Journée internationale des droits des femmes, spéciale dédicace à Adzovi Happy Amewuho !


Rédigé le Vendredi 8 Mars 2019 à 05:16 |
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Plus particulièrement en Afrique les droits de la femme ne doivent pas se confondre avec la journée de la femme. Donner un droit aux femmes, c'est justement arrêter de les chosifier. Nous parlons bien de droit, car les femmes ont des droits, déjà le droit de penser !


Quand nous, fils et filles de l'Afrique comprendrons la valeur de notre identité noire, toute la lourdeur de notre histoire et l'importance de nous regrouper, mère Afrique reprendra ses couleurs éclatantes.

Je ne parle pas d'esclavage, ça ce n'est qu'une partie de notre histoire. Nous avons oublié nos racines, notre culture. Nous devons nous renforcer du savoir de nos racines, nous inspirer du souffle de notre mère.

Je suis révoltée et j'ai mal, mais ma rage n'est pas contre l'étranger. Elle est contre cet oubli et ce manque cruel d'intérêt pour notre propre histoire. Notre jeunesse n'a rien à quoi s'accrocher, d'où venons-nous, qui sommes-nous ? Quelle est notre histoire ? La culture ? Le sentiment d'appartenir vraiment à une communauté ? Nous nous en éloignons de plus en plus.

C'est le moment de s'éveiller !! De rayer la traîtrise de notre communauté, le moment de resserrer nos liens, nos forces pour reconstruire notre continent.

Avant d'aller à la guerre, il faut préparer l'armée et booster l'harmonie, l'entente dans les rangs. Comprendre qu'on ne peut gagner contre celui qui maîtrise son histoire et détient la nôtre entre ses mains. Celui qui détient votre histoire vous détient vous.

Il n'y aura aucun triomphe tant qu'il y aura des failles dans nos regroupements, parce que l'étranger trouvera toujours le moyen de s'y infiltré.

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Bonjour, Bienvenue sur Realtalk d’Adzovi. Je m’appelle Happy.

Pour la petite histoire j’ai eu mon baccalauréat littéraire il y a deux ans et par curiosité je suis devenue un peu touche à tout, vie d’étudiante, activités extrascolaires, vie associative, mannequinat et formation. Depuis toute petite, j’avais la passion d’écrire. J’ai écrit mon premier poème quand j’étais en 6ème et je me rappelle encore que c’était complètement nul et lyrique.

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Femme d'action.
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