Collectif du 5 Février 2009
Contre la vie chère, pour le pouvoir d’achat et l’emploi
C O M M U N I Q U E DU 6 M A R S 2009 A 18H30
Ce matin, le grand patronat avec les békés en première ligne a pris la responsabilité de jouer la provocation en organisant une manifestation dans Fort- de -France.
Dès le début de la matinée Le Collectif a mis en garde le Préfet des risques des risques d’une telle provocation.
Alors que les négociations étaient en cours à la Préfecture, les forces de répression ont agressé gratuitement des Martiniquais qui soutenaient la négociation.
Des gaz lacrymogènes lancés en grand nombre ont entraîné de nombreux blessés.
Le Collectif a donc décidé de suspendre les négociations jusqu’à la fin des violences policières.
Dans l’après-midi, des forces de l’ordre se sont positionnées près de la maison de la Maison des Syndicats sans aucune justification et y ont lancé des grenades lacrymogènes alors que Le Collectif se réunissait et que la foule était assise dans la cour et qu’une ambulance y entrait.
Le Collectif appelle à l’arrêt immédiat de la répression contre la population.
Cette provocation et cette répression ne détourneront pas le mouvement social et Le Collectif de son objectif.
Pour montrer sa détermination et la mobilisation du peuple en vue de l’aboutissement de ses revendication, Le Collectif appelle à une manifestation demain Samedi 7 mars 2009 à 8h00 à la Maison des Syndicat. Fait à Fort de France.Le 6 mars 2009. Pour Le collectif . M.MONROSE
Contre la vie chère, pour le pouvoir d’achat et l’emploi
C O M M U N I Q U E DU 6 M A R S 2009 A 18H30
Ce matin, le grand patronat avec les békés en première ligne a pris la responsabilité de jouer la provocation en organisant une manifestation dans Fort- de -France.
Dès le début de la matinée Le Collectif a mis en garde le Préfet des risques des risques d’une telle provocation.
Alors que les négociations étaient en cours à la Préfecture, les forces de répression ont agressé gratuitement des Martiniquais qui soutenaient la négociation.
Des gaz lacrymogènes lancés en grand nombre ont entraîné de nombreux blessés.
Le Collectif a donc décidé de suspendre les négociations jusqu’à la fin des violences policières.
Dans l’après-midi, des forces de l’ordre se sont positionnées près de la maison de la Maison des Syndicats sans aucune justification et y ont lancé des grenades lacrymogènes alors que Le Collectif se réunissait et que la foule était assise dans la cour et qu’une ambulance y entrait.
Le Collectif appelle à l’arrêt immédiat de la répression contre la population.
Cette provocation et cette répression ne détourneront pas le mouvement social et Le Collectif de son objectif.
Pour montrer sa détermination et la mobilisation du peuple en vue de l’aboutissement de ses revendication, Le Collectif appelle à une manifestation demain Samedi 7 mars 2009 à 8h00 à la Maison des Syndicat. Fait à Fort de France.Le 6 mars 2009. Pour Le collectif . M.MONROSE