Le MIM pour des raisons diverses considère que ce modèle économique, bagasse biomasse, ne lui convient pas.
Vous voyez, nous voulons tout faire en même temps. Écologie, business, économie, agriculture, innovation. Il suffirait de se demander par exemple si la MARTINIQUE peut se permettre de rajouter quatre mille chômeurs de plus au 50 000 recensé pour devenir immédiatement raisonnable. Peut-être qu’à ce moment nos élus comprendront que pour remonter au vent en voile, il faut tirer des bords. C’est comme dans la vie, les solutions intermédiaires existent.