Le thème « Femmes noires d'eSTIMe » visait particulièrement à mettre en valeur les modèles de réussite dans les domaines des sciences, des technologies, de l'ingénierie et des mathématiques (STIM).
C'est ce qu'on a pu constater, dimanche matin, lors d'une discussion réunissant huit jeunes femmes d'action autour du thème de « la femme noire du futur » dans le cadre du Salon international de la femme noire organisé à Montréal.
« Je suis absolument, indéniablement, une femme remarquable! » C'est par ce mantra, répété en choeur, que le coup d'envoi au deuxième salon créé par Audace au féminin, un organisme à but non lucratif voué à l'émancipation et à l'autonomisation sociale et économique des femmes noires et métissées, a été donné.
Des modèles de réussite
Pour ce second rendez-vous, le thème « Femmes noires d'eSTIMe » visait particulièrement à mettre en valeur les modèles de réussite dans les domaines des sciences, des technologies, de l'ingénierie et des mathématiques (STIM). Ces milieux sont trop souvent hostiles aux jeunes femmes noires qui vont même jusqu'à éviter de s'y aventurer en raison du manque d'ouverture.
Hadjara Sidibe, doctorante en neurosciences à l'Université de Montréal, n'a pas manqué de le rappeler lors de la discussion sur la femme noire d'avenir. Partout où elle se rend pour participer à des colloques scientifiques, elle constate trop souvent qu'elle est la seule femme noire. Parfois même, la seule personne noire parmi 500 collègues.
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« Je suis absolument, indéniablement, une femme remarquable! » C'est par ce mantra, répété en choeur, que le coup d'envoi au deuxième salon créé par Audace au féminin, un organisme à but non lucratif voué à l'émancipation et à l'autonomisation sociale et économique des femmes noires et métissées, a été donné.
Des modèles de réussite
Pour ce second rendez-vous, le thème « Femmes noires d'eSTIMe » visait particulièrement à mettre en valeur les modèles de réussite dans les domaines des sciences, des technologies, de l'ingénierie et des mathématiques (STIM). Ces milieux sont trop souvent hostiles aux jeunes femmes noires qui vont même jusqu'à éviter de s'y aventurer en raison du manque d'ouverture.
Hadjara Sidibe, doctorante en neurosciences à l'Université de Montréal, n'a pas manqué de le rappeler lors de la discussion sur la femme noire d'avenir. Partout où elle se rend pour participer à des colloques scientifiques, elle constate trop souvent qu'elle est la seule femme noire. Parfois même, la seule personne noire parmi 500 collègues.
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