Les riches sont déjà riches et pourront se mettre à l’abri , et les pauvres encore plus pauvres seront ceux qui paieront les pots cassés de ce dérèglement climatique.
Né dans une famille d'agriculteurs bretons, Jean Jouzel passe par le collège Saint-Joseph à Janzé, puis le lycée de l’Assomption à Rennes avant de faire ses classes préparatoires Maths Sup et Maths spé au lycée Chateaubriand1. Il est ingénieur diplômé de l'École d’ingénieur ESCIL (nouvellement nommée CPE Lyon), promotion 1968, Docteur en sciences physiques depuis 1974 à l'issue d'une thèse sur la Complémentarité des mesures de deutérium et de tritium pour l’étude de la formation des grêlons proposée par son professeur Étienne Roth, après avoir soutenu en 1973 à la faculté d'Orsay sa thèse de doctorat troisième cycle sur les mesures du tritium dans de faibles quantités d'eau à la teneur naturelle.
Il devient alors ingénieur de recherche au Laboratoire de géochimie isotopique au CEA de Saclay dont il devient coresponsable en 1986. Il est nommé adjoint au directeur du laboratoire de glaciologie et géophysique de l'environnement au CNRS- Grenoble en 1989 puis adjoint au directeur du Laboratoire de modélisation du climat et de l'environnement (actuel LSCE) au CEA en 1991, enfin directeur de recherches au CEA en 1995.
De 2001 à 2008, il dirige l'Institut Pierre-Simon-Laplace dont une des principales composantes est le LSCE qui dépend du Commissariat à l'énergie atomique, dont il est responsable du groupe climat de 1998 à 2000. Il est également président du Conseil d'administration de l'Institut polaire français Paul-Émile-Victor (IPEV). En 2009, il devient également président de l'association Méditerranée 2000, à l'occasion du 20e anniversaire de sa création.
Jean Jouzel est reconnu mondialement pour ses analyses de la glace de l'Antarctique et du Groenland permettant de connaître le climat terrestre passé (paléoclimat). Il a publié en tant que coauteur près de 45 articles dans les prestigieuses revues scientifiques Nature et Science.
Jean Jouzel est connu du grand public pour sa contribution au sujet du réchauffement climatique notamment par son rôle au sein du GIEC de l'ONU, dont il est expert depuis 1994 et vice-président à partir de 2002. Dans cette affaire, il s'exprime non seulement en qualité de scientifique expert en climatologie mais également sur les projections économiques et les décisions politiques. En 2007, sous la présidence de Rajendra Kumar Pachauri, le GIEC se voit décerner le prix Nobel de la paix, avec Al Gore, au titre de lanceur d’alerte sur l'urgence climatique.
En 2014, il est nommé membre du Conseil stratégique de la recherche.
Après avoir soutenu Pierre Larrouturou pour la primaire citoyenne de 2017, lequel est finalement exclu du scrutin, il rejoint la campagne du candidat socialiste Benoît Hamon comme conseiller climat
Il devient alors ingénieur de recherche au Laboratoire de géochimie isotopique au CEA de Saclay dont il devient coresponsable en 1986. Il est nommé adjoint au directeur du laboratoire de glaciologie et géophysique de l'environnement au CNRS- Grenoble en 1989 puis adjoint au directeur du Laboratoire de modélisation du climat et de l'environnement (actuel LSCE) au CEA en 1991, enfin directeur de recherches au CEA en 1995.
De 2001 à 2008, il dirige l'Institut Pierre-Simon-Laplace dont une des principales composantes est le LSCE qui dépend du Commissariat à l'énergie atomique, dont il est responsable du groupe climat de 1998 à 2000. Il est également président du Conseil d'administration de l'Institut polaire français Paul-Émile-Victor (IPEV). En 2009, il devient également président de l'association Méditerranée 2000, à l'occasion du 20e anniversaire de sa création.
Jean Jouzel est reconnu mondialement pour ses analyses de la glace de l'Antarctique et du Groenland permettant de connaître le climat terrestre passé (paléoclimat). Il a publié en tant que coauteur près de 45 articles dans les prestigieuses revues scientifiques Nature et Science.
Jean Jouzel est connu du grand public pour sa contribution au sujet du réchauffement climatique notamment par son rôle au sein du GIEC de l'ONU, dont il est expert depuis 1994 et vice-président à partir de 2002. Dans cette affaire, il s'exprime non seulement en qualité de scientifique expert en climatologie mais également sur les projections économiques et les décisions politiques. En 2007, sous la présidence de Rajendra Kumar Pachauri, le GIEC se voit décerner le prix Nobel de la paix, avec Al Gore, au titre de lanceur d’alerte sur l'urgence climatique.
En 2014, il est nommé membre du Conseil stratégique de la recherche.
Après avoir soutenu Pierre Larrouturou pour la primaire citoyenne de 2017, lequel est finalement exclu du scrutin, il rejoint la campagne du candidat socialiste Benoît Hamon comme conseiller climat