A toute provocation malheur est bon.
La Martinique ne manque pas d'eau. L'eau n'est pas gérée
Ce manque d'eau est une provocation de la population. Car comment accepter pour toute une génération qui n'est jamais allée chercher de l'eau à la source, que l'on puisse manquer d'eau aux robinets. Si vous avez des enfants de moins 20 ans il suffit de les écouter , et d'entendre leur réflexion quand ils vont à la douche et qu'il n'y a pas d'eau.
Les raisons de ce , "il n'y a pas d'eau ne nous intéresse pas , même en qualité de média. Avouons que pour les salaires distribués par les entreprises d'eau, et les avantages obtenus par les cadres de ces services publiques assimilés, nous sommes , nous consommateurs taxés, en droit d'attendre mieux, si ce n'est un service régulier. C'est le minimum, et les raisons de ces défaillances ne nous intéressent pas. Il est grave qu'en ce moment seulement, on vienne nous parler avec calme de structure unique de l'eau.
Mais le plus grave , ce n'est pas qu'il n'y ait pas d'eau au robinet, ou des coupures tournantes, le plus insultant et inacceptable, c'est qu'on ne puisse trouver de l'eau nulle part d'autre que de l'eau en libre service, et en bouteilles. En effet , les différentes sources que la génération 1960 connaissaient ont disparu. On ne peut plus boire de l'eau des rivières ni même en puiser pour lavander. Cette situation est préoccupante dans un pays sismique, où tous les réseaux peuvent du jour au lendemain rompre et exploser par l'effet d'une magnitude.
C'est ce que nous montre le covid 19. L'obsolescence d'un certain nombre de concepts, dans un contexte de déconfiture des liens politiques. Mais également notre vulnérabilité sur des choses essentielles comme le respect d'un cours d'eau. "Vréyé dlo" disait la chanson, mais cette fois c'est râpé car il n'y a plus d'alternative, sauf celle d'acheter de l'eau !
C'est insupportable .
Les raisons de ce , "il n'y a pas d'eau ne nous intéresse pas , même en qualité de média. Avouons que pour les salaires distribués par les entreprises d'eau, et les avantages obtenus par les cadres de ces services publiques assimilés, nous sommes , nous consommateurs taxés, en droit d'attendre mieux, si ce n'est un service régulier. C'est le minimum, et les raisons de ces défaillances ne nous intéressent pas. Il est grave qu'en ce moment seulement, on vienne nous parler avec calme de structure unique de l'eau.
Mais le plus grave , ce n'est pas qu'il n'y ait pas d'eau au robinet, ou des coupures tournantes, le plus insultant et inacceptable, c'est qu'on ne puisse trouver de l'eau nulle part d'autre que de l'eau en libre service, et en bouteilles. En effet , les différentes sources que la génération 1960 connaissaient ont disparu. On ne peut plus boire de l'eau des rivières ni même en puiser pour lavander. Cette situation est préoccupante dans un pays sismique, où tous les réseaux peuvent du jour au lendemain rompre et exploser par l'effet d'une magnitude.
C'est ce que nous montre le covid 19. L'obsolescence d'un certain nombre de concepts, dans un contexte de déconfiture des liens politiques. Mais également notre vulnérabilité sur des choses essentielles comme le respect d'un cours d'eau. "Vréyé dlo" disait la chanson, mais cette fois c'est râpé car il n'y a plus d'alternative, sauf celle d'acheter de l'eau !
C'est insupportable .
En Guadeloupe , la question de l'eau a dégénéré et est devenue une revendication politique et polémiste. En Martinique c'est l'Etat qui réactive ce que ce même Etat a "soutiwé" En laissant ; Pour l'heure la population entend dire et faire savoir qu'elle est est au bout du bout. Voici ce texte qui en appelle à une manifestation dans le respect des autres usagers.
Lamentinoises, Lamentinois,
Usagers victimes depuis si longtemps des coupures d'eau incessantes sur les secteurs d'Acajou, Acajou Prolongé, Palmiste, Long-Pré, Jeanne-d'Arc, Basse-Gondeau, Morne-Pavillon, etc..., nous disons STOP !!!! Il faut que ça cesse !!!!
Notre détresse n'est pas entendue. Mercredi 20 Mai 2020, nous passons à l'action. Rendez-vous à 05h45 devant Speedy Acajou-Galléria, pour un départ à 6h00 précises en opération MolokoÏ vers l'autoroute, et les sièges de la CACEM, puis Odyssi et enfin SME.
Nous devons faire entendre notre voix, car nous seuls souffrons de cette situation. Donc, SOYONS NOMBREUX, avec nos klaxons, warnings, et 2 bouteilles d'eau accrochées aux véhicules, pour nous faire entendre par Odyssi, SME, les élus (CACEM, Espace Sud, Mairie du Lamentin) et l'Etat, qui nous laissent seuls, sans réelles solutions stables et pérennes, en cette période de pandémie.
Allons-y sans crainte. Seul ce type d'action paye malheureusement en Martinique. Nous circulerons sur deux files, en laissant la troisième libre à la circulation. Pas de blocage, mais une gène significative. Inscrivez-vous et manifestez votre soutien sur nos pages Facebook et les Forums Whatsapp
L'eau est besoin vital pour nous !
Usagers victimes depuis si longtemps des coupures d'eau incessantes sur les secteurs d'Acajou, Acajou Prolongé, Palmiste, Long-Pré, Jeanne-d'Arc, Basse-Gondeau, Morne-Pavillon, etc..., nous disons STOP !!!! Il faut que ça cesse !!!!
Notre détresse n'est pas entendue. Mercredi 20 Mai 2020, nous passons à l'action. Rendez-vous à 05h45 devant Speedy Acajou-Galléria, pour un départ à 6h00 précises en opération MolokoÏ vers l'autoroute, et les sièges de la CACEM, puis Odyssi et enfin SME.
Nous devons faire entendre notre voix, car nous seuls souffrons de cette situation. Donc, SOYONS NOMBREUX, avec nos klaxons, warnings, et 2 bouteilles d'eau accrochées aux véhicules, pour nous faire entendre par Odyssi, SME, les élus (CACEM, Espace Sud, Mairie du Lamentin) et l'Etat, qui nous laissent seuls, sans réelles solutions stables et pérennes, en cette période de pandémie.
Allons-y sans crainte. Seul ce type d'action paye malheureusement en Martinique. Nous circulerons sur deux files, en laissant la troisième libre à la circulation. Pas de blocage, mais une gène significative. Inscrivez-vous et manifestez votre soutien sur nos pages Facebook et les Forums Whatsapp
L'eau est besoin vital pour nous !