Invités par le Président de la République à venir exposer à Paris les problématiques ultra-marines, les élus socialistes et apparentés ont décidé de répondre positivement, tout en déplorant que celui-ci n’ait pas jugé utile de prendre position face à la crise actuelle. Celle-ci dure déjà depuis plus d’un mois et révèle une réalité structurelle dont les racines sont profondes.
Les élus demandent au Président de la République de prendre en urgence les mesures nécessaires pour sortir de la crise actuelle en outre-mer : augmentation du pouvoir d’achat et des salaires pour les plus modestes ; lutte contre la vie chère. Ils attendent notamment de celui-ci, l’annonce solennelle que l’Etat respectera sa parole et qu’il signera un pré-accord intervenu le 8 février dernier en Guadeloupe.
A défaut, les élus socialistes et apparentés d’outre-mer considéreront que le gouvernement ne donne pas les signes d’un changement réel de sa politique outre-mer.
Aussi, ils affirment l’impérieuse nécessité de réécrire la loi de développement de l’outre-mer : d’une part pour lui permettre de répondre aux problématiques urgentes auxquelles les populations d’outre-mer sont confrontées, d’autre part pour engager un débat de fond sur les évolutions qui s’imposent.
Jean-Etienne Antoinette, sénateur de Guyane
Chantal Berthelot, députée de Guyane
Jean-Claude Fruteau, député de la Réunion
Jacques Gillot, sénateur de Guadeloupe
Serge Larcher, sénateur de Martinique
Patrick Lebreton, député de la Réunion
Serge Letchimy, député de la Martinique
Albert Likuvalu, député de Wallis et Futuna
Claude Lise, sénateur de la Martinique,
Victorin Lurel, député de la Guadeloupe
Louis Joseph Manscour, député de la Martinique
Jeanny Marc, député de la Guadeloupe
Catherine Néris, députée européenne, Martinique
Georges Patient, sénateur de Guyane
Christiane Taubira, députée de Guyane
Il faut observer qu’Alfred Marie Jeanne n’est pas signataire puisqu’il appartient à un autre groupe parlementaire.
Les élus demandent au Président de la République de prendre en urgence les mesures nécessaires pour sortir de la crise actuelle en outre-mer : augmentation du pouvoir d’achat et des salaires pour les plus modestes ; lutte contre la vie chère. Ils attendent notamment de celui-ci, l’annonce solennelle que l’Etat respectera sa parole et qu’il signera un pré-accord intervenu le 8 février dernier en Guadeloupe.
A défaut, les élus socialistes et apparentés d’outre-mer considéreront que le gouvernement ne donne pas les signes d’un changement réel de sa politique outre-mer.
Aussi, ils affirment l’impérieuse nécessité de réécrire la loi de développement de l’outre-mer : d’une part pour lui permettre de répondre aux problématiques urgentes auxquelles les populations d’outre-mer sont confrontées, d’autre part pour engager un débat de fond sur les évolutions qui s’imposent.
Jean-Etienne Antoinette, sénateur de Guyane
Chantal Berthelot, députée de Guyane
Jean-Claude Fruteau, député de la Réunion
Jacques Gillot, sénateur de Guadeloupe
Serge Larcher, sénateur de Martinique
Patrick Lebreton, député de la Réunion
Serge Letchimy, député de la Martinique
Albert Likuvalu, député de Wallis et Futuna
Claude Lise, sénateur de la Martinique,
Victorin Lurel, député de la Guadeloupe
Louis Joseph Manscour, député de la Martinique
Jeanny Marc, député de la Guadeloupe
Catherine Néris, députée européenne, Martinique
Georges Patient, sénateur de Guyane
Christiane Taubira, députée de Guyane
Il faut observer qu’Alfred Marie Jeanne n’est pas signataire puisqu’il appartient à un autre groupe parlementaire.