sont donnés par une ordure du nom de Christian Morisson.Jugez-en !!!
« Si on diminue les dépenses de fonctionnement, il faut veiller à ne pas diminuer la quantité de services rendus, quitte à ce que la qualité baisse. On peut réduire, par exemple, les crédits de fonctionnement aux écoles et aux universités, mais il serait dangereux de restreindre le nombre d’élèves ou d’étudiants. Les familles réagiront violemment à un refus d’inscription de leurs enfants, mais non à une baisse graduelle de la qualité de l’enseignement, et l’école peut progressivement obtenir une contribution des familles ou supprimer telle activité. Cela se fait au coup par coup, dans une école mais non dans l’établissement voisin, de telle sorte que l’on évite un mécontentement général de la population . »
Voilà le guide que l’on remet aux Préfets et aux Recteurs qui viennent aux isles de l’Amérique. Martinique,Guadeloupe pour 36 mois.
Fort de ces directives Morisson ,tout est mis en place et nous nous agitons sans se mobiliser fermement contre cette déstruction programmée de nos enfants.Tout cela est bien plus plus triste que la tritesse.