M le Ministre Victorin LUREL a déjà dit que ce n’était pas de sa faute à lui . Le décret n’est pas le texte d’application. Entre ces deux temps il était temps de prendre son temps. C’est l’option choisie par les Réunionnais. Il a pour lui la légitimité du peuple qui le considère comme un Zorro pot de terre qui s’attaque à un pot de fer : le lobby pétrolier.
Cette situation est complexe à souhait. Au point de faire tout vieux macaque expérimenté se gratter en même temps la tête et le derrière. Dans cette affaire les gérants des stations-services vont perdre leur queue.
Cette situation est complexe à souhait. Au point de faire tout vieux macaque expérimenté se gratter en même temps la tête et le derrière. Dans cette affaire les gérants des stations-services vont perdre leur queue.
Ils viennent de perdre leurs bras. Les salariés des stations ont réagi ce dimanche matin. Rassemblés à la maison des syndicats à Fort-de-France à l’appel de la CGTM Produits Pétroliers, les employés des stations-services ne se sentent pas du tout concernés par ce conflit.
C’est la première faille de ce conflit. Les patrons sont seuls face au ministre, face à leurs employés, face au peuple et bientôt face aux gendarmes qui vont réquisitionner les plus grosses stations.
Mais peut-on obliger un patron qui a déjà beaucoup gagné, à reprendre le travail en sachant qu’il ne gagnera plus d’argent ? Ils devront commencer par payer les jours de grèves, les salaires en retard et les soldes des factures arrivées à échéance, et voire leurs entreprises dépérir.
C’est maintenant l’heure de vérité. Soit-il gagnent toujours des sous et ils reprendront le travail la queue entre les jambes, soit ils croient vraiment ne plus pouvoir aller plus loin et là ce sera une catastrophe pour l’économie.
Gabriel Jean-Marie, le secrétaire général adjoint de la CGTM Produits Pétroliers C’est expliqué. Les employés sont attendus sur leur lieu de travail. Ils ne sont pas solidaires du mouvement. Amen !
C’est la première faille de ce conflit. Les patrons sont seuls face au ministre, face à leurs employés, face au peuple et bientôt face aux gendarmes qui vont réquisitionner les plus grosses stations.
Mais peut-on obliger un patron qui a déjà beaucoup gagné, à reprendre le travail en sachant qu’il ne gagnera plus d’argent ? Ils devront commencer par payer les jours de grèves, les salaires en retard et les soldes des factures arrivées à échéance, et voire leurs entreprises dépérir.
C’est maintenant l’heure de vérité. Soit-il gagnent toujours des sous et ils reprendront le travail la queue entre les jambes, soit ils croient vraiment ne plus pouvoir aller plus loin et là ce sera une catastrophe pour l’économie.
Gabriel Jean-Marie, le secrétaire général adjoint de la CGTM Produits Pétroliers C’est expliqué. Les employés sont attendus sur leur lieu de travail. Ils ne sont pas solidaires du mouvement. Amen !