Le contexte
Selon un article de Frédéric Bergé dans la rubrique économique de BFM il est relaté le fait suivant : DEUX FIRMES BRITANNIQUES VONT PAYER DES RÉPARATIONS À CAUSE DE LEUR LIENS PASSÉS AVEC L'ESCLAVAGE. Dans le texte de l'article voici ce qui se dit, je cite : Le brasseur Greene King et l'assureur Lloyd's se sont engagés à payer des réparations à des organismes de soutien aux minorités ethniques. La révélation du rôle passé de certains de leurs fondateurs dans la traite et l'exploitation d'esclaves, explique ce geste inédit....Quand le passé esclavagiste de certains de leurs fondateurs rattrapent certaines firmes britanniques de renom. Greene King à la fois chaîne de pubs et brasseur, et le célèbre assureur Lloyd’s, se sont engagé à payer des réparations en raison de liens historiques avec l'esclavage et la traite négrière, mis au jour par une banque de données de l'université, a rapporté le Daily Telegraph. Fin de citation.
En fait ce journaliste reprenait une dépêche de l'AFP de Ben Stansall qui indiquait que l'assureur Lloyds of London s'excuse officiellement pour "le rôle joué aux 18e et 19e siècles dans le commerce des esclaves - une période horrifiante de l'histoire anglaise, et de la nôtre".
Enfin le gouvernement britannique a promis ce lundi, journée d'hommage à la « génération Windrush », de « réparer les torts » subis par les migrants issus des anciennes colonies caribéennes, en pleine remise en question du passé colonial dans la foulée du mouvement « Black Lives Matter ».
En fait ce journaliste reprenait une dépêche de l'AFP de Ben Stansall qui indiquait que l'assureur Lloyds of London s'excuse officiellement pour "le rôle joué aux 18e et 19e siècles dans le commerce des esclaves - une période horrifiante de l'histoire anglaise, et de la nôtre".
Enfin le gouvernement britannique a promis ce lundi, journée d'hommage à la « génération Windrush », de « réparer les torts » subis par les migrants issus des anciennes colonies caribéennes, en pleine remise en question du passé colonial dans la foulée du mouvement « Black Lives Matter ».
Par conséquent , les békés savent que nous savons, ce qui se passe dans le monde. Eux-mêmes le savent pour eux-mêmes et ils ne peuvent être indifférents à de telles informations, tant nos histoires communes sont entrelacées de ces faits .
Il s'agira donc de savoir désormais comment ils vont réagir. Nous ne connaissons pas à cette date d'organisation, ou d'association de défense de droit des békés, comme c'est le cas pour les Indiens, les Nègres et les Africains du nord . Par conséquent chaque béké, ou chaque famille békée en lien avec l'esclavage est libre individuellement d'agir désormais en conséquence.
Il s'agit d'assumer une charge incontestable, indiscutable. Celle de l'antériorité esclavagiste et du lien direct avec ce qui est admis depuis peu par la Cour Européenne comme crime contre l'humanité.
Si aucune d'entre elles, et pas la moindre ne réagissait individuellement, nos associations de défenses seraient désormais en droit d'exiger que ces réparations soient tenues de tous et de toutes.
Il ne s'agirait pas hélas du même processus, mais drôle de retournement de situation tout de même!
Il s'agit d'assumer une charge incontestable, indiscutable. Celle de l'antériorité esclavagiste et du lien direct avec ce qui est admis depuis peu par la Cour Européenne comme crime contre l'humanité.
Si aucune d'entre elles, et pas la moindre ne réagissait individuellement, nos associations de défenses seraient désormais en droit d'exiger que ces réparations soient tenues de tous et de toutes.
Il ne s'agirait pas hélas du même processus, mais drôle de retournement de situation tout de même!