Lu pour vous; Source GOODSENDNEWS Auteur Nathalie Guillaud
De son passage au centre de formation du Fc Metz à devenir délégué permanent Europe pour une ONG à l’ONU, où il participe à des travaux traitant sur l’analyse des flux migratoires vers l’Europe, les forums du Conseil Economique et Social (ECOSOC) et aux conférences sur les droits de l’homme et les droits de la femme, rien ne pouvait présager, qu’il entamerait un parcours politique.
Titulaire d’un BAC professionnel, dont il n’a jamais exercé le métier, Jean Morandais s’avère être, un opiniâtre assoiffé de culture politique et de savoir.Si jusqu’à maintenant il avait tout fait pour rester discret, en cachant même ses intentions à ses proches, il se retrouve aujourd’hui en pleine lumière, suite au lancement de son mouvement citoyen La Boite à Idées Pour la France.
Fervent patriote, c’est sans aucune retenue, qu’il nous parle de son amour pour « sa France », et de sa déception du système politique.« Une bonne poignée des hommes politique actuel, ne pense plus réellement à la nation, mais à leurs propres intérêts personnel, des partisans, des clans, on dirait même une mafia moderne, c’est malheureux, c’est aussi pour cette raison que les réformes structurelles concrète et en phase avec les attentes des français, ne sont jamais faite ! Heureusement, qu’il y a les maires de France qui n’ont aucune intention nationale et qui répondent plus globalement au mandat qui leurs sont octroyées contrairement aux autres. »« La politique est devenue un métier pour certain et non un service en phase avec leurs convictions, il n’y a plus d’hommes d’état mais des hommes de pouvoirs.
»Suite à cela, Jean Morandais nous explique que son intention de se présenter à une élection présidentielle, remonte à son passage au collège de Pointe-Noire en Guadeloupe, lors de ses premiers cours d’éducation civique. « Les cours étaient si passionnant que je m’y voyais déjà… » Passionné de géographie et de l’histoire des deux grandes guerres françaises, il se confie en disant ; « Si j’étais le Président de la république, des modules d’instructions civiques seraient imposé depuis le court préparatoire dans toutes les écoles de France et toute l’année ! »
Très pointilleux, pour ne pas dire trop, il tient à ce que nous retranscrivions exactement ses propos !Plutôt décontracté et très lucide, il rebondit et nous dit : « il y a des solutions concrètes pour améliorer le quotidien des français, et de la France globalement mais, certains politiciens voulant absolument faire carrière pour garder leurs avantages ne prenaient pas les décisions adéquates. »Espérons que si un jour il s’avère qu’il occupe un poste au service des français, Jean Morandais se rappellera de ses fameuses déclarations.En creusant un peu plus, nous constatons que cet homme est animé par une très grande passion politique au service des autres outre son autre passion, le football.
Suite de l'article passez à la page deux en cliquant 2 en bas à droite de l'article. Merci
Titulaire d’un BAC professionnel, dont il n’a jamais exercé le métier, Jean Morandais s’avère être, un opiniâtre assoiffé de culture politique et de savoir.Si jusqu’à maintenant il avait tout fait pour rester discret, en cachant même ses intentions à ses proches, il se retrouve aujourd’hui en pleine lumière, suite au lancement de son mouvement citoyen La Boite à Idées Pour la France.
Fervent patriote, c’est sans aucune retenue, qu’il nous parle de son amour pour « sa France », et de sa déception du système politique.« Une bonne poignée des hommes politique actuel, ne pense plus réellement à la nation, mais à leurs propres intérêts personnel, des partisans, des clans, on dirait même une mafia moderne, c’est malheureux, c’est aussi pour cette raison que les réformes structurelles concrète et en phase avec les attentes des français, ne sont jamais faite ! Heureusement, qu’il y a les maires de France qui n’ont aucune intention nationale et qui répondent plus globalement au mandat qui leurs sont octroyées contrairement aux autres. »« La politique est devenue un métier pour certain et non un service en phase avec leurs convictions, il n’y a plus d’hommes d’état mais des hommes de pouvoirs.
»Suite à cela, Jean Morandais nous explique que son intention de se présenter à une élection présidentielle, remonte à son passage au collège de Pointe-Noire en Guadeloupe, lors de ses premiers cours d’éducation civique. « Les cours étaient si passionnant que je m’y voyais déjà… » Passionné de géographie et de l’histoire des deux grandes guerres françaises, il se confie en disant ; « Si j’étais le Président de la république, des modules d’instructions civiques seraient imposé depuis le court préparatoire dans toutes les écoles de France et toute l’année ! »
Très pointilleux, pour ne pas dire trop, il tient à ce que nous retranscrivions exactement ses propos !Plutôt décontracté et très lucide, il rebondit et nous dit : « il y a des solutions concrètes pour améliorer le quotidien des français, et de la France globalement mais, certains politiciens voulant absolument faire carrière pour garder leurs avantages ne prenaient pas les décisions adéquates. »Espérons que si un jour il s’avère qu’il occupe un poste au service des français, Jean Morandais se rappellera de ses fameuses déclarations.En creusant un peu plus, nous constatons que cet homme est animé par une très grande passion politique au service des autres outre son autre passion, le football.
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Il semble se méfier énormément des détournements médiatiques et de l’image souvent dirigé qu’emploient certains médias pour orienter la pensée des autres.
Il nous parle des injustices avec une grande retenue, ne prenant jamais parti, il est contre le communautarisme, il ne comprend pas pourquoi, le machisme est autant encré dans la culture politique et le monde du travail en France. Pour lui c’est une chose très grave, car certain considère clairement que la femme est inférieure à l’homme. Il compare cela, limite à une forme d’esclavage intellectuelle détestable.
Au passage, il nous explique qu’il aurait pu ne pas être en face de nous aujourd’hui car, en défendant une femme frappée sur la route par son compagnon, cela aurait pu être catastrophique.Nous cherchons à en savoir un peu plus sur ses idées, ses projets, et il nous répond tout simplement, « vous en savez déjà suffisamment pour le moment, laissez quand même les autres travailler un peu… »
Nous lui demandons quels autres ? « Petit sourire, les M, les C etc.…, les nouveaux médias à sensation, et je ne vous en dirais pas plus ! »Pendant l’entretien, il nous donnait l’impression de toujours anticiper les répercutions que vont avoir ses propos. Il semble se méfier énormément des détournements médiatiques et de l’image souvent dirigé qu’emploient certains médias pour orienter la pensée des autres.
Ceci étant, Jean Morandais s’avère être d’une très grande discrétion et un redoutable communicant. Nous apprenons que depuis environ 3 ans, il aurait souvent rencontré des spécialistes économiques et des professeurs de sciences politiques. « C’est impressionnant vous savez, le nombre de personnes qu’on rencontre dans les immenses couloirs de l’ONU à Genève.
C’est super enrichissant. »On découvre alors qu’il n’est pas là, sans savoir où il mettait les pieds, Il s’y est préparé en toute discrétion, loin des projecteurs du monde médiatique, mais encore plus loin de la sphère politique, nous ne pouvons que lui souhaiter bonne chance.
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Au passage, il nous explique qu’il aurait pu ne pas être en face de nous aujourd’hui car, en défendant une femme frappée sur la route par son compagnon, cela aurait pu être catastrophique.Nous cherchons à en savoir un peu plus sur ses idées, ses projets, et il nous répond tout simplement, « vous en savez déjà suffisamment pour le moment, laissez quand même les autres travailler un peu… »
Nous lui demandons quels autres ? « Petit sourire, les M, les C etc.…, les nouveaux médias à sensation, et je ne vous en dirais pas plus ! »Pendant l’entretien, il nous donnait l’impression de toujours anticiper les répercutions que vont avoir ses propos. Il semble se méfier énormément des détournements médiatiques et de l’image souvent dirigé qu’emploient certains médias pour orienter la pensée des autres.
Ceci étant, Jean Morandais s’avère être d’une très grande discrétion et un redoutable communicant. Nous apprenons que depuis environ 3 ans, il aurait souvent rencontré des spécialistes économiques et des professeurs de sciences politiques. « C’est impressionnant vous savez, le nombre de personnes qu’on rencontre dans les immenses couloirs de l’ONU à Genève.
C’est super enrichissant. »On découvre alors qu’il n’est pas là, sans savoir où il mettait les pieds, Il s’y est préparé en toute discrétion, loin des projecteurs du monde médiatique, mais encore plus loin de la sphère politique, nous ne pouvons que lui souhaiter bonne chance.
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