Alors que dans la matinée le président de l'exécutif avait fait une proposition de réunir les élus Martiniquais. 49 avaient voté pour une instance élargie.
Photographe Serge Boissard
Il se trouve qu'à 23 heures le conseiller territorial Daniel Louis Régis a réintroduit une demande faite par ces deux élus Nadeau et Nilor . Pour info le président de l'exécutif Alfred Marie-Jeanne n'avait pas répondu à ces élus. Et pour cause de cancan profond. Le principe et la volonté de ces élus est de donner plus de représentativité aux élus martiniquais par rapport au besoin de la population et des élus de voir aux commandes les élus martiniquais .
Après le constat sur une question de santé publique du rôle de l'état dans le coronavirus à l'usage la disparition des élus a été très nette. C'est l'état qui s'occupe d'un certain nombre de questions. Et l'état seul.
Cette affaire d'ambiguïté sur la place des élus mais également sur le rôle et le statut du préfet si elle est importante a été oubliée pour être remplacée par une toile de fond plus laide, celle d'une bataille rangée entre le camp Nilor et le camp Marie-Jeanne. Et c'est ainsi qu' alors que des élus demandaient de la représentativité, d'autres élus se "dékalaient", oubliant l'objectif de la proposition.
Claude Lise a proposé en Ponce-Pilate de se laver les mains et a voulu donner raison aux deux protagonistes. Son idée était de donner raison à Marie-Jeanne le matin et de donner raison à Nilor dans la nuit. La crise de fou rire de Francine Carius a tranché avec la gravité du moment.
Il s'en est fallu d'une esquive intelligente de celui qui portait la motion pour que le consensus d'apparence n'explose pas en dernière minute. Ce dernier a préféré en effet persuader que sa motion serait rejetée, y compris par ceux de son camp transformer son amendement en point d'information.
Après le constat sur une question de santé publique du rôle de l'état dans le coronavirus à l'usage la disparition des élus a été très nette. C'est l'état qui s'occupe d'un certain nombre de questions. Et l'état seul.
Cette affaire d'ambiguïté sur la place des élus mais également sur le rôle et le statut du préfet si elle est importante a été oubliée pour être remplacée par une toile de fond plus laide, celle d'une bataille rangée entre le camp Nilor et le camp Marie-Jeanne. Et c'est ainsi qu' alors que des élus demandaient de la représentativité, d'autres élus se "dékalaient", oubliant l'objectif de la proposition.
Claude Lise a proposé en Ponce-Pilate de se laver les mains et a voulu donner raison aux deux protagonistes. Son idée était de donner raison à Marie-Jeanne le matin et de donner raison à Nilor dans la nuit. La crise de fou rire de Francine Carius a tranché avec la gravité du moment.
Il s'en est fallu d'une esquive intelligente de celui qui portait la motion pour que le consensus d'apparence n'explose pas en dernière minute. Ce dernier a préféré en effet persuader que sa motion serait rejetée, y compris par ceux de son camp transformer son amendement en point d'information.
Voilà à quoi jouent nos élus... A se faire des coups tordus entre Martiniquais, à se tarauder les egos, quand au même moment tous les services de l'état sont rangés au cordeau et à répondre au doigt et à l’œil au Prefet.