La première étude recensant des exemples de "violences illégitimes" des forces de l'ordre envers les moins de 18 ans, bébés, enfants ou adolescents a été publiée par la Commission Nationale de Déontologie de la Sécurité (CNDS).
Le bilan 2008 est accablant pour les Forces de l'Ordre.
Des points importants sont mis en avant dans ce rapport alors que dans certaines affaires mettant en cause Policiers ou gendarmes, ils n’avaient pas été pris en compte.
Les syndicats de Policiers avaient même contesté les faits.
Mais, il n’y aura pas de retour sur les faits ,comme par exemple en 2005, un jeune homme qui venait d'être violemment plaqué au sol par un policier d'Evry l'interpellant pour outrage et rébellion a été placé en garde à vue "au lieu d'être transporté immédiatement à l'hôpital alors qu'il était incapable de s'alimenter du fait de fractures aux dents et au nez", cite en exemple la Commission.
Nous pourrions citer plusieurs exemples des interventions de Gendarmerie en Martinique
Le colonel Rutany, aujourd'hui Général pourrait en témoigner,car il a fallut souvent son intervention pour calmer les gendarmes voyous arrivés aux isles pour casser du nègre.
La CNDS a donc fait des recommandations qui ne seront certainement pas suivies dans nos Pays (Martinique-Guadeloupe).
Sur la garde à vue, il est rappelé qu'elle ne peut concerner un mineur qu'à condition d'en informer immédiatement le procureur, et qu'un examen médical doit être demandé "en urgence" en cas de blessure.
Face à un mineur,"un policier ou un gendarme doit avant tout éviter toute confrontation violente". "Vulnérables", "fragiles psychologiquement", les mineurs sont aussi "susceptibles de réactions moins maîtrisées que les adultes", et dans bien des cas une convocation au commissariat serait préférable à une interpellation, recommande la CNDS.
En tout cas, cette Commission a traité depuis sa création en 2000 soixante-cinq dossiers concernant des mineurs (environ 10% du total), "dont 50 ont fait apparaître un ou plusieurs manquements", et "la répétition de certains manquements donne à penser qu'ils sont beaucoup plus répandus que les chiffres ne le laissent supposer", le recours "excessif" à la force lors d'une interpellation, fouille de sécurité "injustifiée" ou placement en rétention administrative comparable à de la "maltraitance".
La CNDS met en cause également les Centres de Rétention administrative (CRA), notamment à Pamandzi (Mayotte) où "les conditions d'hébergement sont inacceptables" ou à Cayenne (Guyane), d’autant que cette mise en CRA qui n’est pas une peine se transforme de fait en punition.
L’accent a été aussi mis sur le comportement inhumain du ministère de l’intérieur où Alliot-Marie se comporte, comme une vraie peau de vache en" expulsant les mineurs malgré les souffrances psychologiques et physiques graves qu'elles peuvent leur causer".
La CNDS met à nu l’Etat policier de Sarkozy, mais notre magyar fait le boulot pour lequel il a été élu.
C’est ça la France mère des arts et des lois.
Le bilan 2008 est accablant pour les Forces de l'Ordre.
Des points importants sont mis en avant dans ce rapport alors que dans certaines affaires mettant en cause Policiers ou gendarmes, ils n’avaient pas été pris en compte.
Les syndicats de Policiers avaient même contesté les faits.
Mais, il n’y aura pas de retour sur les faits ,comme par exemple en 2005, un jeune homme qui venait d'être violemment plaqué au sol par un policier d'Evry l'interpellant pour outrage et rébellion a été placé en garde à vue "au lieu d'être transporté immédiatement à l'hôpital alors qu'il était incapable de s'alimenter du fait de fractures aux dents et au nez", cite en exemple la Commission.
Nous pourrions citer plusieurs exemples des interventions de Gendarmerie en Martinique
Le colonel Rutany, aujourd'hui Général pourrait en témoigner,car il a fallut souvent son intervention pour calmer les gendarmes voyous arrivés aux isles pour casser du nègre.
La CNDS a donc fait des recommandations qui ne seront certainement pas suivies dans nos Pays (Martinique-Guadeloupe).
Sur la garde à vue, il est rappelé qu'elle ne peut concerner un mineur qu'à condition d'en informer immédiatement le procureur, et qu'un examen médical doit être demandé "en urgence" en cas de blessure.
Face à un mineur,"un policier ou un gendarme doit avant tout éviter toute confrontation violente". "Vulnérables", "fragiles psychologiquement", les mineurs sont aussi "susceptibles de réactions moins maîtrisées que les adultes", et dans bien des cas une convocation au commissariat serait préférable à une interpellation, recommande la CNDS.
En tout cas, cette Commission a traité depuis sa création en 2000 soixante-cinq dossiers concernant des mineurs (environ 10% du total), "dont 50 ont fait apparaître un ou plusieurs manquements", et "la répétition de certains manquements donne à penser qu'ils sont beaucoup plus répandus que les chiffres ne le laissent supposer", le recours "excessif" à la force lors d'une interpellation, fouille de sécurité "injustifiée" ou placement en rétention administrative comparable à de la "maltraitance".
La CNDS met en cause également les Centres de Rétention administrative (CRA), notamment à Pamandzi (Mayotte) où "les conditions d'hébergement sont inacceptables" ou à Cayenne (Guyane), d’autant que cette mise en CRA qui n’est pas une peine se transforme de fait en punition.
L’accent a été aussi mis sur le comportement inhumain du ministère de l’intérieur où Alliot-Marie se comporte, comme une vraie peau de vache en" expulsant les mineurs malgré les souffrances psychologiques et physiques graves qu'elles peuvent leur causer".
La CNDS met à nu l’Etat policier de Sarkozy, mais notre magyar fait le boulot pour lequel il a été élu.
C’est ça la France mère des arts et des lois.