Le Député du sud savait qu’il était en terrain miné
Le Député du sud savait qu’il était en terrain miné, et qu’en face de lui, il avait du lourd. Un Gabriel GALLION qui connait bien les arcanes du monde politique vicieux, pour y avoir travaillé dans le ventre du monstre qu’est l’Assemblée Nationale avant de vendre ses services, au Groupe France Antilles.
Eddy MARAJO, en pleine opération de reconquête de la crédibilité d’OPEN SOFT, qui voit d’un coup, ce qu’il ne voyait pas avant le premier tour des élections avait plus de retenu avec ce client qu’il appelait plus NILOR que Jean Philipe.
Pour rire certaines mauvaises langues disent même, que ce sont ces chiffres qui voyant LETCHIMY « élu avant d’être allé aux élections », endormirent L’ex patron de Plateau ROY.
Enfin Jean MARC qui cette fois a préféré ponctuer le débat de petites phrases, histoire d’apaiser le gros poisson, pour mieux le faire rentrer dans la nasse se réjouissait de l’audience de sont support ce dimanche matin.
En acceptant de faire cette émission Jean Philippe NILOR savait qu’il prenait un risque, mais avait besoin d’une tribune, pour dire des choses, sans doute à des gens en particulier ceux de son opposition, dans son propre groupe politique.
Eddy MARAJO, en pleine opération de reconquête de la crédibilité d’OPEN SOFT, qui voit d’un coup, ce qu’il ne voyait pas avant le premier tour des élections avait plus de retenu avec ce client qu’il appelait plus NILOR que Jean Philipe.
Pour rire certaines mauvaises langues disent même, que ce sont ces chiffres qui voyant LETCHIMY « élu avant d’être allé aux élections », endormirent L’ex patron de Plateau ROY.
Enfin Jean MARC qui cette fois a préféré ponctuer le débat de petites phrases, histoire d’apaiser le gros poisson, pour mieux le faire rentrer dans la nasse se réjouissait de l’audience de sont support ce dimanche matin.
En acceptant de faire cette émission Jean Philippe NILOR savait qu’il prenait un risque, mais avait besoin d’une tribune, pour dire des choses, sans doute à des gens en particulier ceux de son opposition, dans son propre groupe politique.
Sur la question du Prétendu déficit.
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Jean Claude DUVERGER est clair il n’y a pas de déficit. Son explication est simple. De plus de 80 millions de pertes annoncées dans le compte administratif les patrons de la CTM reportent 13 millions dans le budget prévisionnel.
Selon DUVERGER l’excédent de 11 millions du conseil général compenserait ce déficit. Et de poursuivre sur un budget de plus d’un milliard d’euros 2 millions c’est une queue de cerise.
Laissons à DUVERGER la paternité de ses calculs et acceptons, de sa démonstration pour mieux vous dire pourquoi JPN bluffe, quand il dit qu’Alfred MARIE JEANNE sur son seul nom, à cette heure aurait obtenu les plus de 120 000 Millions pour financer son emprunt.
Le nombre de banques locales a fondu comme neige au soleil plus que quelques groupes dont 95 % sont obligés de faire remonter sur Paris les dossier de financement. La grève de la BNP ressemble presque à un départ annoncé de la Martinique de la BNP. Pas plus de 4 grands groupes bancaires sont capables de financer ce besoin pour équilibrer ce fond de roulement. Il est incroyable qu’à cette heure que 30 millions par banque ne soient trouvés même avec ZERO déficit à la CTM.
Le temps utile pour la décision, pour la prise de garantie, les précautions prudentiel des banques, mais surtout l’éloignement des centres de décision qui ne satisfont pas simplement de savoir qui est chabin ou un Indien démontrent que NILOR joue un Poker menteur.
Il dit avoir des sommes qu’il n’a pas d’autant que plusieurs banques sont préoccupées de certaines décisions de la nouvelle CTM.
Selon DUVERGER l’excédent de 11 millions du conseil général compenserait ce déficit. Et de poursuivre sur un budget de plus d’un milliard d’euros 2 millions c’est une queue de cerise.
Laissons à DUVERGER la paternité de ses calculs et acceptons, de sa démonstration pour mieux vous dire pourquoi JPN bluffe, quand il dit qu’Alfred MARIE JEANNE sur son seul nom, à cette heure aurait obtenu les plus de 120 000 Millions pour financer son emprunt.
Le nombre de banques locales a fondu comme neige au soleil plus que quelques groupes dont 95 % sont obligés de faire remonter sur Paris les dossier de financement. La grève de la BNP ressemble presque à un départ annoncé de la Martinique de la BNP. Pas plus de 4 grands groupes bancaires sont capables de financer ce besoin pour équilibrer ce fond de roulement. Il est incroyable qu’à cette heure que 30 millions par banque ne soient trouvés même avec ZERO déficit à la CTM.
Le temps utile pour la décision, pour la prise de garantie, les précautions prudentiel des banques, mais surtout l’éloignement des centres de décision qui ne satisfont pas simplement de savoir qui est chabin ou un Indien démontrent que NILOR joue un Poker menteur.
Il dit avoir des sommes qu’il n’a pas d’autant que plusieurs banques sont préoccupées de certaines décisions de la nouvelle CTM.
Le monde économique est préocupé, C’est le cas pour entreprises du BTP de premier plan qui ont obtenu des avances des banques sur des travaux que la CTM à décidé d’arrêter
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C’est le cas pour des entreprises du BTP de premier plan qui ont obtenu des avances sur des travaux que la CTM à décidé d’arrêter. Certaines grosses entreprises du BTP dont des grands noms de la place étant en difficulté du fait du changement institutionnelle préfèrent passer en redressement judiciaire afin de faire des plans sociaux qui allégeront l’embarcation, en attendant que les vents ne soient de nouveau favorables.
D’autre s’organisent comme des furoncles qui ramassent un lait amer, prédisposant la Martinique à une dégradation sociale certaine. Le bruit de fond des camions que l’on ne cesse de brandir comme une arme de dissuasion risque peut être un jour de réitérer le coup de colère des patrons békés qui avaient occupé le tarmac de l’aéroport se considérant en danger légitime. Le fait de choisir l’aéroport ressemble plus à une démarche de reconnaissance des lieux à occuper.
IL y donc un contentieux sérieux et une zone d’incertitude forte créer par les conditions politiques qui rendent encore plus prudent les banques de la place. Leurs clients étant en difficulté elles provisionnent du risque et se mettent dans une position d’attente, ce qui réduit leur capacité à accompagner l’économie.
En fait NILOR maquille mais ne ment pas. Pouvait t'il faire autrement?
D’autre s’organisent comme des furoncles qui ramassent un lait amer, prédisposant la Martinique à une dégradation sociale certaine. Le bruit de fond des camions que l’on ne cesse de brandir comme une arme de dissuasion risque peut être un jour de réitérer le coup de colère des patrons békés qui avaient occupé le tarmac de l’aéroport se considérant en danger légitime. Le fait de choisir l’aéroport ressemble plus à une démarche de reconnaissance des lieux à occuper.
IL y donc un contentieux sérieux et une zone d’incertitude forte créer par les conditions politiques qui rendent encore plus prudent les banques de la place. Leurs clients étant en difficulté elles provisionnent du risque et se mettent dans une position d’attente, ce qui réduit leur capacité à accompagner l’économie.
En fait NILOR maquille mais ne ment pas. Pouvait t'il faire autrement?