Mais nous nous sommes posé la question à nous, même de savoir quelles causes martiniquaises que Kemi Seba puisse mieux défendre que nous Martiniquais en MARTINIQUE ?
José Hayot en collaboration avec des penseurs Martiniquais visitent l'exposition .
D'autre part si on partage partage le fait de la commemoration même souillée par certains activistes locaux, je crois que nous devons trouver nos propres symboles, nos propres codes notre propre langage. Aller dans un commerce et prendre à la vue de tous me semble être une stigmatisation d'un groupe ( les commerçants) et la désignation d'un sous groupe (les békés) comme les seuls responsables de tous nos malheurs.
Je crois que notre plus gros bug est de savoir travailler ensemble. A faire des choix ensemble, à nous projeter ensemble, et à nous organiser ensemble.
Résultat les élites martiniquaises, politiques, économiques, culturelles occupées à se battre dans un cancan circulaire insupportable ont laissé hors leur responsabilité propre, la place à des icônes mondiales dont le job est de déconstruire. Or dans le cas qui nous intéresse, celui de la présence de Kemi Seba en MARTINIQUE plusieurs causes se mélangent comme un mauvais calalou :
Celle de la question identitaire, avec le rattachement à l’Afrique.
Celle de l’économie, avec l’existence sur le territoire de groupe de distribution en quasi monopole.
Celle de la décolonisation de la Martinique avec le regain d’activité autour du drapeau, rouge vert noir.
Mais surtout celle de la jeunesse.
A ce propos nous écoutons la réaction de José Hayot .
Je crois que notre plus gros bug est de savoir travailler ensemble. A faire des choix ensemble, à nous projeter ensemble, et à nous organiser ensemble.
Résultat les élites martiniquaises, politiques, économiques, culturelles occupées à se battre dans un cancan circulaire insupportable ont laissé hors leur responsabilité propre, la place à des icônes mondiales dont le job est de déconstruire. Or dans le cas qui nous intéresse, celui de la présence de Kemi Seba en MARTINIQUE plusieurs causes se mélangent comme un mauvais calalou :
Celle de la question identitaire, avec le rattachement à l’Afrique.
Celle de l’économie, avec l’existence sur le territoire de groupe de distribution en quasi monopole.
Celle de la décolonisation de la Martinique avec le regain d’activité autour du drapeau, rouge vert noir.
Mais surtout celle de la jeunesse.
A ce propos nous écoutons la réaction de José Hayot .