C'est avant tout une grande auto-satisfaction de tous les membres élus à la CTM qui aura marqué les travaux de rentrée de BPAC ;
"Nous avons fait le job" tel pourrait être le refrain de la chanson si la rentrée politique de BPAC, si cette mise à plat devait être une chanson. Oui en chœur et en solo ils disent avoir fait le Job.
Sylvia Saithsoothane à l'éducation considère qu'elle a fait beaucoup dans un contexte contraint, à la fois par les urgences d'établissements à mettre aux normes et parfois dans l'adversité politique et les petits cancans du pays qu'elle dit avoir dépassés dans l’intérêt des élèves . Ses notes de bonheur: Le transfert du Lycée Schoelcher à Bellevue, l'ouverture du collège de Sainte Marie et ses dispositions relatives à la crise du covid 19 dont la mise à disposition dans les prochains jours de tablettes moderniseront les cartables.
Pour Marinette Torpille, c'est pareil , nous avons fait le job dit-elle. 20 millions pour la crise du Covid 19, plus de 6000 dossiers traités ou en cours en moins de 6 mois, nuit et jour. Plusieurs réformes sur la restructuration des hauts de bilan. Deux salons et la liste n'est pas exhaustive.
C'est le même air et le même refrain pour Diane Montrose, dont il faut reconnaître qu'elle avait les dossiers les moins médiatiques. Accompagner les collectivités dans leurs projets de développement des infrastructures par le biais d'une SPL et le logement par les sociétés de HLM est un travail de fond. Elle avait tout à construire. Cette SPL qui aujourd'hui trouve des chantiers à accompagner dans plusieurs communes est son unique construction d'autant que la CTM ne lui a jamais fourni un seul chantier !
Pour le tourisme une nuance avant le covid, nous avons fait remarquablement le job dit la patronne du tourisme, et après... nous repartons de plus belle avec des formules pour la musique martiniquaise, la reconquête des marchés internationaux et enfin la restructuration des acteurs locaux . Yan Monplaisir sur ce point n'aura pas oublié, pour montrer la rigueur dans la gestion, d'indiquer que la présidente n'avait ni voiture de fonction ni autre apparat de fonction. Elle prenait le métro dit-il !
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Sylvia Saithsoothane à l'éducation considère qu'elle a fait beaucoup dans un contexte contraint, à la fois par les urgences d'établissements à mettre aux normes et parfois dans l'adversité politique et les petits cancans du pays qu'elle dit avoir dépassés dans l’intérêt des élèves . Ses notes de bonheur: Le transfert du Lycée Schoelcher à Bellevue, l'ouverture du collège de Sainte Marie et ses dispositions relatives à la crise du covid 19 dont la mise à disposition dans les prochains jours de tablettes moderniseront les cartables.
Pour Marinette Torpille, c'est pareil , nous avons fait le job dit-elle. 20 millions pour la crise du Covid 19, plus de 6000 dossiers traités ou en cours en moins de 6 mois, nuit et jour. Plusieurs réformes sur la restructuration des hauts de bilan. Deux salons et la liste n'est pas exhaustive.
C'est le même air et le même refrain pour Diane Montrose, dont il faut reconnaître qu'elle avait les dossiers les moins médiatiques. Accompagner les collectivités dans leurs projets de développement des infrastructures par le biais d'une SPL et le logement par les sociétés de HLM est un travail de fond. Elle avait tout à construire. Cette SPL qui aujourd'hui trouve des chantiers à accompagner dans plusieurs communes est son unique construction d'autant que la CTM ne lui a jamais fourni un seul chantier !
Pour le tourisme une nuance avant le covid, nous avons fait remarquablement le job dit la patronne du tourisme, et après... nous repartons de plus belle avec des formules pour la musique martiniquaise, la reconquête des marchés internationaux et enfin la restructuration des acteurs locaux . Yan Monplaisir sur ce point n'aura pas oublié, pour montrer la rigueur dans la gestion, d'indiquer que la présidente n'avait ni voiture de fonction ni autre apparat de fonction. Elle prenait le métro dit-il !
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Donc , jusqu'à la crise du covid 19 tout allait bien sauf une chose essentielle : "Miguel Laventure qui nous mettait des bâtons" non pas dans les roues, mais des troncs sur la route.
Le tourisme un enjeu ravagé par le covid 19
Si les oreilles de Miguel Laventure n'ont pas sonné c'est que soit l'homme a le sommeil profond, soit il a une carapace en titane !
Effectivement et comme nous parlons de sommeil, il faut croire que le cauchemar de BPAC c'était avant tout Miguel Laventure. Au moins sur 2 points et une attitude ! Les points, l'argent l'argent, l'argent ! L'argent des fonds Européens, l'argent du budget de la CTM qu'il n'entendait pas dépenser autrement qu'au goutte à goutte .
A croire le patron de BPAC, Yan Monplaisir à aucun moment son groupe politique n'a bénéficié du soutien de Miguel Laventure ce qui de facto a entrainé son exclusion.
Et les exemples sont nombreux : dont la question du fond Jérémie, un montage abondé par des fonds européens pour relever les hauts de bilan où Miguel Laventure a dit-on freiné des quatre fers. A cette occasion nous avons compris après avoir entendu le refrain du job fait, que dans le texte Miguel Laventure avait joué contre son camp. Il n'y a pas eu une seule des autres membres pour le défendre, même pas Sylvia Saithsoutane dont on connait la pondération .
C'est ce que nous appelons la rupture à droite.
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Effectivement et comme nous parlons de sommeil, il faut croire que le cauchemar de BPAC c'était avant tout Miguel Laventure. Au moins sur 2 points et une attitude ! Les points, l'argent l'argent, l'argent ! L'argent des fonds Européens, l'argent du budget de la CTM qu'il n'entendait pas dépenser autrement qu'au goutte à goutte .
A croire le patron de BPAC, Yan Monplaisir à aucun moment son groupe politique n'a bénéficié du soutien de Miguel Laventure ce qui de facto a entrainé son exclusion.
Et les exemples sont nombreux : dont la question du fond Jérémie, un montage abondé par des fonds européens pour relever les hauts de bilan où Miguel Laventure a dit-on freiné des quatre fers. A cette occasion nous avons compris après avoir entendu le refrain du job fait, que dans le texte Miguel Laventure avait joué contre son camp. Il n'y a pas eu une seule des autres membres pour le défendre, même pas Sylvia Saithsoutane dont on connait la pondération .
C'est ce que nous appelons la rupture à droite.
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Mais comment justifier la rupture avec la gauche nationaliste et Alfred Marie-Jeanne l'indépendantiste !
Dans le rôle du soliste et sans doute du ténor, c'est encore Yan Monplaisir qui s'explique . Une tâche qui lui était réservée. Carine Mousseau revenait d'un mariage infructueux au François, Marinette Torpille elle, est attendrie par l'image de Marie-Jeanne, elles ne sont pas en mesure après leur défaite des municipales à Schoelcher et au François de parler trop fort. Sylvia Saithsoothane, elle a tout obtenu de ses demandes et c'est avec une certaine modération que celle ci justifie de temps en temps la position du PCE en modérant parfois les coups de corne de brume de son patron.
C'est donc Yan Monplaisir qui avait la tâche d'expliquer le pourquoi de sa rupture avec le MIM.
Voici ses explications résumées en 3 mots:
La question démocratique, 28 jours pour être reçu par le PCE quand on est le premier Vice Président.
La questions des budgets d'investissement trop faibles. Selon Yan; en 5 ans la Martinique perdrait un budget.
Enfin la méthode : avec le pragmatisme entrepreneurial à la place des idéologues et idéologie rétrograde selon lui !
A-t-il oublié de dire que sur le dernier budget il s'était abstenu. N'était-ce déjà pas là un certaine distanciation préalable au covid ?
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C'est donc Yan Monplaisir qui avait la tâche d'expliquer le pourquoi de sa rupture avec le MIM.
Voici ses explications résumées en 3 mots:
La question démocratique, 28 jours pour être reçu par le PCE quand on est le premier Vice Président.
La questions des budgets d'investissement trop faibles. Selon Yan; en 5 ans la Martinique perdrait un budget.
Enfin la méthode : avec le pragmatisme entrepreneurial à la place des idéologues et idéologie rétrograde selon lui !
A-t-il oublié de dire que sur le dernier budget il s'était abstenu. N'était-ce déjà pas là un certaine distanciation préalable au covid ?
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Notre opinion.
Diane Montrose au sport mais aussi au chevet de la SPL
Voilà 5 ans que nous observons ce groupe politique. On ne peut pas dire qu'il soit resté inactif. Mais le développement économique ce n'est pas que les bilans d'entreprises et le tourisme. C'est aussi l'agriculture, la pêche . Marinette Torpille explique qu'il faut rassembler tous ces secteurs pour mener un politique économique cohérente
Il nous a semblé que dans un premier temps il y avait une vraie espérance portée par cette alliance. Mais il y avait aussi un vrai enjeu, qui était de faire émerger d'autres visages, d'autres talents potentiels et faire revenir aux affaires la droite. Mais reconnaissons aussi que celles qui sont arrivées au pouvoir à coté de Yan Monplaisir était dépourvues d'expérience de gestions politiques et même économiques.
Considérons que cette expérience est acquise, ou en cours de validation.
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Il nous a semblé que dans un premier temps il y avait une vraie espérance portée par cette alliance. Mais il y avait aussi un vrai enjeu, qui était de faire émerger d'autres visages, d'autres talents potentiels et faire revenir aux affaires la droite. Mais reconnaissons aussi que celles qui sont arrivées au pouvoir à coté de Yan Monplaisir était dépourvues d'expérience de gestions politiques et même économiques.
Considérons que cette expérience est acquise, ou en cours de validation.
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Il est donc normal que Yan Monplaisir revienne à ses fondamentaux, le développement économique, la relance de l'économie, le tourisme, l'emploi, les affaires.. maintenant qu'il sait que Marie-Jeanne est candidat.
A l'usage la personnalité d'Alfred Marie-Jeanne aura interrogé plus d'un, quand bien même les institutions même de la CTM montraient leurs limites. Tous ces partenaires d' AMJ dont ses proches des premiers jours, Nilor certainement, Claude Lise ensuite, et enfin la droite de Yan Monplaisir en sont revenus du caractère du président de l'Exécutif.
Cette droite semble avoir tout fait pour éviter la rupture avant . Nous disons la droite pour parler des départementalises et les différencier des autonomistes et des séparatistes. Sauf que contrairement à tous les points de vue, et sans doute même par Yan Monplaisir, le retour aux élections d'Alfred Marie-Jeanne pour un autre mandat n'était envisageable par personne d'autre que lui tout seul !
A quoi cela devait-il servir de se débarrasser d'un concurrent qui ne reviendrait pas au combat ?
Il est donc normal que Yan Monplaisir revienne à ses fondamentaux, le développement économique, la relance de l'économie, le tourisme, l'emploi, les affaires.. maintenant qu'il sait que Marie-Jeanne est candidat. C'est aussi l'occasion pour lui d'indiquer que la chasse commune est terminée et que chacun doit y aller pour son mandat et la chasse aux voix.
Il restera à savoir si Miguel Laventure sera le seul à être débarqué de ce train dont on sait que la destination est la présidence de la CTM 2021 !
Cette droite semble avoir tout fait pour éviter la rupture avant . Nous disons la droite pour parler des départementalises et les différencier des autonomistes et des séparatistes. Sauf que contrairement à tous les points de vue, et sans doute même par Yan Monplaisir, le retour aux élections d'Alfred Marie-Jeanne pour un autre mandat n'était envisageable par personne d'autre que lui tout seul !
A quoi cela devait-il servir de se débarrasser d'un concurrent qui ne reviendrait pas au combat ?
Il est donc normal que Yan Monplaisir revienne à ses fondamentaux, le développement économique, la relance de l'économie, le tourisme, l'emploi, les affaires.. maintenant qu'il sait que Marie-Jeanne est candidat. C'est aussi l'occasion pour lui d'indiquer que la chasse commune est terminée et que chacun doit y aller pour son mandat et la chasse aux voix.
Il restera à savoir si Miguel Laventure sera le seul à être débarqué de ce train dont on sait que la destination est la présidence de la CTM 2021 !