Rappelons que si le journal France Antilles existe encore c'est grâce au truchement du tribunal de commerce qui a considéré que le groupe de repreneur le mieux disant devait faire continuer le journal.
En effet la société d'origine a bien été liquidée. C'est la preuve que le modèle économique qui prévalait avait fait son temps. Dans les causes, baisse du nombre de lecteurs, inadéquation des coûts de production par rapport au chiffre d'affaires. le moins que l'on puisse dire c'est qu'il était dépassé et ne pouvait plus continuer.
A ce titre tous les efforts faits par les propriétaires actuellement visent à créer l'attractivité du journal et à le dimensionner aux capacités du marché. Deux sources de financement : la vente du journal, et la publicité. Mais il faut observer que sur bien des points, France Antilles change peu ce qui a fait probablement ses turpitudes. A notre avis c'est la concentration dans une même maison de beaucoup trop de titres qui est la base des problèmes du groupe. En dehors de quelques magazines papier, France Antilles est globalement en position de concentration, si ce n'est de monopole, comme c'est le cas du quotidien papier. Généralement dans ce genre de configuration les talents s'endorment. En situation de concurrence ils se réveillent.
A ce titre tous les efforts faits par les propriétaires actuellement visent à créer l'attractivité du journal et à le dimensionner aux capacités du marché. Deux sources de financement : la vente du journal, et la publicité. Mais il faut observer que sur bien des points, France Antilles change peu ce qui a fait probablement ses turpitudes. A notre avis c'est la concentration dans une même maison de beaucoup trop de titres qui est la base des problèmes du groupe. En dehors de quelques magazines papier, France Antilles est globalement en position de concentration, si ce n'est de monopole, comme c'est le cas du quotidien papier. Généralement dans ce genre de configuration les talents s'endorment. En situation de concurrence ils se réveillent.
Nous observons que plus d'articles sont ouverts et adaptés à la lecture sur le portable, en étant configurés avec peu de texte et beaucoup de photo-reportages.
Mais nous observons aussi la mise en place de partenariats nouveaux. C'est la cas sur l'agenda où FA est désormais en partenariat avec le site Internet Belle Martinique. D'autre part nous observons aussi que France Antilles prend l'option de faire plus de visiteurs en rendant gratuit plus d'informations sans abonnement. On ne sait si c'est pour le début ou si c'est une volonté de faire plus d'audience, mais nous observons que plus d'articles sont ouverts et adaptés à la lecture sur le portable, en étant configurés avec peu de texte et beaucoup de photo-reportages.
Nous constatons aussi que la nouvelle maquette de France Antilles pour son site Internet est beaucoup plus standardisée à ce qui correspond au nouveau format de site . N'étant pas seul sur ce secteur le remplacement de l'ancienne maquette par une nouvelle oblige FA à se mettre au niveau international. Cette nouvelle maquette ressemble aux maquettes du type Figaro, le Monde, mais aussi à notre maquette pour MAKACLA.COM avec le principe de une et de blocs d'infos. à gauche et d'une série de services divers à droite.
Nous constatons aussi que la nouvelle maquette de France Antilles pour son site Internet est beaucoup plus standardisée à ce qui correspond au nouveau format de site . N'étant pas seul sur ce secteur le remplacement de l'ancienne maquette par une nouvelle oblige FA à se mettre au niveau international. Cette nouvelle maquette ressemble aux maquettes du type Figaro, le Monde, mais aussi à notre maquette pour MAKACLA.COM avec le principe de une et de blocs d'infos. à gauche et d'une série de services divers à droite.
Autrement dit le groupe se réveille sur la question du digital.
Cette nouvelle maquette et la nouvelle configuration des articles montrent bien que la stratégie du groupe a changé au moins sur la question du digital. La recherche de plus d'audience est évidente, restera à constater si la régie de France Antilles fera la réforme essentielle. En effet jusque là ,la pub internet était vendue au forfait, comme pour une page papier alors que partout dans le monde la pub internet est vendue au coût pour mille, au clic où à la durée sur un coût pour mille.
Nous saurons donc très rapidement si ce groupe a bien pris en compte, que les annonceurs martiniquais ne sont plus des couillons. En effet aujourd'hui avec 20 euros et sur Facebook n'importe qui peut mettre en place une campagne de pub avec un retour statistique de sa campagne. Il sera donc bon de constater la stratégie de FA désormais, car le seul avantage de la notoriété ne pourra pas gommer les efforts des concurrents qui grouillent d'ingéniosité.
Quoiqu'il en soit nous souhaitons tout le succès à ce groupe dans ses efforts de sauvetage de leur média.
Nous saurons donc très rapidement si ce groupe a bien pris en compte, que les annonceurs martiniquais ne sont plus des couillons. En effet aujourd'hui avec 20 euros et sur Facebook n'importe qui peut mettre en place une campagne de pub avec un retour statistique de sa campagne. Il sera donc bon de constater la stratégie de FA désormais, car le seul avantage de la notoriété ne pourra pas gommer les efforts des concurrents qui grouillent d'ingéniosité.
Quoiqu'il en soit nous souhaitons tout le succès à ce groupe dans ses efforts de sauvetage de leur média.