Ce qui est intéressant c'est d'interpréter les propositions de cette agence, et d' analyser les symboles et les codes qui motivent ces créatifs.
Voici le choix de la CTM .
Voici ce qu'Emmanuel de Reynal déclarait sur son blog, je cite : " ... Cette consultation a fait couler beaucoup d’encre car elle a enflammé les passions identitaires et réveillé bon nombre de fractures politiques. Autant plus que, s’agissant du drapeau, le règlement excluait d’emblée les couleurs emblématiques du drapeau de l’OJAM, revendiqué par les mouvements identitaires locaux.
Mais le propos se corse écoutez ... Emmanuel de Reynal qui poursuit : Nous n’aurons donc à voter que parmi 3 propositions, dont chacune est porteuse d’une vision sans doute respectable, mais forcément subjective.
Le mot subjective est étonnant ici, pour quelqu'un qui à participé au concours. D' autant qu'Emmanuel de Reynal, ne pouvait pas ne pas connaitre dans le détail, le règlement du concours auquel il participait. Mieux il semblait découvrir dans la pratique, ce que bien des Martiniquais avaient dénoncé, à savoir que : " dans cette affaire, le plus triste est que nous n'aurons à choisir qu'un simple graphisme ; aucune réflexion collective n'a été menée sur les valeurs de fond qui doivent faire consensus. Celles auxquelles on est tous prêts à adhérer. Si bien que chaque contributeur, de bonne foi, n'a apporté que sa vision personnelle. Or l'addition des visions personnelles ne fera jamais une vision collective...
Fin de citation.
Ainsi donc Emmanuel de Reynal découvre maintenant ce que des activistes ne cessaient de défendre, c'est à dire la preuve qu'il s'agit d'un drapeau administré, artificiel, politisé et incongru.
Compte tenu du travail réalisé par son agence ce dernier a tenu à faire connaitre la proposition de son agence. Pour la découvrir cliquez sur page suivante.
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Mais le propos se corse écoutez ... Emmanuel de Reynal qui poursuit : Nous n’aurons donc à voter que parmi 3 propositions, dont chacune est porteuse d’une vision sans doute respectable, mais forcément subjective.
Le mot subjective est étonnant ici, pour quelqu'un qui à participé au concours. D' autant qu'Emmanuel de Reynal, ne pouvait pas ne pas connaitre dans le détail, le règlement du concours auquel il participait. Mieux il semblait découvrir dans la pratique, ce que bien des Martiniquais avaient dénoncé, à savoir que : " dans cette affaire, le plus triste est que nous n'aurons à choisir qu'un simple graphisme ; aucune réflexion collective n'a été menée sur les valeurs de fond qui doivent faire consensus. Celles auxquelles on est tous prêts à adhérer. Si bien que chaque contributeur, de bonne foi, n'a apporté que sa vision personnelle. Or l'addition des visions personnelles ne fera jamais une vision collective...
Fin de citation.
Ainsi donc Emmanuel de Reynal découvre maintenant ce que des activistes ne cessaient de défendre, c'est à dire la preuve qu'il s'agit d'un drapeau administré, artificiel, politisé et incongru.
Compte tenu du travail réalisé par son agence ce dernier a tenu à faire connaitre la proposition de son agence. Pour la découvrir cliquez sur page suivante.
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L'agence Havas C direct à participé au concours, sa proposition n'a pas été retenue parmi les trois finalistes.
Voici la proposition de l'agence Havas C Direct que nous appellerons désormais la Turpitude d'Emanuel !
On ne peut pas dire que techniquement une agence de publicité ne soit pas en mesure de présenter un dossier. Sur le plan graphique, ce sont généralement les meilleurs qui se retrouvent autour des projets. Sauf que la proposition de C Direct n'a pas retenu l'attention des décideurs de la CTM.
Quand au brief créatif : c'est à dire la réunion entre le directeur artistique et les réalisateurs, on note que les consignes sont claires. Travailler à partir des couleurs du drapeau national, quand bien même les teintes ne sont pas exactement les mêmes. Ceci se confirme malgré les couleurs naturelles traditionnelles du palétuvier puisqu'ils font du bleu blanc rouge. Comme pour le drapeau aux quatre serpents, on retrouve du bleu (différent il est vrai), et du blanc comme pour les serpents. On ne retrouve aucune variante de vert, de noir, alors que la terre de mangrove est noire et que les prétendus palétuviers, (représenté ici par un symbole royaliste ) dans la nature sont verts. seul le rouge fait grâce à leur yeux au prétexte selon lui, qu'il fait peuple.
Bref... il aura fallu qu'Emmanuel De Reynal participe à ce concours pour qu'il découvre que ni les intentions, ni la méthode n'étaient bonnes. Des Martiniquais de toutes provenances, intellectuels, activistes, militants politiques, hommes de la rue avaient crié aux loups, et à la mascarade administrée. Ils en avaient appelé à ne pas céder à l’appât du gain en ne participant pas à ce prétendu concours
Mais notre avis ( et nous sommes certain qu'Emmanuel comprendra ) Cé l'ajan ki ka fè chen roulé roch ! Autrement dit l'argent peut faire faire l'impossible. Ici les sommes qui étaient proposées, avaient pour but de trouver des participants qualifiés et de valider ainsi la mascarade du concours de drapeau qui dans l'opinion avait heurté les Martiniquais.
Nous à MAKACLA.COM, nous en avons fait une parodie.
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Quand au brief créatif : c'est à dire la réunion entre le directeur artistique et les réalisateurs, on note que les consignes sont claires. Travailler à partir des couleurs du drapeau national, quand bien même les teintes ne sont pas exactement les mêmes. Ceci se confirme malgré les couleurs naturelles traditionnelles du palétuvier puisqu'ils font du bleu blanc rouge. Comme pour le drapeau aux quatre serpents, on retrouve du bleu (différent il est vrai), et du blanc comme pour les serpents. On ne retrouve aucune variante de vert, de noir, alors que la terre de mangrove est noire et que les prétendus palétuviers, (représenté ici par un symbole royaliste ) dans la nature sont verts. seul le rouge fait grâce à leur yeux au prétexte selon lui, qu'il fait peuple.
Bref... il aura fallu qu'Emmanuel De Reynal participe à ce concours pour qu'il découvre que ni les intentions, ni la méthode n'étaient bonnes. Des Martiniquais de toutes provenances, intellectuels, activistes, militants politiques, hommes de la rue avaient crié aux loups, et à la mascarade administrée. Ils en avaient appelé à ne pas céder à l’appât du gain en ne participant pas à ce prétendu concours
Mais notre avis ( et nous sommes certain qu'Emmanuel comprendra ) Cé l'ajan ki ka fè chen roulé roch ! Autrement dit l'argent peut faire faire l'impossible. Ici les sommes qui étaient proposées, avaient pour but de trouver des participants qualifiés et de valider ainsi la mascarade du concours de drapeau qui dans l'opinion avait heurté les Martiniquais.
Nous à MAKACLA.COM, nous en avons fait une parodie.
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La parodie est une forme d'humour qui utilise le cadre, les personnages, le style et le fonctionnement d'une œuvre ou une institution pour s'en moquer. Elle se fonde entre autres sur l'inversion et l'exagération des caractéristiques appartenant au sujet parodié.
Selon Dominique Maingueneau, la parodie constitue une « stratégie de réinvestissement d'un texte ou d'un genre de discours dans d'autres » : il s'agit d'une stratégie de « subversion », visant à disqualifier l'auteur du texte ou du genre source, tandis que la stratégie opposée (la « captation », imitation positive) permet de « transférer sur le discours réinvestisseur l'autorité attachée au texte ou au genre source ».
Wikipédia
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