[Quelques jeunes martiniquais- non béké- décident lancer sur le Net une plaisanterie,consistant dire que les békés coquant entre eux ,ils fallaient les sortir de l'endogamie.
Ainsi naît l'Association Koké Ich Betché.
Une intention fort louable , une version Tous créoles dévergondée, mais la plaisanterie a mal tourné, car trois membres de l’Association d’AKIB ont été récemment placés en garde à vue mardi dernier.
Comme quoi, dans cette Martinique d’apartheid, quand un jeune martiniquais est tué disons accidentellement par un béké au Cap-Est cela ne nécessite pas de garde à vue, mais une mauvaise plaisanterie avec la caste béké provoque une gardeà vue...
Par contre,les ancêtres békés des plaignants et plaignantes n’ont jamais fait d’association pour koké les femmes esclaves de leur habitation. Et « Dieu » seul peut nous donner le décompte.
Pourtant ,rien que pour ce dévergondage verbale, la gendarmerie du Lamentin se mobilise et enquête sur ce dossier que le procureur de la république considère fort justement comme « un dérapage verbal », et qui provoque un véritable débat autour de la signification du mot « koké ».
Pour les plaignants, il est traduit par une incitation au viol des filles békés.
Vraiment qui peut croire que Koké c’est violer !!!
Le mot koké ne peut pas être traduit par le mot viol. C’est un non-sens.Et les békés s’ils sont Martiniquais ils le savent.
Les volontaires, ou ceux qui veulent se dévouer à cette opération de métissage n’ont pas été compris, ils auraient dû tous adhérer à Tous Créoles et tranquillement koké sans crier garde , y compris les négresses domestiques adhérentes et les békettes avec.
Tout cela , n’a rien à voir avec les propos du béké raciste Alain HUYGUES DESPOINTES qui est une incitation à la haine raciale.
Un beau procès sur le Koké dans l'histoire de Martinique.
NB. Les femmes non béké qui ont eu des relations intimes avec les békés viendont témoigner pour dire si elles ont éte koké ou non. Pour la catégorie ethnique béké : koké c'est violé...mi déba
Ainsi naît l'Association Koké Ich Betché.
Une intention fort louable , une version Tous créoles dévergondée, mais la plaisanterie a mal tourné, car trois membres de l’Association d’AKIB ont été récemment placés en garde à vue mardi dernier.
Comme quoi, dans cette Martinique d’apartheid, quand un jeune martiniquais est tué disons accidentellement par un béké au Cap-Est cela ne nécessite pas de garde à vue, mais une mauvaise plaisanterie avec la caste béké provoque une gardeà vue...
Par contre,les ancêtres békés des plaignants et plaignantes n’ont jamais fait d’association pour koké les femmes esclaves de leur habitation. Et « Dieu » seul peut nous donner le décompte.
Pourtant ,rien que pour ce dévergondage verbale, la gendarmerie du Lamentin se mobilise et enquête sur ce dossier que le procureur de la république considère fort justement comme « un dérapage verbal », et qui provoque un véritable débat autour de la signification du mot « koké ».
Pour les plaignants, il est traduit par une incitation au viol des filles békés.
Vraiment qui peut croire que Koké c’est violer !!!
Le mot koké ne peut pas être traduit par le mot viol. C’est un non-sens.Et les békés s’ils sont Martiniquais ils le savent.
Les volontaires, ou ceux qui veulent se dévouer à cette opération de métissage n’ont pas été compris, ils auraient dû tous adhérer à Tous Créoles et tranquillement koké sans crier garde , y compris les négresses domestiques adhérentes et les békettes avec.
Tout cela , n’a rien à voir avec les propos du béké raciste Alain HUYGUES DESPOINTES qui est une incitation à la haine raciale.
Un beau procès sur le Koké dans l'histoire de Martinique.
NB. Les femmes non béké qui ont eu des relations intimes avec les békés viendont témoigner pour dire si elles ont éte koké ou non. Pour la catégorie ethnique béké : koké c'est violé...mi déba