Billet d’humeur, Lorsqu'on tient un os on ne le lâche pas ! Par Yves-Léopold Monthieux


Rédigé le Mardi 25 Octobre 2016 à 08:52 |
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C'est confondant de voir qu'aujourd'hui encore qu’ on revienne à cette controverse 73 - 74 qui a démontré son inanité. On était des mendiants, on reste des mendiants, peu importe le cadre.


Ce sujet vient d'une réaction lecteur suite à l'article Photos souvenirs : Pour et Contre le 74.

Photo prise durant un cénacle pendant le festival.
Ce n'est pas avec du 74 ou du 73 qu'on va développer la Martinique, mais avec la volonté d'agir et de l'action. Vraiment que peut faire St Martin avec son 74 que la Guadeloupe et la Martinique ne peuvent pas faire avec leur 73 et 73 bis ?

Que peut faire la Martinique qui soit interdit à la Guadeloupe ? J'observe que l’on envoie des défis à la Guadeloupe et à la France pour le cyclotron comme si, finalement, l'argent ne sortait pas du même endroit. Ce n'est pas un statut qui nous encaye, ce sont nos choix et notre façon de les conduire,comme le TCSP, comme les ordures ménagères, comme l'AFPA, comme l'eau, etc...

Le seul fait politique incontestable c'est l'ardeur mis par les 73 et 73 bis ainsi que les 74 à aller tendre la main à Paris au nom de la continuité territoriale que personne ne remet en cause, ou pleurer parce l'Assemblée nationale n'obtempère pas à nos amendements.

Dans cette quête permanente on ne sait pas qui arrive les premiers.

Mais la Martinique n'est pas la dernière. Ce n'est donc pas à cette aune que l’on peut distinguer ceux qui ont ou n'ont pas le pouvoir local, mais peut-être à la capacité de faire des câlins aux ministresses qui passent.
Tout de même, les manifestations de câlinerie n'étaient pas aussi ostensibles avec la ministresse précédente.

On peut savoir pourquoi ?


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