Dossier / La CTM : ils voulaient absolument, mais maintenant ils fuient tous !


Rédigé le Mercredi 31 Mai 2017 à 15:57 |
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L'argument : "Ils laissent tous la CTM après l'avoir voulue", fait son chemin dans cette campagne des législatives.


Trois types d’arguments se frottent, mais la vérité est toute autre.

Yan MONPLAISIR pourtant 1 er VP n'est pas prêt à se laissé confondre pomme et fruit du mencelinier.
Celle du financement des partis par l’État.

Tous les électeurs ne savent pas que c’est sur la base des résultats des législatives que les partis sont financés depuis la nouvelle disposition qui interdit aux entreprises de financer les groupes politiques.
Quand Marine LE PEN, propose 4 candidats en MARTINIQUE, ce n’est pas pour faire mignon. En fait, elle souhaite capitaliser sur les 30 000 voix réalisées sur tout le pays pour aider au financement de son action politique globale.

Mais aucun Parti politique Martiniquais n’avoue publiquement cet argument. Un bulletin de vote vaudra 1.60 € par ans sur 5 ans.

Le second argument développé par la rumeur serait lié aux revenus des députés pour eux-mêmes. Entre les avantages induits et le prestige de la fonction, il est indiscutable que le titre peut changer l’aspect du compte bancaire d’un honnête citoyen pour peu qu’il soit élu par le peuple.
C’est donc un second argument financier.

Mais il existe des arguments politiques. Selon une certaine rumeur, travailler au côté du Président de la C T M serait devenu compliqué, risqué, et insupportable. Nous n’allons pas développer cet argument qui est plus du registre de la polémique, du ragot et du militantisme primaire. Sauf qu’effectivement en regardant comment ce dernier traite ses propres militants, on peux resté perplexe sur leur capacité à avaler tout le temps les couleuvres sans sourcillier. Prenez le cas du député NILOR. Il est traité de traître, mis à l’indexe, évité par le chef pour avoir simplement oser oser.

Preuve que cette méchanceté gratuite a choqué plus d’un, ils viennent de tout bord du tricotage électoral du GS supporter le candidat déstabilisé par son chef, lui-même instrumentalisée par une certaine presse au service de la droite locale.

Également, Claude LISE nanifié par Alfred MARIE JEANNE est accouru au secours de celui qui avait pourtant refusé catégoriquement qu’il fasse corps de l’alliance de base du GRAND SAMBLE. Comme quoi en politique ce qui compte c’est le coup d’après.

Ce n’est pas l’expérience d’apprenti sorcier de DMS pour l’affaire DUNON qui nous démentira sur ce point. AMJ a imposé à son groupe ce candidat seul, en dehors des instances du parti, et pour montrer sa fidélité au seul personnage de son groupe politique auquel il estimait pouvoir faire confiance. Dunon est donc un symbole que des militants battent en brèche en soutenant un candidat adverse ; PEM


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Il est donc effectivement constant, qu’il n’est pas aisé pour des collaborateurs politiques et administratifs, de travailler avec un sanguin et une personne colérique.

Colérique, et vite agacé un style bien à lui difficle à accepter dans un mode de management moderne.
L’âge n’aidant pas à l’évacuation de stress, et des angoisses, sa trajectoire politique est devenue moins lisible, et dans la tête de ses collaborateurs, il est probable qu’un warning se soit mis en marche. Vote aux présidentielles etc etc personne n’y comprend plus rien.

Comme une fusée dont la trajectoire n’est plus nominale AMJ inquiète plus d’un. Son opposition qui le fait passer pour un petit papi fou , mais cela peut se comprendre. Mais de plus en plus des personnes proches de sa base, collectivement, se mobilisent derrière NILOR.

S’il est évident que ce dernier n’a pas toujours la consistance d’un député, il n’empêche que sa situation de réelle victime du système AMJ, a déclenché des actes de sympathie et se traduit comme une défiance vis-à-vis du chef historique.
« Même MAKACLA.COM pourtant pas de son bord politique , demande parfois pardon pour lui » (traduire la phrase en créole pour comprendre la métaphore.)

Mais comment expliquer qu’en dehors de NILOR certains candidats de l’exécutif de la CTM peuvent penser qu’ils vont être élus sur leur seul nom ? En définitive ils prennent autant de risques, plus celui d’être honteux et petit garçon au retour de la chasse avec une gibecière vide, car ils répondent désormais à des stratégies plus personnelles.

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Ils travaillent maintenant pour leurs intérêts glacés

A cette occasion on découvre qu'elle n'est pas du MIM mais du RDM
Ils travaillent maintenant pour leurs intérêts glacés, comptent leurs voix affinent leur trajectoire. Il ont hélas compris que même avec une seule assemblée le pays est irrattrapable et que cette alliance ne peut pas survivre à autant d’incohérences.

Ils se cachent donc, cherchent à se planquer et fuient la réalité, à la découverte des difficultés. Ils ont pris conscience de leur impuissance et de l’état du pays. Il ont mesuré la force des vents contraires.
Les élections nationales seront bientôt terminées, Macron est la première donnée certaine , les législatives accoucheront d’une souris, les législatives sont déjà jouées, mais les élections de la nouvelle CTM sont déjà en route.

Préparez-vous à recevoir si vous avez demandé, Alfred MARIE JEANNE va ouvrir les vannes de caisses qu’il prétend vide ! Ils auront tous besoin de se faire réélire.

Nilors une candidature normale. Il défend son titre et est oublié sur le banc de touche.

Le PPM n'est pas en reste au lieu d'organiser la riposte PAMPHIL rêve d'or

Si BOUTRIN LOUIS est élu il partira sans remettre son livre blanc sur le sport. et sans légaliser Yan Monplaisir pour les AOT de la COOPEMAR

Il n'en a pas l'aspect mais c'est un bon marin de haute mer. il sait tirer des bords francs


VACABONAGERIE
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