Selon les différents guides mortuaires "La toilette mortuaire est effectuée en principe par deux personnes : une infirmière et une aide-soignante. Elle est réalisée sur le lieu où se trouve le défunt : hôpital, domicile, maison de retraite... avant que le corps soit transféré (le cas échéant) dans une chambre mortuaire. La toilette mortuaire consiste à apporter un certain nombre de soins au défunt pour lui rendre une apparence naturelle, c'est-à-dire la plus proche de la dernière image que la famille en garde de son vivant. "
Cette fonction est assurée bien souvent en Martinique par les de thanatopracteurs. Ces derniers sont des professionnels qui doivent avoir suivi la formation théorique et pratique déterminée par un référentiel très précis . Les renseignements que nous avons trouvé nous indiquent :
une formation théorique aux soins de conservation est d'une durée minimale de 150 heures réparties de la manière suivante: des soins de conservation. Anatomie. Médecine légale. microbiologie, hygiène, toxicologie, histologie, anatomie pathologique. Durée minimale : 10 heures.
réglementation funéraire, éléments de gestion. Durée minimale : 10 heures. sciences humaines de la mort. C'est donc une activité qui ne peut être exercée par n'importe qui.
L' ARS nous apprend par la voix de son porte-parole qu'un décret du 1 avril 2020 serait applicable quelques soient les raisons de la mort, coronavirus ou pas. Dans ce décret , je cite : Les opérations funéraires deviennent prééminentes et un décret du 1 avril interdit tous les les soins de thanatopraxie au niveau national. Quand nous avons demandé le pourquoi la réponse est sans détour : Il convient dans cette période de confinement de protéger également les professionnels qui mettent en oeuvre cette pratique.
une formation théorique aux soins de conservation est d'une durée minimale de 150 heures réparties de la manière suivante: des soins de conservation. Anatomie. Médecine légale. microbiologie, hygiène, toxicologie, histologie, anatomie pathologique. Durée minimale : 10 heures.
réglementation funéraire, éléments de gestion. Durée minimale : 10 heures. sciences humaines de la mort. C'est donc une activité qui ne peut être exercée par n'importe qui.
L' ARS nous apprend par la voix de son porte-parole qu'un décret du 1 avril 2020 serait applicable quelques soient les raisons de la mort, coronavirus ou pas. Dans ce décret , je cite : Les opérations funéraires deviennent prééminentes et un décret du 1 avril interdit tous les les soins de thanatopraxie au niveau national. Quand nous avons demandé le pourquoi la réponse est sans détour : Il convient dans cette période de confinement de protéger également les professionnels qui mettent en oeuvre cette pratique.
Ainsi donc le coronavirus viendrait bousculer une croyance, et un flot de traditions dont la plus importante qui est que le mort doit être présentable lorsqu'il arrive au ciel !
Voilà donc encore un sujet d'agacement, si ce n'est d'écrasement des convictions devant un bordel de virus . Ce virus que nous ne voyons pas mais qui semble sur la base de sa charge virale vouloir bousculer toutes nos croyances.
Dernier point, nous avons cherché ce décret, nous ne l'avons pas encore trouvé , et si nous comprenons le bon sens d'une telle décision nous espérons pouvoir trouver ce décret pour vous dire précisément de quoi il en ressort !
Dernier point, nous avons cherché ce décret, nous ne l'avons pas encore trouvé , et si nous comprenons le bon sens d'une telle décision nous espérons pouvoir trouver ce décret pour vous dire précisément de quoi il en ressort !