Revenons au sujet qui nous préoccupe.
Obnubilé par la recherche du buzz, il fait comme les journaux papiers, qui sortent les vieux marronniers, qui font vendre. Plus grave, se retrouvant démasqué, en sa qualité de cyber-harceleur et de tueur virtuelle il s’enferme dans un mur construit par on ne sait quel opérateur maçon. Ceci est diversion, et, rien d’autre.
Revenons au sujet qui nous préoccupe.
Alors que BONDAMANJAK revendique haut et fort, d’être l’une des courroies de transmission qui a permis au MIM, de gagner le 13 décembre 2016 les élections de la CTM, comment peut-on expliquer que la direction du MIM et les informateurs proches du MIM qui alimentent l’information sur ce blog acceptent que ce même support, crucifie à longueur de journée le Député du sud Jean Philippe NILOR ?
Cette tuerie collective est-elle politiquement correcte ? Je connais quelqu’un qui dirait : « Mé sa sé en vacabonageri »
Cette question fondamentale, dépasse les petites phrases assassines dont l’auteur fait son style et sa marque de fabrique. Une série de slogans ne peut pas constituer une argumentation. Ce qui n’est pas dit par BONDAMANJAK c’est qu’il lui a été sifflé la fin de la récréation phraseuse.
Il lui a été sommé d’arrêter ce petit jeu qui commençait à diviser le camp des Patriotes.
Comme tout crime à un motif, Sous prétexte de G20, pas heureux, le piment pour une fois, c’est purgé de son venin, en rédigant une longue lettre d’explication, justifiant son comportement tyrannique sur un des MIM. Une manière d’expliquer, que pour le respect de ses idées il était prêt à tout, y compris à aller au bras de fer, voire à la rupture.
De sources discrètes, bien informées (pas secrètes cette fois) très bien informées il se dit que c’est, une promesse non tenue qui est à l’origine de la colère du poivron. Il aurait espéré deux choses : un rapprochement sur la terre de son père et de l’un de ses frères qu’il vient découvrir, et la responsabilité du service communication de la CTM. Vrai ou faux, MAKACLA , s’en contre fou, mais est persuadé qu’il n’y a pas de fumée sans feu.
MAKACLA c’est toujours gardé de citer, ou de réagir au post de BONDAMANJAK et de son propriétaire, en particulier quand ce dernier le provoquait allant jusqu’à des familiarités. MAKACLA se souvient que ce dernier était rentré dans une colère folle. Gilles DEGRAS venait d’apprendre qu'on assurait l la technique du site de Camille CHAUVET le NAIF. Depuis nous n’avions plus aucun contact.
En fait ce que le poivron n’a jamais compris c’est l’articulation de la plateforme technique GROUPE LE NAÏF que vous pouvez découvrir sur l’adresse www.lenaif.com Le principe est pourtant simple, qui veut communiquer sur internet et qui ne peut pas faire le suivi technique demande à cette plateforme de lui ouvrir un blog. Nous en avons plusieurs d’actifs. C’est donc ainsi que MAKACLA est né.
SI BONDAMANJAK est un spécialiste de slogans assassins, ou un tueur virtuel d’homme politique, MAKACLA entend interpeller les martiniquais de toute organisation, conspiration qui se met en place contre des martiniquais, fusse t’il Jean Philippe NILOR, qui selon Gilles DEGRAS deviendrai un pariât du seul motif que son positionnement, ne conviendrai pas à BONBAMANJAK.
C’est ce que nous faisons en le démasquant, car ce n’était pas l’esprit de Jean Marc REMER mort le 14 juillet 2002
J’ai dit …
Revenons au sujet qui nous préoccupe.
Alors que BONDAMANJAK revendique haut et fort, d’être l’une des courroies de transmission qui a permis au MIM, de gagner le 13 décembre 2016 les élections de la CTM, comment peut-on expliquer que la direction du MIM et les informateurs proches du MIM qui alimentent l’information sur ce blog acceptent que ce même support, crucifie à longueur de journée le Député du sud Jean Philippe NILOR ?
Cette tuerie collective est-elle politiquement correcte ? Je connais quelqu’un qui dirait : « Mé sa sé en vacabonageri »
Cette question fondamentale, dépasse les petites phrases assassines dont l’auteur fait son style et sa marque de fabrique. Une série de slogans ne peut pas constituer une argumentation. Ce qui n’est pas dit par BONDAMANJAK c’est qu’il lui a été sifflé la fin de la récréation phraseuse.
Il lui a été sommé d’arrêter ce petit jeu qui commençait à diviser le camp des Patriotes.
Comme tout crime à un motif, Sous prétexte de G20, pas heureux, le piment pour une fois, c’est purgé de son venin, en rédigant une longue lettre d’explication, justifiant son comportement tyrannique sur un des MIM. Une manière d’expliquer, que pour le respect de ses idées il était prêt à tout, y compris à aller au bras de fer, voire à la rupture.
De sources discrètes, bien informées (pas secrètes cette fois) très bien informées il se dit que c’est, une promesse non tenue qui est à l’origine de la colère du poivron. Il aurait espéré deux choses : un rapprochement sur la terre de son père et de l’un de ses frères qu’il vient découvrir, et la responsabilité du service communication de la CTM. Vrai ou faux, MAKACLA , s’en contre fou, mais est persuadé qu’il n’y a pas de fumée sans feu.
MAKACLA c’est toujours gardé de citer, ou de réagir au post de BONDAMANJAK et de son propriétaire, en particulier quand ce dernier le provoquait allant jusqu’à des familiarités. MAKACLA se souvient que ce dernier était rentré dans une colère folle. Gilles DEGRAS venait d’apprendre qu'on assurait l la technique du site de Camille CHAUVET le NAIF. Depuis nous n’avions plus aucun contact.
En fait ce que le poivron n’a jamais compris c’est l’articulation de la plateforme technique GROUPE LE NAÏF que vous pouvez découvrir sur l’adresse www.lenaif.com Le principe est pourtant simple, qui veut communiquer sur internet et qui ne peut pas faire le suivi technique demande à cette plateforme de lui ouvrir un blog. Nous en avons plusieurs d’actifs. C’est donc ainsi que MAKACLA est né.
SI BONDAMANJAK est un spécialiste de slogans assassins, ou un tueur virtuel d’homme politique, MAKACLA entend interpeller les martiniquais de toute organisation, conspiration qui se met en place contre des martiniquais, fusse t’il Jean Philippe NILOR, qui selon Gilles DEGRAS deviendrai un pariât du seul motif que son positionnement, ne conviendrai pas à BONBAMANJAK.
C’est ce que nous faisons en le démasquant, car ce n’était pas l’esprit de Jean Marc REMER mort le 14 juillet 2002
J’ai dit …