Dans un premier temps, la hausse du taux d’imposition fait progresser les recettes. Toutefois, au-delà d’un certain point, elle a l’effet inverse : toute augmentation des prélèvements entraîne une baisse des recettes.
Toujours selon LIBE Ces temps-ci, c'est sous une apparence plus scientifique que l'idée est avancée : celle de la courbe de Laffer.
Dans un premier temps, la hausse du taux d’imposition fait progresser les recettes. Toutefois, au-delà d’un certain point, elle a l’effet inverse : toute augmentation des prélèvements entraîne une baisse des recettes. En effet, les contribuables découragés choisiraient alors de moins travailler, ou de se soustraire à l’impôt – par l’optimisation ou l’évasion fiscales, le travail «au noir»... Cette réaction est désignée par les économistes comme un «effet de substitution». Fin de citation.
Comment donc nos élus en charge de la CTM, dont un économiste remarquable M. Daniel BRANCHI, un chef d’entreprise de plus de 1000 salariés Yan MONPLAISIR , et d’éminent docteurs ne comprennent t’ils pas cela ?
En fait nos élus savent plus que nous les conséquences d’une augmentation généralisée des impôts mais ils ne prennent malgré tout le risque. Ce risque est social, il est économique, et sans doute politique.
Mais métons nous d’accord sur quelque chose : Une taxe, c’est un impôt. C’est augmentation de cette taxe pour tous les usagers, c’est un moyen de récolter des recettes.
Ces recettes sont fiscales et permettant nous a-t-on dit l’entretiennent des routes par les Martiniquais. Il serait bon de vérifier comment coûtent la réparation et la création des routes, et de vérifier si une partie de ces recettes n’est pas affectée à d’autres causes comme du fonctionnement par hasard.
Alors comment comprendre une augmentation aussi importante dont 50 % des 20% sont au profit de la CTM?
Toute la campagne électorale du MIM dans son corpus est fondée sur les qualités personnelles et historique de son leader. C’est, dit-on un homme franc, sérieux, rigoureux, vertical, mais par-dessus tout il est qualifié de gestionnaire exceptionnel. Pour preuve, ses combattants idéologiques le traitaient de petit père de famille poussiéreux, sans ingénierie, sans vision du développement s’organisant des petits matelas.
Pour le Martiniquais en général AMJ est un homme respectable. Ce dernier n’a jamais déposé de bilan sauf ceux de l’AFPA, de la société d’énergie et quelques autres petites affaires de l’ex-région LETCHIMY qu’AMJ aurait tuées dans l’œuf plus par profit électoraliste que par manque d’argent.
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Dans un premier temps, la hausse du taux d’imposition fait progresser les recettes. Toutefois, au-delà d’un certain point, elle a l’effet inverse : toute augmentation des prélèvements entraîne une baisse des recettes. En effet, les contribuables découragés choisiraient alors de moins travailler, ou de se soustraire à l’impôt – par l’optimisation ou l’évasion fiscales, le travail «au noir»... Cette réaction est désignée par les économistes comme un «effet de substitution». Fin de citation.
Comment donc nos élus en charge de la CTM, dont un économiste remarquable M. Daniel BRANCHI, un chef d’entreprise de plus de 1000 salariés Yan MONPLAISIR , et d’éminent docteurs ne comprennent t’ils pas cela ?
En fait nos élus savent plus que nous les conséquences d’une augmentation généralisée des impôts mais ils ne prennent malgré tout le risque. Ce risque est social, il est économique, et sans doute politique.
Mais métons nous d’accord sur quelque chose : Une taxe, c’est un impôt. C’est augmentation de cette taxe pour tous les usagers, c’est un moyen de récolter des recettes.
Ces recettes sont fiscales et permettant nous a-t-on dit l’entretiennent des routes par les Martiniquais. Il serait bon de vérifier comment coûtent la réparation et la création des routes, et de vérifier si une partie de ces recettes n’est pas affectée à d’autres causes comme du fonctionnement par hasard.
Alors comment comprendre une augmentation aussi importante dont 50 % des 20% sont au profit de la CTM?
Toute la campagne électorale du MIM dans son corpus est fondée sur les qualités personnelles et historique de son leader. C’est, dit-on un homme franc, sérieux, rigoureux, vertical, mais par-dessus tout il est qualifié de gestionnaire exceptionnel. Pour preuve, ses combattants idéologiques le traitaient de petit père de famille poussiéreux, sans ingénierie, sans vision du développement s’organisant des petits matelas.
Pour le Martiniquais en général AMJ est un homme respectable. Ce dernier n’a jamais déposé de bilan sauf ceux de l’AFPA, de la société d’énergie et quelques autres petites affaires de l’ex-région LETCHIMY qu’AMJ aurait tuées dans l’œuf plus par profit électoraliste que par manque d’argent.
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Sauf que cette méthode, dès l’instant qu’elle est appliquée à l’échelle du pays, génère intrinsèquement les germes de sa propre destruction.
Tous ces dossiers avortés représentaient la politique et la vision de ses adversaires que l’on peut rassembler sous le vocable PPM, les humilier est assez jouissif pour que ce dernier un peu comme une mémée en chaleur que l'on s’amuse à offrir plusieurs salves orgasmiques.
Dans ce monde de brutes, il faut parfois savoir montrer à ses suiveurs que l’on a une âme de tueur, et que l’on sait faire souffrir en silence et mourir de solitude les récalcitrants, sans que ceux qui pouvaient lever le doigt revendiquent ce droit.
Ces projets de ses adversaires politiques avaient une particularité, ils devaient dans l’avenir trouver, marché, source de financement, clientèles et Futurs. C’étaient des paris risqués ou mesurés sur l’avenir. ALBIOMA, MARTINIQUE ÉNERGIE, LA JOILLERIE ne sont que quelques exemples parmi d’autres.
Le plus gros machin qu’AMJ ne comprend toujours pas, c’est le TCSP. Ne sachant pas que faire avec cette affaire qui lui paraît à tous les points suspects, il a trouvé par son exécuteur DMS le moyen de laisser ce « truc » en gare et de faire croire qu’un jour ce sera un espace à canards.
En fait ce qu’A MARIE JEANNE refuse, c’est le mode de ces investissements qui sont contraires à son mode de fonctionnement. Voici son premier principe : oui aux investissements, non au fonctionnement. Son second principe. Pas de projet duquel on ne puisse pas sortir par soi-même.
Enfin second principe un gros projet à la fois même si cela doit durer 10 ans comme le stade de football de la commune qu’il dirigeait.
Comment donc reprocher à un homme tel qu’il soit d’appliquer à tout ce qu’il fait la méthode qui l’a conduite au succès. AMJ a donc raison de respecter ces principes, d’autant que la majorité du peuple des votants lui demande d’appliquer ces méthodes qui ont fait sa réputation.
Sauf que cette méthode, dès l’instant qu’elle est appliquée à l’échelle du pays, génère intrinsèquement les germes de sa propre destruction.
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Dans ce monde de brutes, il faut parfois savoir montrer à ses suiveurs que l’on a une âme de tueur, et que l’on sait faire souffrir en silence et mourir de solitude les récalcitrants, sans que ceux qui pouvaient lever le doigt revendiquent ce droit.
Ces projets de ses adversaires politiques avaient une particularité, ils devaient dans l’avenir trouver, marché, source de financement, clientèles et Futurs. C’étaient des paris risqués ou mesurés sur l’avenir. ALBIOMA, MARTINIQUE ÉNERGIE, LA JOILLERIE ne sont que quelques exemples parmi d’autres.
Le plus gros machin qu’AMJ ne comprend toujours pas, c’est le TCSP. Ne sachant pas que faire avec cette affaire qui lui paraît à tous les points suspects, il a trouvé par son exécuteur DMS le moyen de laisser ce « truc » en gare et de faire croire qu’un jour ce sera un espace à canards.
En fait ce qu’A MARIE JEANNE refuse, c’est le mode de ces investissements qui sont contraires à son mode de fonctionnement. Voici son premier principe : oui aux investissements, non au fonctionnement. Son second principe. Pas de projet duquel on ne puisse pas sortir par soi-même.
Enfin second principe un gros projet à la fois même si cela doit durer 10 ans comme le stade de football de la commune qu’il dirigeait.
Comment donc reprocher à un homme tel qu’il soit d’appliquer à tout ce qu’il fait la méthode qui l’a conduite au succès. AMJ a donc raison de respecter ces principes, d’autant que la majorité du peuple des votants lui demande d’appliquer ces méthodes qui ont fait sa réputation.
Sauf que cette méthode, dès l’instant qu’elle est appliquée à l’échelle du pays, génère intrinsèquement les germes de sa propre destruction.
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Cette rigueur budgétaire qui fait son succès étrangle des secteurs tout entiers. Les entreprises de BTP sont les premières à être les victimes de cette politique de modération des projets.
Cette rigueur budgétaire qui fait son succès étrangle des secteurs tout entiers. Les entreprises de BTP sont les premières à être les victimes de cette politique de modération des projets. Pires que des vampires, les entreprises de BTP, ont toujours besoin de sang neuf pour vivre.
Plus on leur donnera moins, elles auront assez. Quand elles n’ont plus rien à sucer, elles lèchent leurs patrons jusqu'à les faire débander. Ces derniers qui finissent par comprendre qu’il est plus rentable de laisser du matériel pourrir que d’ouvrir boutique chaque matin laisse pourrir dans les savanes du matériel à plusieurs millions.
La suppression du tronçon BRASSERIE LORRAINE, CARRERE par les champs de Békés, renommé la «diagonale des fous» est un rude coup porté au secteur du VRD. Même Yan MONPLAISIR actionnaire par son groupe à CARAIBES MOTER , pourtant caution de cette politique des pas certains, a très probablement frisonné quand il a entendu cette décision d’annulation.
Tous les autres corps d’État et fournisseur régulier de buses, de coudes, de matériaux en tous genres ont sans doute encore des constipations intestinales dues à l’angoisse des carnets de commandes qui se vident comme un chenal vers l’enfer des dettes.
Alors bien entendu, « le porte parole de petit père » vous répondra que c’est le lycée shoelcher la priorité, et que 90 millions ce n’est pas rien et tra la la li et tra la lère.
Cela devrait suffire si les prix étaient suffisamment étudiés pour qu’à l’issue de ces travaux il reste aux nombreux sous-traitants quelque marge. Mais en réalité suite à l’arrêt de la bonne défiscalisation hier qui multipliait les initiatives privées qui permettaient de compenser les pertes dans le secteur social, même le meilleur effet levier des collectivités ne peut compenser les pertes des entreprises de taille moyenne.
Gagner de l’argent ce n’est pas faire le débrouillard pour planquer à gauche du fric que l’on devrait donner aux impôts et à la Sécurité sociale, ce n’est pas non plus voler les matériaux de ses clients pour finir ces édifices en Espagne, c’est encore moins utiliser les systèmes des abus de biens sociaux pour préparer sa petite retraite.
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Plus on leur donnera moins, elles auront assez. Quand elles n’ont plus rien à sucer, elles lèchent leurs patrons jusqu'à les faire débander. Ces derniers qui finissent par comprendre qu’il est plus rentable de laisser du matériel pourrir que d’ouvrir boutique chaque matin laisse pourrir dans les savanes du matériel à plusieurs millions.
La suppression du tronçon BRASSERIE LORRAINE, CARRERE par les champs de Békés, renommé la «diagonale des fous» est un rude coup porté au secteur du VRD. Même Yan MONPLAISIR actionnaire par son groupe à CARAIBES MOTER , pourtant caution de cette politique des pas certains, a très probablement frisonné quand il a entendu cette décision d’annulation.
Tous les autres corps d’État et fournisseur régulier de buses, de coudes, de matériaux en tous genres ont sans doute encore des constipations intestinales dues à l’angoisse des carnets de commandes qui se vident comme un chenal vers l’enfer des dettes.
Alors bien entendu, « le porte parole de petit père » vous répondra que c’est le lycée shoelcher la priorité, et que 90 millions ce n’est pas rien et tra la la li et tra la lère.
Cela devrait suffire si les prix étaient suffisamment étudiés pour qu’à l’issue de ces travaux il reste aux nombreux sous-traitants quelque marge. Mais en réalité suite à l’arrêt de la bonne défiscalisation hier qui multipliait les initiatives privées qui permettaient de compenser les pertes dans le secteur social, même le meilleur effet levier des collectivités ne peut compenser les pertes des entreprises de taille moyenne.
Gagner de l’argent ce n’est pas faire le débrouillard pour planquer à gauche du fric que l’on devrait donner aux impôts et à la Sécurité sociale, ce n’est pas non plus voler les matériaux de ses clients pour finir ces édifices en Espagne, c’est encore moins utiliser les systèmes des abus de biens sociaux pour préparer sa petite retraite.
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Vous voyez si Alfred MARIE JEANNE accepte de faire payer au martiniquais un litre de gas-oil avec 20 % d’augmentation de plus, c’est tout simplement qu’il a compris que le rapport de force lui est favorable.
Donc quand Alfred MARIE JANNE n’investit pas plus, il a ses raisons. Cela lui permet de contrôler un système complexe, de mettre dans son sillage ceux qu’il choisit et de rendre hostile une attractivité vers la MARTINIQUE de groupe étranger qu’il ne veut pas.
Alors pourquoi diable va-t-il chercher d’autres moyens que l’impôt direct pour compenser des déficits prévisibles. Pourquoi bon dieu va-t-il faire preuve d’ingénierie quand l’État se désengage de plus en plus.
Vous voyez bien que la question est politique, mais que la réponse est médicale.
Comment comprendre que ce pays MARTINIQUE qui veut toujours plus de FRANCE met à sa tête un indépendantiste qui se refuse de ne rien demander de plus à la France? Comment croire sans être ridicule que ce dernier puisse pouvoir pousser avec fracas les portes des ministères pour faire valoir notre francité, lui qui demande la souveraineté et dont le seul projet politique est de remplacer le drapeau de la France par celui de la MARTINIQUE?
Que l’on n’aille pas dire à AMJ que MAKACLA a dit qu’il ne veut pas du développement de la pêche de l’agriculture, et de toutes ses filières, mais qu’il sache que nous savons bien que plus cela ira mal ici, plus les gens seront insatisfait du système et plus ce peuple va conjuguer à tous les temps ses contradictions.
Pour exemple, on est Mappy mais on refuse d’élever deux poules.
On est Mappy mais on préfère des corn flakes kellogg’s à la farine de manioc, que l’on donne aux enfants au petit déjeuné ;
On est Mappy mais nous demeurons les premiers consommateurs de vin dans un pays où un décret interdit de planter de la vigne ;
On est Mappy mais on refuse tous les boucans autres que ceux des feux d’artifice de la ville de fort de France :
On est Mappy mais c’est par petites bûches de bois que l’on se débarrasse des branches d’arbres de son verger.
Vous voyez si Alfred MARIE JEANNE accepte de faire payer au martiniquais un litre de gas-oil avec 20 % d’augmentation de plus, c’est tout simplement qu’il a compris que le rapport de force lui est favorable. Après avoir éteint les flambeaux sans pétrole du PPM, e anesthésié les syndicats par le dernier coup porté en donnant raison à la CSTM à la CTM, Il fait miroité à la droite locale qu’il a besoin d’eux dans cette circonstance tragique.
Alfred MARIE JEANNE fait donc ce qu’il veut quand il veut, ou il veut, la preuve l’affaire DUNON au Lamentin dans le cadre des législatives. Même dans son parti, personne ne le raisonne et ce ce n’est pas le communiqué en début d’année de DMS à l’intention de son collègue Jean-Philippe NILOR qui nous donnera le sentiment qu’un jour l’homme changera. Ce n’est pas la souffrance de ce petit peuple pour comme disent les partisans 2 centimes que les gens crient anmwé qui le fera prendre le risque de terminer son mandat avec un déficit.
Vous voyez ce qui se passe en MARTIQUE se passe ainsi parce que c’est MARIE JEANNE, mais avant lui il y avait CESAIRE. La vraie question est de savoir une fois que ce dernier aura décidé de raccrocher les gants ce que deviendront les poissons lions qui grossissent dans l’aquarium. Ceux-là sortent déjà les guns y compris dans les acenseurs.
Le prochain chef de file charismatique n’est pas encore né, il n’est donc pas étonnant qu’aux prochaines élections de la CTM tout MAKACLA vote pour David MACAIRE.
Fin de l'article Merci de votre courage !
Alors pourquoi diable va-t-il chercher d’autres moyens que l’impôt direct pour compenser des déficits prévisibles. Pourquoi bon dieu va-t-il faire preuve d’ingénierie quand l’État se désengage de plus en plus.
Vous voyez bien que la question est politique, mais que la réponse est médicale.
Comment comprendre que ce pays MARTINIQUE qui veut toujours plus de FRANCE met à sa tête un indépendantiste qui se refuse de ne rien demander de plus à la France? Comment croire sans être ridicule que ce dernier puisse pouvoir pousser avec fracas les portes des ministères pour faire valoir notre francité, lui qui demande la souveraineté et dont le seul projet politique est de remplacer le drapeau de la France par celui de la MARTINIQUE?
Que l’on n’aille pas dire à AMJ que MAKACLA a dit qu’il ne veut pas du développement de la pêche de l’agriculture, et de toutes ses filières, mais qu’il sache que nous savons bien que plus cela ira mal ici, plus les gens seront insatisfait du système et plus ce peuple va conjuguer à tous les temps ses contradictions.
Pour exemple, on est Mappy mais on refuse d’élever deux poules.
On est Mappy mais on préfère des corn flakes kellogg’s à la farine de manioc, que l’on donne aux enfants au petit déjeuné ;
On est Mappy mais nous demeurons les premiers consommateurs de vin dans un pays où un décret interdit de planter de la vigne ;
On est Mappy mais on refuse tous les boucans autres que ceux des feux d’artifice de la ville de fort de France :
On est Mappy mais c’est par petites bûches de bois que l’on se débarrasse des branches d’arbres de son verger.
Vous voyez si Alfred MARIE JEANNE accepte de faire payer au martiniquais un litre de gas-oil avec 20 % d’augmentation de plus, c’est tout simplement qu’il a compris que le rapport de force lui est favorable. Après avoir éteint les flambeaux sans pétrole du PPM, e anesthésié les syndicats par le dernier coup porté en donnant raison à la CSTM à la CTM, Il fait miroité à la droite locale qu’il a besoin d’eux dans cette circonstance tragique.
Alfred MARIE JEANNE fait donc ce qu’il veut quand il veut, ou il veut, la preuve l’affaire DUNON au Lamentin dans le cadre des législatives. Même dans son parti, personne ne le raisonne et ce ce n’est pas le communiqué en début d’année de DMS à l’intention de son collègue Jean-Philippe NILOR qui nous donnera le sentiment qu’un jour l’homme changera. Ce n’est pas la souffrance de ce petit peuple pour comme disent les partisans 2 centimes que les gens crient anmwé qui le fera prendre le risque de terminer son mandat avec un déficit.
Vous voyez ce qui se passe en MARTIQUE se passe ainsi parce que c’est MARIE JEANNE, mais avant lui il y avait CESAIRE. La vraie question est de savoir une fois que ce dernier aura décidé de raccrocher les gants ce que deviendront les poissons lions qui grossissent dans l’aquarium. Ceux-là sortent déjà les guns y compris dans les acenseurs.
Le prochain chef de file charismatique n’est pas encore né, il n’est donc pas étonnant qu’aux prochaines élections de la CTM tout MAKACLA vote pour David MACAIRE.
Fin de l'article Merci de votre courage !