Les 52 points du mouvement social sont une synthèse en constante amélioration.
Affirmer que le combat doit prendre une dimension supérieure car c'est de la vie dont il s'agit.
L'idée d'une négociation du peuple et de l'État progresse dans les esprits et va de pair avec son corollaire indispensable : construire un rapport de forces, seule garantie d'une négociation sérieuse et utile.
Les rassemblements, les manifestations de rue, les protestations devant les tribunaux, la multiplication des prises de position, l'élargissement sur place et à l'échelon international font partie de cette construction mais nous savons bien que seule la grève générale à l'échelle des deux pays martyrs de ce crime d'État sera de nature à décupler les énergies populaires et à obliger l'État à mettre à notre disposition les moyens de mise en œuvre des solutions que le peuple forge depuis des années et dont les 52 points du mouvement social sont une synthèse en constante amélioration.
Nous savons bien qu'une telle action ne se décrète pas en appuyant sur un bouton, que l'idée doit gagner les équipes syndicales et au moins une partie significative des directions des confédérations et centrales syndicales. Nous n'y sommes pas pour le moment ! Mais la préparation des esprits à un mouvement d'ampleur n'est pas une tâche à renvoyer à demain.
C'est maintenant qu'il faut mettre la main à la pâte.
Nul ne peut prédire le rythme ni fixer les échéances assis dans un bureau. Luil koud ! Grif an tè ! Mété an rout ! Poté mannev ! On peut prendre la formule que l'on veut. L'objectif est simple : secouer les apathies ! briser les sectarismes ! soumettre les égos anciens et nouveaux, tenir en respect les politicailleries concurrentes: c'est une mission que le peuple peut accomplir, doit accomplir. Doubout pou la vi !
L'idée d'une négociation du peuple et de l'État progresse dans les esprits et va de pair avec son corollaire indispensable : construire un rapport de forces, seule garantie d'une négociation sérieuse et utile.
Les rassemblements, les manifestations de rue, les protestations devant les tribunaux, la multiplication des prises de position, l'élargissement sur place et à l'échelon international font partie de cette construction mais nous savons bien que seule la grève générale à l'échelle des deux pays martyrs de ce crime d'État sera de nature à décupler les énergies populaires et à obliger l'État à mettre à notre disposition les moyens de mise en œuvre des solutions que le peuple forge depuis des années et dont les 52 points du mouvement social sont une synthèse en constante amélioration.
Nous savons bien qu'une telle action ne se décrète pas en appuyant sur un bouton, que l'idée doit gagner les équipes syndicales et au moins une partie significative des directions des confédérations et centrales syndicales. Nous n'y sommes pas pour le moment ! Mais la préparation des esprits à un mouvement d'ampleur n'est pas une tâche à renvoyer à demain.
C'est maintenant qu'il faut mettre la main à la pâte.
Nul ne peut prédire le rythme ni fixer les échéances assis dans un bureau. Luil koud ! Grif an tè ! Mété an rout ! Poté mannev ! On peut prendre la formule que l'on veut. L'objectif est simple : secouer les apathies ! briser les sectarismes ! soumettre les égos anciens et nouveaux, tenir en respect les politicailleries concurrentes: c'est une mission que le peuple peut accomplir, doit accomplir. Doubout pou la vi !