Considérant notamment que nos questions n'allaient pas dans son sens il nous a invité à venir en politique sur les tréteaux électoraux contre lui. Nous n'avons pas osé lui dire que la "petite Varrasse", une inconnue notoire ,l'avait battu aux législatives. Aurait-il compris qu'il ne doit son élection qu'au au seul fait d'avoir été sur une liste conduite par Alfred Marie Jeanne? Ce dernier lui rappelle souvent qu'en politique il faut éviter de faire le "foufou" ! Voici le texte de la CDMT.
L'émeraude Morne Rouge.
COMMUNIQUE DE LA CDMT ET LE SCGAFP-CGTM
BOUTRIN MET A MORT LA MEDIATION OBTENUE APRES DEUX MOIS DE MOBILISATION.
Le refus de la direction politique (Monsieur BOUTRIN) et administrative (Monsieur VILLERONCE) du PNRM d'appliquer l'accord du 27 décembre 2017 a été confirmé lors de la rencontre entre le DGS et les syndicats en présence des médiateurs, Messieurs Georges BAGOE et Gilles MARTHE. Ces derniers n'ont pu que constater le sabotage de la dite médiation par Louis BOUTRIN qui n'a donné aucune marge de manoeuvre au DGS directeur général des services transformé en marionnette pathétique.
Monsieur BOUTRIN a refusé aux syndicats la possibilité de s'exprimer devant les élu-e-s politiques du Conseil dirigeant théoriquement le Parc. Ces dernièr-e-s victimes consentant-e-s pour une bonne part des moeurs dictatoriales du sieur BOUTRIN, ont d'un trait de plume, ôté leurs salaires à des pères et mères de famille concerné-e-s. Ces retraits sont opérés dans des conditions d'illégalité et de rare amateurisme.
La liste des gréviste est fausse, le nombre de jours de grève imputés aux un-e-s et autres ne correspond à aucun pointage sérieux. Même là, Louis BOUTRIN a pratiqué la discrimination. Les élu-e-s complices de ce forfait n'ont tenu aucun compte des engagements pris devant eux et surtout devant les grévistes. Ces engagements solennels ont été pris aussi bien par Louis BOUTRIN que par Alfred MARIE-JEANNE.
Peu leur importe que MMs BOUTRIN et MARIE-JEANNE aient clamé urbi et orbi qu' il ne saurait être question que sous leur règne ce type de ponctions soient opérées. Plus grave encore, une dizaine de travailleuses et travailleurs se voient privé-e-s de renouvellement de leurs contrats alors que la preuve a été portée que les financements existent pour les renouveler.
Pendant ce temps d'autres appartenant à la catégorie des parents alliés et électeurs potentiels (géographiquement très localisés) du candidat BOUTRIN ont vu leurs contrats renouvelés avec anticipation sans qu'on puisse toujours identifier le travail effectif qu'ils ou elles réalisent.
De façon encore plus concrète, trois salariés mis en principe à l'abri de la furie revancharde du chef par l'accord de décembre 2017 se sont fait jetés à la rue avec la vague et méprisante promesse " qu' on va voir ce qu'on peut faire ".
Ce que nous comprenons, NOUS, c'est que Mr BOUTRIN ne considère pas les employé-e-s qui revendiquent leurs droits et les syndicats qui les défendent comme des partenaires d'une négociation, mais comme des ennemi-e-s qu' il faut écraser. Pour cela, il n'hésite pas à s'asseoir sur ses propres engagements, à mentir aux élue-s et à l'opinion, à actionner la panoplie des pires patrons de choc : manipulation des un-e-s, achat de conscience des autres (les arrivistes), terreur sur les plus faibles. Nous ne parlons même pas du mépris de fait pour un directeur mis dans l'obligation d'effectuer la sale besogne par crainte d'être accusé... d'insubordination
En ce qui nous concerne, nous syndicats aux côtés des salarié-e-s du PNRM, nous renouvelons nos encouragements à la résistance des valeureux Camarades en lutte, à la lucidité des ex non grévistes avant qu' il ne soit trop tard.
NOUS ALERTONS enfin UNE NOUVELLE FOIS l'opinion publique sur les dangers que l'irresponsabilité et la méchanceté de certains, la lâcheté ou l'inconscience d'autres font courir au PNRM.
Pour l'instant rien ne nous permet de mettre fin à notre préavis de grève. Bien au contraire.
Pour la CDMT
Philippe PIERRE-CHARLES
Pour le SCGAFP-CGTM
Willy DELOR
BOUTRIN MET A MORT LA MEDIATION OBTENUE APRES DEUX MOIS DE MOBILISATION.
Le refus de la direction politique (Monsieur BOUTRIN) et administrative (Monsieur VILLERONCE) du PNRM d'appliquer l'accord du 27 décembre 2017 a été confirmé lors de la rencontre entre le DGS et les syndicats en présence des médiateurs, Messieurs Georges BAGOE et Gilles MARTHE. Ces derniers n'ont pu que constater le sabotage de la dite médiation par Louis BOUTRIN qui n'a donné aucune marge de manoeuvre au DGS directeur général des services transformé en marionnette pathétique.
Monsieur BOUTRIN a refusé aux syndicats la possibilité de s'exprimer devant les élu-e-s politiques du Conseil dirigeant théoriquement le Parc. Ces dernièr-e-s victimes consentant-e-s pour une bonne part des moeurs dictatoriales du sieur BOUTRIN, ont d'un trait de plume, ôté leurs salaires à des pères et mères de famille concerné-e-s. Ces retraits sont opérés dans des conditions d'illégalité et de rare amateurisme.
La liste des gréviste est fausse, le nombre de jours de grève imputés aux un-e-s et autres ne correspond à aucun pointage sérieux. Même là, Louis BOUTRIN a pratiqué la discrimination. Les élu-e-s complices de ce forfait n'ont tenu aucun compte des engagements pris devant eux et surtout devant les grévistes. Ces engagements solennels ont été pris aussi bien par Louis BOUTRIN que par Alfred MARIE-JEANNE.
Peu leur importe que MMs BOUTRIN et MARIE-JEANNE aient clamé urbi et orbi qu' il ne saurait être question que sous leur règne ce type de ponctions soient opérées. Plus grave encore, une dizaine de travailleuses et travailleurs se voient privé-e-s de renouvellement de leurs contrats alors que la preuve a été portée que les financements existent pour les renouveler.
Pendant ce temps d'autres appartenant à la catégorie des parents alliés et électeurs potentiels (géographiquement très localisés) du candidat BOUTRIN ont vu leurs contrats renouvelés avec anticipation sans qu'on puisse toujours identifier le travail effectif qu'ils ou elles réalisent.
De façon encore plus concrète, trois salariés mis en principe à l'abri de la furie revancharde du chef par l'accord de décembre 2017 se sont fait jetés à la rue avec la vague et méprisante promesse " qu' on va voir ce qu'on peut faire ".
Ce que nous comprenons, NOUS, c'est que Mr BOUTRIN ne considère pas les employé-e-s qui revendiquent leurs droits et les syndicats qui les défendent comme des partenaires d'une négociation, mais comme des ennemi-e-s qu' il faut écraser. Pour cela, il n'hésite pas à s'asseoir sur ses propres engagements, à mentir aux élue-s et à l'opinion, à actionner la panoplie des pires patrons de choc : manipulation des un-e-s, achat de conscience des autres (les arrivistes), terreur sur les plus faibles. Nous ne parlons même pas du mépris de fait pour un directeur mis dans l'obligation d'effectuer la sale besogne par crainte d'être accusé... d'insubordination
En ce qui nous concerne, nous syndicats aux côtés des salarié-e-s du PNRM, nous renouvelons nos encouragements à la résistance des valeureux Camarades en lutte, à la lucidité des ex non grévistes avant qu' il ne soit trop tard.
NOUS ALERTONS enfin UNE NOUVELLE FOIS l'opinion publique sur les dangers que l'irresponsabilité et la méchanceté de certains, la lâcheté ou l'inconscience d'autres font courir au PNRM.
Pour l'instant rien ne nous permet de mettre fin à notre préavis de grève. Bien au contraire.
Pour la CDMT
Philippe PIERRE-CHARLES
Pour le SCGAFP-CGTM
Willy DELOR