1-QUI DETIENT REELLEMENT LE POUVOIR ?
Les leviers essentiels du pouvoir qui permet d’agir sur la société sont détenus par les gouvernements. Par le biais des institutions qu’ils contrôlent, ceux-ci imposent toutes ces politiques en matière d’économie, de fiscalité, d’éducation, de santé ou de « sécurité» que nous connaissons et dont nous subissons les effets désastreux.
Dans tous les pays soi-disant démocratiques, où règne le libéralisme, les gouvernements prétendent que la population est tenue de se soumettre à leurs choix et décisions, car ils ont été portés au pouvoir par la voie électorale. Sans parler des taux d’abstention qui relativisent cet argument, il faut leur rétorquer que peu de gens ignorent encore qu’ en matière d’élection « les dés sont complètement pipés ». Manipulations médiatiques et poids de l’argent permettent de verrouiller solidement la machine (Voir JKP N° 75 et 76). Le système a été organisé de telle sorte que seuls peuvent arriver au pouvoir ceux et celles qui ont été choisis par les classes dominantes pour servir leurs propres intérêts.
Au bout du compte, les lois votées, les ordonnances antidémocratiques prises garantissent leur maintien aux commandes du pouvoir. S’il existe des lois favorables au peuple, elles ont été imposées, au prix du sang et des sacrifices, par la lutte des travailleurs.
Aujourd’hui, d’ailleurs, toutes celles-ci sont détricotées dans le cadre de l’offensive généralisée menée par des gouvernements que les multinationales et le monde de la finance ont installés. Cela est largement illustré par l’épisode Macron.
Dans tous les pays soi-disant démocratiques, où règne le libéralisme, les gouvernements prétendent que la population est tenue de se soumettre à leurs choix et décisions, car ils ont été portés au pouvoir par la voie électorale. Sans parler des taux d’abstention qui relativisent cet argument, il faut leur rétorquer que peu de gens ignorent encore qu’ en matière d’élection « les dés sont complètement pipés ». Manipulations médiatiques et poids de l’argent permettent de verrouiller solidement la machine (Voir JKP N° 75 et 76). Le système a été organisé de telle sorte que seuls peuvent arriver au pouvoir ceux et celles qui ont été choisis par les classes dominantes pour servir leurs propres intérêts.
Au bout du compte, les lois votées, les ordonnances antidémocratiques prises garantissent leur maintien aux commandes du pouvoir. S’il existe des lois favorables au peuple, elles ont été imposées, au prix du sang et des sacrifices, par la lutte des travailleurs.
Aujourd’hui, d’ailleurs, toutes celles-ci sont détricotées dans le cadre de l’offensive généralisée menée par des gouvernements que les multinationales et le monde de la finance ont installés. Cela est largement illustré par l’épisode Macron.
2- UN AUTRE POUVOIR DONT ON MECONNAIT LA PUISSANCE
Lasotè (Photo Gemeinstam Stark)
Lasotè (Photo Gemeinstam Stark)
Il n’est pas besoin de démontrer que les conséquences des politiques menées par les gouvernements libéraux et impérialistes qui détiennent les leviers officiels du pouvoir sont dévastatrices pour l’immense majorité des populations. Celles-ci ne doivent leur survie qu’à des activités qui sont le fruit de leur propre initiative.
Qualifiées « d’économie informelle», « d’activités domestiques », de « travail au noir », les réponses portées par les peuples pour subsister face à l’impitoyable prédation des classes dominantes et pour pallier l’indigence de leurs gouvernements ne voient pas leur importance chiffrée par les économistes labellisés par le système. Et pour cause !
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Il n’est pas besoin de démontrer que les conséquences des politiques menées par les gouvernements libéraux et impérialistes qui détiennent les leviers officiels du pouvoir sont dévastatrices pour l’immense majorité des populations. Celles-ci ne doivent leur survie qu’à des activités qui sont le fruit de leur propre initiative.
Qualifiées « d’économie informelle», « d’activités domestiques », de « travail au noir », les réponses portées par les peuples pour subsister face à l’impitoyable prédation des classes dominantes et pour pallier l’indigence de leurs gouvernements ne voient pas leur importance chiffrée par les économistes labellisés par le système. Et pour cause !
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