Certains internautes sur les réseaux sociaux se déchaînent sur les BEKES, dés qu'intervient un événement ! Parallèlement, les dirigeants politiques aux commandes des affaires à différents niveaux sont invisibles, le mot est peut-être trop fort, mais retranscrit une réalité incontournable dans cette société martiniquaise. Personne ne dit mot !
L’attitude de certains de nos parlementaires peut inquiéter, à plus d’un titre. Point encarté à quelque parti politique, il convient d’être lucide, en dépit des assauts répétés auxquels on peut avoir été soumis, il faut savoir résister, Dieu garde celui-là, appelé à réflexion, et évite toute affinité avec certains politiques, des amis néanmoins, quelques fois.
Observateur attentif, la réflexion s’impose.
Remonter au député Victor Sablé peut paraître ringard, toutefois son empreinte est indélébile dans le secteur de la banane, même s’il y a à redire, cette empreinte n’est pas passée inaperçue, fut une marque, c’était une époque !
Les députés et sénateurs de l'époque ? On a du mal à savoir qui c'était, sauf l'illustre maire de Fort de France, Aimé Césaire ! Et pourquoi ?
Des avancées indéniables
Victor Sablé et son insistance pour la reconnaissance de la banane martiniquaise, il est écouté et son projet est devenu réalité.
La Départementalisation, l’œuvre d’Aimé Césaire, c’est du concret, les résultats d’une lutte acharnée au sein de l’Assemblée Nationale.
Et depuis la départementalisation ?
L’assemblée unique, fusion Région / Département.
Face à des demandes répétées de toute part, elle fut concoctée à la va-vite par l’Elysée certainement.
L’assemblée unique ! Pas vraiment un succès dans sa forme, la Guyane a opté pour un fonctionnement simplifié, instaurant plus de clarté dans les attributions des responsabilités en adéquation avec la volonté populaire.
Le fonctionnement de la Collectivité Territoriale de Martinique ne semble pas conforme aux vœux des Martiniquais, donnant l’impression d’un flou dans la pratique, l’exécutif ayant pris le pas sur tout le reste. Le président de l’assemblée, unique ressemblant étrangement dans son fonctionnement, à la Reine d’Angleterre.
Observateur attentif, la réflexion s’impose.
Remonter au député Victor Sablé peut paraître ringard, toutefois son empreinte est indélébile dans le secteur de la banane, même s’il y a à redire, cette empreinte n’est pas passée inaperçue, fut une marque, c’était une époque !
Les députés et sénateurs de l'époque ? On a du mal à savoir qui c'était, sauf l'illustre maire de Fort de France, Aimé Césaire ! Et pourquoi ?
Des avancées indéniables
Victor Sablé et son insistance pour la reconnaissance de la banane martiniquaise, il est écouté et son projet est devenu réalité.
La Départementalisation, l’œuvre d’Aimé Césaire, c’est du concret, les résultats d’une lutte acharnée au sein de l’Assemblée Nationale.
Et depuis la départementalisation ?
L’assemblée unique, fusion Région / Département.
Face à des demandes répétées de toute part, elle fut concoctée à la va-vite par l’Elysée certainement.
L’assemblée unique ! Pas vraiment un succès dans sa forme, la Guyane a opté pour un fonctionnement simplifié, instaurant plus de clarté dans les attributions des responsabilités en adéquation avec la volonté populaire.
Le fonctionnement de la Collectivité Territoriale de Martinique ne semble pas conforme aux vœux des Martiniquais, donnant l’impression d’un flou dans la pratique, l’exécutif ayant pris le pas sur tout le reste. Le président de l’assemblée, unique ressemblant étrangement dans son fonctionnement, à la Reine d’Angleterre.
La loi sur l'indivision, c'est la signature de Serge Letchimy, qui a embrayé sur la chlordecone, l'histoire retiendra, c’est du concret ! Et après ? Le désert ! Les parlementaires pour lesquels on cherche désespérément une action forte, un projet de loi de nature à faire de notre île, une collectivité reconnue et surtout respectée. Rien !
En vrac, Lesueur, Petit, Marie-Jeanne Almont, Nilor, Manin, Azérot, Kéclard, Darsières, Conconne, Antiste, Désiré, sans oublier l'ex maire de La Trinité Manscour.
Leurs noms seront associés à des interventions sur un problème quelconque, sans plus. Des interpellations au sein de l’hémicycle et c'est tout, ça entre par une oreille, et ressort de l’autre, avec des réponses frisant le mépris de l’auteur, à l’endroit de nos parlementaires. Sauf à percevoir des émoluments hyper conséquents sans prélèvement de la CSG, et des billets d'avion en 1ère classe, une retraite intéressante, on ne retrouvera leurs patronymes que sur le répertoire de l'Assemblée Nationale et du Sénat, attestant de leur passage un temps. Pas plus que ça !
Rien en ce qui concerne des propositions de lois de nature à modifier l'existence et surtout l'avenir des générations futures.
Est-ce suffisant pour certains élus de haut rang, que de s’afficher sur les réseaux sociaux, et dénoncer ce qu’ils devraient prendre à bras le corps pour tenter de trouver les solutions ?
Selon les statistiques, ce sont 3000 jeunes ou moins jeunes Martiniquais, qui s’en vont faire leur vie ailleurs chaque année. Quelles ébauches de projets structurés existent pour contrer ces départs ? Rien du tout !
S’ils existent, qu’ils soient mis à la connaissance des Martiniquais.
Leurs noms seront associés à des interventions sur un problème quelconque, sans plus. Des interpellations au sein de l’hémicycle et c'est tout, ça entre par une oreille, et ressort de l’autre, avec des réponses frisant le mépris de l’auteur, à l’endroit de nos parlementaires. Sauf à percevoir des émoluments hyper conséquents sans prélèvement de la CSG, et des billets d'avion en 1ère classe, une retraite intéressante, on ne retrouvera leurs patronymes que sur le répertoire de l'Assemblée Nationale et du Sénat, attestant de leur passage un temps. Pas plus que ça !
Rien en ce qui concerne des propositions de lois de nature à modifier l'existence et surtout l'avenir des générations futures.
Est-ce suffisant pour certains élus de haut rang, que de s’afficher sur les réseaux sociaux, et dénoncer ce qu’ils devraient prendre à bras le corps pour tenter de trouver les solutions ?
Selon les statistiques, ce sont 3000 jeunes ou moins jeunes Martiniquais, qui s’en vont faire leur vie ailleurs chaque année. Quelles ébauches de projets structurés existent pour contrer ces départs ? Rien du tout !
S’ils existent, qu’ils soient mis à la connaissance des Martiniquais.
Au moment où la Martinique vit des moments très difficiles du point de vue de la sécurité, de la santé, de certaines de ses infrastructures sanitaires, de l’emploi, même si des statistiques tentent à prouver le contraire, par une habile manipulation des chiffres et des données, les gouvernants de ce pays semblent aux abonnés absents, face aux grosses questions à épines, laissant le champ libre au préfet, fonctionnaire de l’Etat français. Drôle de paradoxe !
Certains se délectent en dékalant les Békés et autres personnalités, sur les réseaux sociaux, c’est leur pensée et leur choix que chacun doit respecter. Mais est-ce le bon choix ?
Que pensent ces mêmes internautes de nos gouvernants et parlementaires qui perçoivent des émoluments conséquents, des billets d’avion en première classe, dont les projets pour le pays Martinique sont inexistants.
Faut-il ignorer, que si la Martinique est dans cette situation bancale, avec une insécurité grandissante, c'est principalement à cause de ses élus, à une responsabilité, un moment donné.
L’exemple le plus flagrant est celui d’un maire, impuissant, face à la montée fulgurante de la délinquance et de la criminalité.
C’est une honte de le dire, car c’est une priorité pour l’état.
Mais au plus près de l’église, c’est le clocher, et par conséquent au plus rapproché du gouvernement, ce sont les parlementaires, faut-il encore jouer serré et collectif, pour les projets émanant des Ultramarins à plus de 8000 kilomètres de Paris.
La Martinique pleure aujourd’hui, car sa mémoire est courte, elle a souvent donné sa caution à des élus, de haut rang, à des parlementaires, en fermant les yeux lorsqu'il fallait les garder ouverts, lorsque certains ont été douteux dans des transactions et relations avec l'étranger.
Le politique vertical n'est pas toujours celui auquel on pense. Le vertical c'est certainement celui qui gère ses administrés sans coups bas aux autres, sans forfanteries.
C'est ce que doivent dénoncer ceux qui sont investis de ce devoir, les médias, avec des investigations sans parti pris, et des preuves avérées à l'appui.
Sur les réseaux sociaux, Facebook principalement, certains se sentent investis des pouvoirs de Zorro, ce qui avait conduit d’autres à fermer leur page.
Cette pratique des internautes serait de nature à faire perdre toute crédibilité à ce support, car le pays tombe dans une sorte de profondeur abyssale où tout le monde ou presque se sent une âme de juge avant le juge.
Que ne lit-on pas sur Facebook, que De Lucy de Fossarieu, actuellement en prison préventive, pour les besoins de l’enquête dans l’affaire du Marin, est l’ami du bras droit de Bernard Hayot !
En décryptant, faut-il comprendre que cet internaute a déjà jugé le prévenu, présumé innocent, l’a déjà condamné, et que cette affaire est une association de malfaiteurs ?
Quelques fois, Facebook devient l'antichambre des tribunaux, ça donne la nausée !
Samuel Robert,
Que pensent ces mêmes internautes de nos gouvernants et parlementaires qui perçoivent des émoluments conséquents, des billets d’avion en première classe, dont les projets pour le pays Martinique sont inexistants.
Faut-il ignorer, que si la Martinique est dans cette situation bancale, avec une insécurité grandissante, c'est principalement à cause de ses élus, à une responsabilité, un moment donné.
L’exemple le plus flagrant est celui d’un maire, impuissant, face à la montée fulgurante de la délinquance et de la criminalité.
C’est une honte de le dire, car c’est une priorité pour l’état.
Mais au plus près de l’église, c’est le clocher, et par conséquent au plus rapproché du gouvernement, ce sont les parlementaires, faut-il encore jouer serré et collectif, pour les projets émanant des Ultramarins à plus de 8000 kilomètres de Paris.
La Martinique pleure aujourd’hui, car sa mémoire est courte, elle a souvent donné sa caution à des élus, de haut rang, à des parlementaires, en fermant les yeux lorsqu'il fallait les garder ouverts, lorsque certains ont été douteux dans des transactions et relations avec l'étranger.
Le politique vertical n'est pas toujours celui auquel on pense. Le vertical c'est certainement celui qui gère ses administrés sans coups bas aux autres, sans forfanteries.
C'est ce que doivent dénoncer ceux qui sont investis de ce devoir, les médias, avec des investigations sans parti pris, et des preuves avérées à l'appui.
Sur les réseaux sociaux, Facebook principalement, certains se sentent investis des pouvoirs de Zorro, ce qui avait conduit d’autres à fermer leur page.
Cette pratique des internautes serait de nature à faire perdre toute crédibilité à ce support, car le pays tombe dans une sorte de profondeur abyssale où tout le monde ou presque se sent une âme de juge avant le juge.
Que ne lit-on pas sur Facebook, que De Lucy de Fossarieu, actuellement en prison préventive, pour les besoins de l’enquête dans l’affaire du Marin, est l’ami du bras droit de Bernard Hayot !
En décryptant, faut-il comprendre que cet internaute a déjà jugé le prévenu, présumé innocent, l’a déjà condamné, et que cette affaire est une association de malfaiteurs ?
Quelques fois, Facebook devient l'antichambre des tribunaux, ça donne la nausée !
Samuel Robert,