En réalité ce syndicat s’est planté, a planté les ouvriers, et va planter les contribuables que nous sommes. Ne faisons pas l’amalgame avec des méthodes MIM même si il est vrai que des néo MIM étaient à la manœuvre.
A la grande époque de la CTSM relais du MIM, les méthodes étaient différentes. Il est vrai qu’elles étaient déjà basées sur le principe de l’avantage à celui qui avait le meilleur rapport de force, mais à l’époque de MARIE SAINTE et DE PULVAR il y avait un respect mutuel, le respect de la loi, et l’intelligence politique en plus.
Cette fois tout démontre que la CSTM a planté des choux et qu’elle ne va pas récolter des orties.
Prenons pour commencer le mot de leur avocat qui annonçait sur Facebook la fin du conflit.
Je cite : « Dans le conflit du Transport BONIFACE, après 120 jours de grève, les salariés grévistes non seulement n'ont pas perdu leur emploi puisqu'ils ont été repris avec leur ancienneté et leurs avantages et acquis par le nouveau transporteur à qui l'Espace Sud a confié l'exécution du marché mais ils ont obtenu satisfaction concernant leurs revendications : revalorisation des salaires à 5% (4% immédiatement et 1% à compter du 1er Novembre 2014), primes d'ancienneté, primes de dimanche et jours fériés, nouveaux plannings (modification d'une ligne ainsi que la suppression des journées continues), parc éclairé et local aménagé avec salle de repos. » Fin de citation
Les plus importantes des demandes de la CSTM n’ont pas obtenu satisfaction elles ont été rejetées.
La première c’est la reconnaissance de la CSTM comme syndicat dans l’entreprise BONIFACE.
En réalité le chef d’entreprise a suivi la règlementation selon laquelle il faut au moins 30 % des résultats des élections pour être représentatif dans une entreprise.
Sur ce point la CSTM a donc perdu. Jamais sa signature ne se sera apposée sur un seul protocole d’accord estampé aux couleurs des Transports BONIFACE. Force ouvrière sur ce point n’a pas moli non plus. C’est tout à son honneur d’avoir fait respecter le droit.
A partir de maintenant B. CAMBUSY saura qu’il n’est pas Zorro et qu’une entreprise ce n’est pas un « grand chimin » Le patron de Transport BONIFACE a donc protégé toutes les entreprises martiniquaises de l’invasion intempestive de syndicats avec lesquels une majorité des employés ne veut pas collaborer.
Ce qui montre bien que la CSTM se sera trompé de cible c’est que le protocole de fin de conflit n’est pas signé entre les parties en conflit mais avec l’espace sud un organe politique
C’est cela le scandale politique de cette affaire. Ici des politiques indépendantistes vont faire payer par le peuple les errements d’un syndicat indépendantiste. Nous reviendrons sur ce point, arrêtons- nous pour l’l’instant à la cause ouvrière.
A la grande époque de la CTSM relais du MIM, les méthodes étaient différentes. Il est vrai qu’elles étaient déjà basées sur le principe de l’avantage à celui qui avait le meilleur rapport de force, mais à l’époque de MARIE SAINTE et DE PULVAR il y avait un respect mutuel, le respect de la loi, et l’intelligence politique en plus.
Cette fois tout démontre que la CSTM a planté des choux et qu’elle ne va pas récolter des orties.
Prenons pour commencer le mot de leur avocat qui annonçait sur Facebook la fin du conflit.
Je cite : « Dans le conflit du Transport BONIFACE, après 120 jours de grève, les salariés grévistes non seulement n'ont pas perdu leur emploi puisqu'ils ont été repris avec leur ancienneté et leurs avantages et acquis par le nouveau transporteur à qui l'Espace Sud a confié l'exécution du marché mais ils ont obtenu satisfaction concernant leurs revendications : revalorisation des salaires à 5% (4% immédiatement et 1% à compter du 1er Novembre 2014), primes d'ancienneté, primes de dimanche et jours fériés, nouveaux plannings (modification d'une ligne ainsi que la suppression des journées continues), parc éclairé et local aménagé avec salle de repos. » Fin de citation
Les plus importantes des demandes de la CSTM n’ont pas obtenu satisfaction elles ont été rejetées.
La première c’est la reconnaissance de la CSTM comme syndicat dans l’entreprise BONIFACE.
En réalité le chef d’entreprise a suivi la règlementation selon laquelle il faut au moins 30 % des résultats des élections pour être représentatif dans une entreprise.
Sur ce point la CSTM a donc perdu. Jamais sa signature ne se sera apposée sur un seul protocole d’accord estampé aux couleurs des Transports BONIFACE. Force ouvrière sur ce point n’a pas moli non plus. C’est tout à son honneur d’avoir fait respecter le droit.
A partir de maintenant B. CAMBUSY saura qu’il n’est pas Zorro et qu’une entreprise ce n’est pas un « grand chimin » Le patron de Transport BONIFACE a donc protégé toutes les entreprises martiniquaises de l’invasion intempestive de syndicats avec lesquels une majorité des employés ne veut pas collaborer.
Ce qui montre bien que la CSTM se sera trompé de cible c’est que le protocole de fin de conflit n’est pas signé entre les parties en conflit mais avec l’espace sud un organe politique
C’est cela le scandale politique de cette affaire. Ici des politiques indépendantistes vont faire payer par le peuple les errements d’un syndicat indépendantiste. Nous reviendrons sur ce point, arrêtons- nous pour l’l’instant à la cause ouvrière.
Dans cette fin de conflit personne ne parle du paiement des jours de grève.
Avez-vous remarqué que dans cette fin de conflit personne ne parle du paiement des jours de grève.
Généralement quand un syndicat a fini d’enculer un patron le bonus c’est de le faire payer les jours de grève.
Dans cette fin de conflit personne n’en parle. Ni les ouvriers, ni la CSTM, ni l’avocat de la CSTM et encore moins Bertrand CAMBUSY. Le seul qui a déjà dit non et que ce ne sera pas lui c’est le président Eugène LARCHER. Il aurait dit-on dit que s’il devait faire cela il serait bon pour aller en tôle. Il aurait poursuivi en disant qu’il ne voit pas comment il pourrait expliquer à l’opinion publique que ce soit l’Espace Sud qui paye les jours de grève d’un conflit d’une entreprise, à plus forte raison si il s’agit d’une entreprise détentrice d’un marché publique.
En réalité ce que prouve ce questionnement c’est que les employés de BONIFACE n’ont plus d’entreprise d’attache car licenciés par leur employeur pour faute grave
En plus le départ pour une autre entreprise et l’embauche par cette dernière confirme bien l’abandon du poste de travail chez BONIFACE.
Sur la question de l’augmentation de salaire BONIFACE accordait depuis février 2 % d’augmentation, il avait convenu de passer à 2 % de plus. En réalité un seul point d’augmentation de salaire a été gagné avec la perte de 4 mois de salaire. Si c’est cela que la CSTM appelle une victoire alors MAKAC LA n’a rien compris et vous aussi sans doute ?
si personne ne parle des salaires durant la période de grève c’est uniquement parce que personne ne va les payer. C’est le prix à payer si les ouvriers veulent garder leur poste de travail.
C’est l’illustration du proverbe les conseillers ne sont pas les payeurs d’où l’expression : « les salariés grévistes non seulement n'ont pas perdu leur emploi puisqu'ils ont été repris avec leur ancienneté et leurs avantages et acquis par le nouveau transporteur ».c’est cela le plus gros échec de la centrale syndicale.
Autrement dit et avec ou sans feuille de banane les ouvriers vont s’assoir sur quatre mois de salaires. C’est cruel d’entrainer des ouvriers dans un tel traquenard, d’autant qu’il n’existe aucun organisme de garantie des salaires si l’entreprise n’est pas liquidée.
B CAMBUSY en plus d’avoir ruiné des petits commerçants de Rivière Pilote et de Saint Luce aura ainsi fait perdre 4 mois de salaires au personnel de l’entreprise BONIFACE sans qu’il ne soit obligé de rendre aucun compte à qui que se soit.
Mais les dégâts ne s’arrêtent pas là, la liste est longue prenons le temps de l’agrainer
Des pertes considérables pour la CSTM
Intéressons nous aussi à cet aspect des choses, car la perte de syndicat n’est pas une bonne chose pour la démocratie et le dialogue social. La demande de la CSTM d’aller en appel concernant la condamnation à 80 000 euros montre bien que le syndicat est embarrassé par la somme qui est obtenue par décision de justice, aux transports BONIFACE.
Cette affaire reviendra devant les tribunaux et personne ne peut affirmer que les montants des condamnations soient inchangés au regard d’un certain nombre d’autres éléments qui pourraient être rajouté au dossier l’adition pourrait etre plus lourde.
La perte financière ici est considérable elle l’est bien moins que la perte en image.
En effet dans ce conflit Bertrand CAMBUSY apparait de plus en plus comme un personnage qui remplace l’intelligence par la violence. Rappelez-vous de cet article où MAKAC LA a démontré que la menace de grève générale était infondée. Il envisageait de prendre toute la population en otage nous l’en avons dé-persuadé. La toile a explosée de reproches a ce mode de gestion des conflits.
L’attaque des fourgons des transports de passagers à Saint Luce dans le cadre du servic minimum, acté par huissier n’est que l’une des manifestations de cette méthode qui consiste à mêler intimidation et menaces. Ce n’est pas digne d’un syndicat proche d’un mouvement populaire.
Généralement quand un syndicat a fini d’enculer un patron le bonus c’est de le faire payer les jours de grève.
Dans cette fin de conflit personne n’en parle. Ni les ouvriers, ni la CSTM, ni l’avocat de la CSTM et encore moins Bertrand CAMBUSY. Le seul qui a déjà dit non et que ce ne sera pas lui c’est le président Eugène LARCHER. Il aurait dit-on dit que s’il devait faire cela il serait bon pour aller en tôle. Il aurait poursuivi en disant qu’il ne voit pas comment il pourrait expliquer à l’opinion publique que ce soit l’Espace Sud qui paye les jours de grève d’un conflit d’une entreprise, à plus forte raison si il s’agit d’une entreprise détentrice d’un marché publique.
En réalité ce que prouve ce questionnement c’est que les employés de BONIFACE n’ont plus d’entreprise d’attache car licenciés par leur employeur pour faute grave
En plus le départ pour une autre entreprise et l’embauche par cette dernière confirme bien l’abandon du poste de travail chez BONIFACE.
Sur la question de l’augmentation de salaire BONIFACE accordait depuis février 2 % d’augmentation, il avait convenu de passer à 2 % de plus. En réalité un seul point d’augmentation de salaire a été gagné avec la perte de 4 mois de salaire. Si c’est cela que la CSTM appelle une victoire alors MAKAC LA n’a rien compris et vous aussi sans doute ?
si personne ne parle des salaires durant la période de grève c’est uniquement parce que personne ne va les payer. C’est le prix à payer si les ouvriers veulent garder leur poste de travail.
C’est l’illustration du proverbe les conseillers ne sont pas les payeurs d’où l’expression : « les salariés grévistes non seulement n'ont pas perdu leur emploi puisqu'ils ont été repris avec leur ancienneté et leurs avantages et acquis par le nouveau transporteur ».c’est cela le plus gros échec de la centrale syndicale.
Autrement dit et avec ou sans feuille de banane les ouvriers vont s’assoir sur quatre mois de salaires. C’est cruel d’entrainer des ouvriers dans un tel traquenard, d’autant qu’il n’existe aucun organisme de garantie des salaires si l’entreprise n’est pas liquidée.
B CAMBUSY en plus d’avoir ruiné des petits commerçants de Rivière Pilote et de Saint Luce aura ainsi fait perdre 4 mois de salaires au personnel de l’entreprise BONIFACE sans qu’il ne soit obligé de rendre aucun compte à qui que se soit.
Mais les dégâts ne s’arrêtent pas là, la liste est longue prenons le temps de l’agrainer
Des pertes considérables pour la CSTM
Intéressons nous aussi à cet aspect des choses, car la perte de syndicat n’est pas une bonne chose pour la démocratie et le dialogue social. La demande de la CSTM d’aller en appel concernant la condamnation à 80 000 euros montre bien que le syndicat est embarrassé par la somme qui est obtenue par décision de justice, aux transports BONIFACE.
Cette affaire reviendra devant les tribunaux et personne ne peut affirmer que les montants des condamnations soient inchangés au regard d’un certain nombre d’autres éléments qui pourraient être rajouté au dossier l’adition pourrait etre plus lourde.
La perte financière ici est considérable elle l’est bien moins que la perte en image.
En effet dans ce conflit Bertrand CAMBUSY apparait de plus en plus comme un personnage qui remplace l’intelligence par la violence. Rappelez-vous de cet article où MAKAC LA a démontré que la menace de grève générale était infondée. Il envisageait de prendre toute la population en otage nous l’en avons dé-persuadé. La toile a explosée de reproches a ce mode de gestion des conflits.
L’attaque des fourgons des transports de passagers à Saint Luce dans le cadre du servic minimum, acté par huissier n’est que l’une des manifestations de cette méthode qui consiste à mêler intimidation et menaces. Ce n’est pas digne d’un syndicat proche d’un mouvement populaire.
Mais le plus grave c’est certainement ce qui se prépare et qui est à venir.
Car si dans cette affaire le patron des transports BONIFACE n’a à ce jour signé aucun protocole, c’est qu’il a été dessaisi de l’affaire. Cela veut donc dire qu’il a subi un préjudice. Un préjudice au moins égal à celui du montant du marché qu’il lui restait à réaliser.
Le marché est à courir sur plusieurs mois encore et si toute la gouvernance de l’Espace sud reconnaît que c’est une sortie politique qui est proposée à un conflit économique elle sait aussi qu’il conviendra de faire un geste envers l’entreprise BONIFACE ; si dans les jours prochains la solution n’est pas amiable c’est aussi sur le plan judiciaire que cette affaire va se régler.
Accord amiable ou accord judiciaire vous avez déjà compris que c’est nous, c’est à dire vous et moi qui allons farcir Le mouton de Messieurs CAMBUSY, NILOR, LARCHER , et de madame SAINT AIMEE. Nous avons donc de bonnes raisons de ne pas être heureux.
Dans cette affaire MAKAC LA révèle des faits. Mais s’il devait y avoir un seul responsable à notre avis ce serait l’Etat. Trop passif ; trop absent, ne faisant appliquer ni l’ordre ni les décisions de justice il est en réalité le seul vrai responsable du pourrissement de la situation. Cet état qui surveille on ne sait plus trop quoi, qui se cache derrière de fausses bonnes mesures devra un jour être questionné sur sa vraie responsabilité dans l’état de dégradation du pays et le sens de sa présence si c’est pour ne servir à rien.
MAIS TANT QUE NOS ELUS SE DEVORERONT ENTRE EUX DANS CE QUE CERTAINS APPELLENT DEJA LA VIOLENCE CIRCULAIRE, AUCUNE DEMARCHE EN CE SENS DE MISE A L’EPREUVE DE L’ETAT NE POURRRA ETRE ENVISAGEE.
Il conviendra un jour pour le citoyen, de se convaincre qu’il est l’heure d’arrêter se laisser rouler dans la farine de manioc de nos élus politiques !
Le marché est à courir sur plusieurs mois encore et si toute la gouvernance de l’Espace sud reconnaît que c’est une sortie politique qui est proposée à un conflit économique elle sait aussi qu’il conviendra de faire un geste envers l’entreprise BONIFACE ; si dans les jours prochains la solution n’est pas amiable c’est aussi sur le plan judiciaire que cette affaire va se régler.
Accord amiable ou accord judiciaire vous avez déjà compris que c’est nous, c’est à dire vous et moi qui allons farcir Le mouton de Messieurs CAMBUSY, NILOR, LARCHER , et de madame SAINT AIMEE. Nous avons donc de bonnes raisons de ne pas être heureux.
Dans cette affaire MAKAC LA révèle des faits. Mais s’il devait y avoir un seul responsable à notre avis ce serait l’Etat. Trop passif ; trop absent, ne faisant appliquer ni l’ordre ni les décisions de justice il est en réalité le seul vrai responsable du pourrissement de la situation. Cet état qui surveille on ne sait plus trop quoi, qui se cache derrière de fausses bonnes mesures devra un jour être questionné sur sa vraie responsabilité dans l’état de dégradation du pays et le sens de sa présence si c’est pour ne servir à rien.
MAIS TANT QUE NOS ELUS SE DEVORERONT ENTRE EUX DANS CE QUE CERTAINS APPELLENT DEJA LA VIOLENCE CIRCULAIRE, AUCUNE DEMARCHE EN CE SENS DE MISE A L’EPREUVE DE L’ETAT NE POURRRA ETRE ENVISAGEE.
Il conviendra un jour pour le citoyen, de se convaincre qu’il est l’heure d’arrêter se laisser rouler dans la farine de manioc de nos élus politiques !