Le nouveau gouvernement a annoncé une diminution drastique du nombre de contrats aidés dès 2017.
La Collectivité Territoriale de Martinique participe au financement de ce dispositif dans le cadre de sa politique de lutte contre la précarité. Cette volonté s’est traduite par la signature d’une convention entre l’Etat et la CTM en 2016.
Dans le respect des engagements pris avec l'Etat, la CTM a inscrit à son budget 2017 les sommes nécessaires au financement de ces contrats.
Cependant, l'incertitude créée par l’annonce du gouvernement bloque l’ensemble du processus de recrutement des contrats aidés et met gravement en difficulté les acteurs associatifs, sociaux, scolaires, économiques...
Les principales victimes de la décision brutale de l'Etat sont les personnes déjà en situation de grande précarité.
L’impact de cette mesure s'avère d'autant plus désastreux que les suppressions de contrats aidés interviennent dans un contexte de rentrée scolaire et sont de nature à perturber de manière significative le fonctionnement des établissements, au détriment de nos élèves.
Nous attirons solennellement l’attention du préfet et du gouvernement sur la nécessité de préciser de toute urgence les mesures dérogatoires annoncées le 24 août dernier par le Premier Ministre.
Dans le respect des engagements pris avec l'Etat, la CTM a inscrit à son budget 2017 les sommes nécessaires au financement de ces contrats.
Cependant, l'incertitude créée par l’annonce du gouvernement bloque l’ensemble du processus de recrutement des contrats aidés et met gravement en difficulté les acteurs associatifs, sociaux, scolaires, économiques...
Les principales victimes de la décision brutale de l'Etat sont les personnes déjà en situation de grande précarité.
L’impact de cette mesure s'avère d'autant plus désastreux que les suppressions de contrats aidés interviennent dans un contexte de rentrée scolaire et sont de nature à perturber de manière significative le fonctionnement des établissements, au détriment de nos élèves.
Nous attirons solennellement l’attention du préfet et du gouvernement sur la nécessité de préciser de toute urgence les mesures dérogatoires annoncées le 24 août dernier par le Premier Ministre.