Article réalisé suite à des travaux réalisés par Nathalie Pignard-Cheynel Professeure assistante, Académie du journalisme et des médias, Université de Neuchâtel Jessica Richard Assistante-doctorante en journalisme numérique, Université de Neuchâtel Marie Rumignani PhD assistant in Journalism, Université de Neuchât
Je cite la conclusion : « L’option d’une approche pédagogique innovante inspirée de l’esprit lab semble une voie féconde pour s’attaquer à un sujet aussi capital que la place de Facebook dans l’accès à l’information, dans les pratiques journalistiques et par conséquent dans la formation des futurs professionnels. Avec pour ambition de les amener à porter un regard attentif, professionnel et réflexif sur une plate-forme devenue en quelques années l’un des principaux pourvoyeurs d’audience des médias et avec laquelle les journalistes ne peuvent plus guère « faire sans ». Alors autant qu’ils le fassent de manière éclairée. » Fin de citation.
Donc, quoi penser de l’influence de ce super média en MARTINIQUE quand on sait la particularité des algorithmes de cet incontournable support.
Il en ressort de ces expérimentations utilisateurs que FACEBOOK vous confine à une communauté infligée. Autrement dit ce support vous construit votre bulle, et vous rassure ainsi. Vous n’ignorez pas que notre cerveau a peur du changement.
Exemple : que vous soyez pour ou contre le MIM ou le PPM, en cliquant j’aime ou je n’aime pas, c'est-à-dire grrr sur des articles traitant de ces partis, vous constituez, du même coup, le type d’articles qui va arriver à vous dans votre bulle. Autrement dit si vous cliquez sur une actualité mode, vous auriez plus de chances de constater que dans votre Feed d’information, vous aurez plus d'articles modes. Pour résumer Facebook ne s’aventurera pas à vous lancer sur des sujets qui pourraient changer votre vision du monde.
Quand on connaît la puissance de ce média, on peut être interrogatif sur sa capacité à faire que les Martiniquais ne s’intéressent à d’autres sujets que ceux qui ne les préoccupent pas déjà et donc à les rendre plus intelligents en leur proposant plus de choix. Ainsi, cela permet notamment de mesurer la difficulté pour faire émerger des idées nouvelles et des Hommes nouveaux dans ce pays, que nous disons vouloir changer, même avec des médias nouveaux.
Par conséquent alors que nous pouvons croire que nous allons chercher des informations nouvelles, Facebook nous sert ce qu’il sait que nous attendons. Il existe des méthodes pour crever cette bulle. Il s’agit principalement d’ouvrir votre groupe d’amis à des inconnus et a sans cesse, augmenter le nombre de médias aux sens journaux radios, que vous avez dans votre liste d’amis. Enfin si vous voulez éviter votre « tubilisation » apprenez à tromper les algorithmes en vous intéressant à des sujets qui ne vous intéressent pas.
Donc, quoi penser de l’influence de ce super média en MARTINIQUE quand on sait la particularité des algorithmes de cet incontournable support.
Il en ressort de ces expérimentations utilisateurs que FACEBOOK vous confine à une communauté infligée. Autrement dit ce support vous construit votre bulle, et vous rassure ainsi. Vous n’ignorez pas que notre cerveau a peur du changement.
Exemple : que vous soyez pour ou contre le MIM ou le PPM, en cliquant j’aime ou je n’aime pas, c'est-à-dire grrr sur des articles traitant de ces partis, vous constituez, du même coup, le type d’articles qui va arriver à vous dans votre bulle. Autrement dit si vous cliquez sur une actualité mode, vous auriez plus de chances de constater que dans votre Feed d’information, vous aurez plus d'articles modes. Pour résumer Facebook ne s’aventurera pas à vous lancer sur des sujets qui pourraient changer votre vision du monde.
Quand on connaît la puissance de ce média, on peut être interrogatif sur sa capacité à faire que les Martiniquais ne s’intéressent à d’autres sujets que ceux qui ne les préoccupent pas déjà et donc à les rendre plus intelligents en leur proposant plus de choix. Ainsi, cela permet notamment de mesurer la difficulté pour faire émerger des idées nouvelles et des Hommes nouveaux dans ce pays, que nous disons vouloir changer, même avec des médias nouveaux.
Par conséquent alors que nous pouvons croire que nous allons chercher des informations nouvelles, Facebook nous sert ce qu’il sait que nous attendons. Il existe des méthodes pour crever cette bulle. Il s’agit principalement d’ouvrir votre groupe d’amis à des inconnus et a sans cesse, augmenter le nombre de médias aux sens journaux radios, que vous avez dans votre liste d’amis. Enfin si vous voulez éviter votre « tubilisation » apprenez à tromper les algorithmes en vous intéressant à des sujets qui ne vous intéressent pas.