Bien évidemment tous les arnaqueurs et organisateurs de ces Etats-Généraux répondaient présents à l’appel. En fait une majorité de chefs d’entreprises, pas nombreux non plus.
La rénovation du dialogue social et la formation professionnelle ne mobilisent personne. Ni salariés, ni demandeurs d’emplois et encore moins les jeunes.
Bien sûr, certains profiteurs ont bien compris que le port de Fort-de-France est un lieu stratégique, et un profiteur n’a pas manqué de proposer une réglementation de l’activité portuaire de telle sorte que même en cas de grève les transferts de marchandises soient effectués. En fait sanctuariser le port.
Un projet qui mijote et que l’on compte mettre en place avec l’arrivée d’un béké président de la CCIM et avec à la clef des troubles sociaux.
Certains patrons qui eux ont bien compris que dans l’affrontement rien ne progresse, ils souhaitent la mise en place d’espace de formation pour leurs salariés, formation pour une meilleure compréhension de l’entreprise et de son fonctionnement.
Pas mauvais du tout pour faire comprendre que l’un est l’autre dans l’entreprise , et surtout : Pas de d’entreprise sans patron, pas d’entreprise sans salariés.
Par ailleurs, un jeune chômeur disait : je ne comprends pas l’absence des salariés précaires à cet atelier, en fait c’était l’interrogation de tous ceux qui avaient fait le déplacement.
Au final des comptes, la parole a donc été laissée aux seuls présents : « Les patrons ».
En fait on tourne en rond. Un représentant de la CCIM a déclaré, qu’il faudrait d’abord travailler sur « la valorisation de l’action syndicale dans les entreprises», ce qui éviterait les blocages, un lieu commun sans cesse répéter, et sans effet.
Un atelier sur le dialogue social et la formation professionnelle sans intérêt à cause de l’absence d’un des deux éléments du couple salariés-patrons.
Le couple n’a toujours pas compris que dans l’entreprise la devise doit être : On gagne ensemble ou on meurt séparément.
Mais ça ,c’est une autre histoire.
La rénovation du dialogue social et la formation professionnelle ne mobilisent personne. Ni salariés, ni demandeurs d’emplois et encore moins les jeunes.
Bien sûr, certains profiteurs ont bien compris que le port de Fort-de-France est un lieu stratégique, et un profiteur n’a pas manqué de proposer une réglementation de l’activité portuaire de telle sorte que même en cas de grève les transferts de marchandises soient effectués. En fait sanctuariser le port.
Un projet qui mijote et que l’on compte mettre en place avec l’arrivée d’un béké président de la CCIM et avec à la clef des troubles sociaux.
Certains patrons qui eux ont bien compris que dans l’affrontement rien ne progresse, ils souhaitent la mise en place d’espace de formation pour leurs salariés, formation pour une meilleure compréhension de l’entreprise et de son fonctionnement.
Pas mauvais du tout pour faire comprendre que l’un est l’autre dans l’entreprise , et surtout : Pas de d’entreprise sans patron, pas d’entreprise sans salariés.
Par ailleurs, un jeune chômeur disait : je ne comprends pas l’absence des salariés précaires à cet atelier, en fait c’était l’interrogation de tous ceux qui avaient fait le déplacement.
Au final des comptes, la parole a donc été laissée aux seuls présents : « Les patrons ».
En fait on tourne en rond. Un représentant de la CCIM a déclaré, qu’il faudrait d’abord travailler sur « la valorisation de l’action syndicale dans les entreprises», ce qui éviterait les blocages, un lieu commun sans cesse répéter, et sans effet.
Un atelier sur le dialogue social et la formation professionnelle sans intérêt à cause de l’absence d’un des deux éléments du couple salariés-patrons.
Le couple n’a toujours pas compris que dans l’entreprise la devise doit être : On gagne ensemble ou on meurt séparément.
Mais ça ,c’est une autre histoire.